Chapitre 8

5.8K 208 1
                                    

je sentais son entre jambe grandir, la situation devenait de plus en plus étrange, j'étais comme cloitré au sol, il me déstabilisait, j'avais la tête complètement vide. Il humidifie ses lèvres et les entre ouvres pour dire quelques chose mais les refermes aussitôt.
Ses yeux brillaient de malice, j'avais le Corps en feu car les frissons me tressaillait et mes jambes étaient en coton.
Mon coeur venait de cesser de battre, c'était la première fois que je ressentais un truc pareille.
Nous étions entrain de nous fixer quand il me retourna pour que je sois face à lui, il faisait deux têtes de plus que moi tellement il est grand et musclé. Il avance d'un pas et me Donne un coup de rein ce qui provoque chez moi un pas en arrière...ça se passé comme ça jusqu'à ce que j'heurte la table au milieu de la salle. Il me prend par la taille et me dépose sur la table. Il enlève sa veste et se rapproche de moi....à ce moment ma salive passe de Travers et j'ai failli m'éttoufer avec, son nez touchait mon oreille, on dirait qu'il me reniflait. Je souffle pour me libérer de toute cette tension car d'un seul coup l'ambiance était devenu un peu trop intime avec mon professeur.

Lui : tu viens de gagner deux heures de colle.

Un sourire se Trace sur mon visage.

Moi : et qu'est ce que j'ai encore fait.

Lui : rien

J'arque un cil......

Moi : c'est quoi votre problème

Lui : c'est toi

Moi : vous me détestez tant que ça ?

Lui : non je ne te détesterais jamais et c'est ça le problème.

Il allait se retourner et partir mais comme je n'avais pas terminer ma discussion avec lui, je le tira par le col de sa chemise et le griffa sans le faire exprès.

Moi : je....je suis désolé

Lui : ........ce n'est pas grave

Je le laisse et il recule, je descend de la table et il m'attache sa veste au niveau du ventre sûrement pour cacher mon derrière nu.

Lui : tu devrais rentré chez toi

Moi : j'ai cour et à ce que je sache j'ai 6 heures de colle non.

Lui : tes heures de colle sont en suspension jusqu'à nouvelle ordre et tu ne vas quand même pas faire cour comme ça.

Moi : c'est vrai?

Lui : va s'y

Moi : M....merci

Je pris mon téléphone pour appeler Flavio.

Lui : qu'est ce que tu fais?

Moi : j'appel un ami

Lui : ton petite ami?

Moi : je n'ai pas de Petit ami.

Silence......

Moi : il ne répond pas, je vais devoir marcher jusqu'à la maison.

Lui : je te ramène

Moi : pardon

Lui : enfin si tu veux

Moi : vous n'avez pas cour? 

Lui : je reviendrai juste après

Moi : d'accord

Je ne pouvais pas refuser car ça m'arranger bien vu que Flavio ne répondait pas et que je n'avais pas d'argent pour prendre le bus, ce qui me reste c'est pour faire les courses donc je n'ai pas vraiment le choix.
On se dirigea vers sa voiture et c'était une dodge noir. Il m'ouvre la porte et j'entre puis il fit de même.

Moi : c'est à toi cette bête de route.

Lui : oui

Moi : waouh

Lui : je sais

Il fit une grimace qui semblait être un sourire, on ne voyait même pas ses dents, on aurait dis que se type ne rigolais jamais jamais ça fiche la frousse.

--------------------------------------

Moi : merci

Lui : de rien

je descendis de la voiture...

Lui : ah et la prochaine fois qu'on se reverra rend moi mes deux vestes car à se rythme j'en aurais plus aucun.

puis il démarra et s'éloigna Petit à Petit de mon champ de vision.
la ténacité de se mec m'ébahissait, je crois que depuis qu'on se connait c'est la première fois qu'on a une conversation normale. Je pénètre dans la Maison et me met dos à la porte me laissant glisser sur Celle-ci. j'ai envie de crier de taper dans un truc n'importe quoi, je me demande qui a pu me faire une blague aussi stupide.....ça ne me surprend pas vu que tout l'école me déteste......faut que je me change les idées.
Je Monte me changer et mettre une tenue de sport.  Je dois me défouler, je vais au garage et accroche le punching-ball même si j'ai dûs me battre avec pour le faire.....il est hyper Lourd puis j'ai mis les gants de boxe et j'ai commencé à taper dessus comme à chaque fois que je me sentais mal, à chaque fois que j'étais en colère, angoissé ou n'importe quel autre émotion assé forte pour me rendre parano. Je continuais de taper dessus quand.

......... : pauvre punching-ball

Je me retourne.....

Moi : comment tu es rentré? 

........ : la clée sous le tapis

Moi : ah

.......... : tu devrais faire attention

Moi : hum

Puis je continua ce que je faisais avant qu'il n'arrive. Je le sens venir vers moi.

........ : je ne savais pas que tu faisais de la boxe

Moi : je ne le pratique pas c'est juste pour me défouler.

......... : ah je comprend ça te va plutôt bien.....ça te rend sexy

Il me Caresse la cuisse et je lui donne un coup aux cotes.....il n'a même pas bouger au contraire il se moquait.

........ : tu as vraiment cru que tu pouvais me mettre K.O là

Moi : bahhhh oui

.......... : tu n'as que la peau sur les os

Moi : merci pour ta délicatesse

......... : De rien

Silence.....

.......... : dit  ?

Moi : quoi encore ?

......... : ça te dit de changer de look, de devenir plus....féminine.

DESIR ARDENTWhere stories live. Discover now