Chapitre 20

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Lui : Je t'aime comme jamais je n'ai aimé personne, pour toi je ressens des choses qui me font peur, j'ai trop été à l'éxile de mes sentiments envers toi et je n'en peux plus.

Silence........

Je ne savais pas quoi lui répondre, j'étais devenu carrément muète.

Lui : tu ne dis rien ?

Moi : qu'est ce que tu veux que je te dise ?

Lui : tout ! tout ce qui y'a dans ton cœur

Je prends une grande inspiration et repense à tout ce qui c'était passé avec lui, à tout ce qu'il a fais pour moi, à ses conseilles. Il a été présent quand personne ne me considérer, il m'a rassuré, protéger et j'ai pris en confiance en plus il ne m'est pas indifférent, vue ce qui c'est passé hier je pense que je commence à l'aimer, le connaitre petit à petit, il est gentil, attentionné, doux. Il est temps pour moi de m'épanouir au moin une fois dans ma vie.

Moi : je......... ne sais .....je ne connais pas ce mot, je suis jamais tomber amoureuse de personne, je n'ai jamais été avec quelqu'un ( il me sourit )....oui j'aimerais me mettre avec toi, d'éssayer et puis on vérra ( son sourire s'agrandit).

Il me serre dans ses bras.

Lui : je te promet que tu sera la femme la plus heureuse du monde je te le promet.

Moi : je sais (murmurais-je dans son oreille droit)

puis il me réembrassa avec énormément de passion et de fougue.

Lui : tu t'es habillé décontracté aujourd'hui

Moi : ah parce que tu viens de remarqué

Lui : pas exactement mais ça te rend.....sexy

Moi : ouais c'est ça tu devrais aller te laver tu sens mauvais

Lui : ah bon (dit-il en arquant un cil)

je me pince le nez pour affirmer ce que je venais de lui dire, d'un coup il me souleva et instinctivement je m'accrocha à son coup.

Moi: eh mais qu'est ce que tu fabriques ?

Lui : je vais me laver

Moi : et moi dans tout ça

Lui : tu vas me savonner le dos ma chère princesse

Moi : QUOI ? MAIS NON FLAVIO

LE SOIR.................

Lui : le diner est servi ma dame Geniévre

Moi : merci mon roi qu'avez vous préparez

Lui : une bolognaise et un tarte aux poires

Moi : ah

Lui : quoi ?

Moi : je suis allergique à la poire

Lui : vraiment( il se gratte la nuque) bon pas de dessert pour toi

Moi: tu vas le manger

Lui : bien sur c'est pas moi qui suis allergique à la poire

Moi :......................

Lui : non je plaisante arrete de faire cette face on dirait un dépravé

il le prit et le mit dans l'évier puis il revient.

Moi : quel gaspillage

on s'assit pour débuter notre diner, je retourne mon plat et j'y remarque deux papiers blancs qui avait le symbole de ce qui me semblait un avion.

Moi : et ça ?

Lui: deux billets d'avion

Moi : oui et ?

Lui : On va en ISLANDE à AKUREYRI

Silence......

Lui :tu n'aimes pas ma surprise

Moi : si si et c'est quand ?

Lui : Dans deux jours

Moi : toi on peut dire que tu perds pas ton temps

Lui : il n'y a pas de temps à perdre je te l'ai dit je veux te comblé de bonheur pendant tous les jours de ma vie.

Il me prit la main et me la carèssa. je ne voulais pas gacher ce moment ou le décevoir donc j'ai accepté. De toute façon rien ne me retiens ici, j'ai dis oui à la directrice pour le concours on commence les révisions dans deux mois, le boulot que j'avais trouvé j'ai découvert que le restaurant en question était un bar et que j'étais serveuse de nuit donc j'ai démissionné, ma mère et mon père je suis pas prete à les revoir pour le moment et MR Gallardo ça me fera des vacances, je le revérrais plus pendant un instant. j'ai deux semaines rien que pour moi , moi et mon petit ami.

Je me lève de ma chaise et me mis à califourchon sur lui tout en le regardant dans le blanc des yeux.

Moi : merci (puis je l'embrasse)

je ne sais ce qui m'arrive avec lui mais j'ai à chaque fois envie de l'embrassé et qu'il me serre fort dans ses bras si habiles, comme s'il lisait dans mes pensés, il le fit sans hésitation ensuite il descendit ses mains sur mes cuisses pour se stopper au niveau de mes fesses qu'il prèssa lentement, mon corps reçu un décharge électrique.......il se défait de moi en scrutant mon visage.

Lui : je ne veux pas que tu sois ma femme pour une nuit, le jour ou je te ferai l'amour aucun autre homme ne te touchera aucun.........

PVD FABIAN

Peyton : Fabian j'ai réservé deux billets devine ou on va ?

Moi : Paris ?

Peyton : non ISLANDE au AKUREYRI, j'ai une exposition là-bas on pourra en profité pour y passer les vacances.

Moi : Génial !

Peyton : qu'est ce qui t'as ça fait des jours que tu es comme ça .

Moi : comment ?

Peyton : distant, énervé, pensif.....tu penses à une autre femme que moi

Bingo, elle venait de toucher dans le mil, ça fait une journée que je n'ai pas vue ma gamine capricieuse, je ne peux m'empecher de penser au baiser qu'on a échangé, à ses lévres si douce, à son visage d'ange et à sa manie de me pourrire la vie. Je vais devenir fou.....elle va me rendre fou. Je me demande comment je peux rester avec une femme que je n'aime pas et me marier avec elle juste pour de l'argent, sacrifier mon bonheur pour la richesse......qu'est ce que je raconte, je n'en reviens pas j'ai vraiment dis ça. "Oublis cette gamine et concentre toi sur ton objectif. Epouser l'une des femmes les plus riches et influente du monde nommons MARIANA PEYTON SUAREZ". je me ressaisis vite fais et raméne mon esprit à Peyton qui semblait perdre patience.

Moi :tu sais bien que tu es la seule femme qui occupe mes pensés

Peyton: jesper Fabian jesper

Moi : Alors Akureyri c'est quand?

Peyton : dans deux jours

Moi : des vacances rien que pour nous loin de tout " surtout loin de la capricieuse me souffle ma conscience".

Peyton : j'ai déjà hate mon amour

Moi : moi encore plus ma chéri, Moi encore plus.

DEUX JOURS PLUS TARD.............

Désolé pour les fautes à corriger plus tard....

Qu'avez vous remarqué au niveau de ce chapitre? à vos claviers

Lisez bien le chapitre 18



DESIR ARDENTTempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang