14 : "America, c'est toi ? "

1.6K 94 12
                                    

Avant de commencer ce chapitre, je tiens à remercier toutes les personnes qui ont participé au tirage au sort. Je tiens aussi à m'excuser de ce long temps d'absence et d'attente où je ne vous ai rien publié.
Bonne lecture ! 📖

Pont de vue : Maxon Schreave

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.

Pont de vue : Maxon Schreave

Alors August est en effet l'un des ravisseurs d'America. Et puis ce fameux Squik.

__Mich, dites-moi, Squik, savez-vous où se trouve son logement ?


__Non, Votre Altesse, comme je vous l'ai dit seul August connaît son véritable nom. Quant à son adresse, je n'en ai pas la moindre idée.

__Bien, je ne vais pas interroger August, il ne parlera pas. Sauriez-vous décrire ce Squik, pour que ne puissions établir un portrait robot.

__Évidemment, Votre Altesse.

__Parfait ! Je vais te conduire à un peintre.

Point de vue : Georgia

Je donne son biberon à Henri, c'est un vrai ange, il est si gentil et ressemble tellement à son père. August est au palais de puis plusieurs semaines maintenant, et je n'ai pas eu un seul retour sur ce qu'il s'y passe. Henri a sa cérémonie de baptême dans quelques semaines, je pensait pouvoir attendre qu'August sorte du palais mais là il faut vraiment que je choisisse seule un parrain. J'ai pensé que son ami Squik serait parfait pour ce rôle, mais je ne l'ai pas vu depuis plusieurs semaines.

J'avais décidé de me rendre chez Squik, sans le prévenir pour lui faire ma proposition. Je marchais d'un pas rapide vers sa maison. Le vent d'automne me fouettait le visage avec mes cheveux. Devant sa porte je sonnais. J'attendis qu'il vienne m'ouvrir, plusieurs minutes plus tard je commençais à m'impatienter d'attendre et pensait partir, quand je remarquait que la fenêtre du rez-de-chaussé était entrouverte. Je me dirigeais alors vers celle-ci, je poussai son battant et vis l'intérieur totalement sans dessus-dessous. J'appelais Squik de cet endroit, mais seul un craquement à l'étage me répondit. La scène était vraiment très étrange, je ne saurais pas comment vous la décrire mais il avait ces craquements effrayants comme dans les films d'autrefois. Une brise de vent traversait le salon pour s'engouffrer dehors par la fenêtre. Je décidais alors d'entrer par la fenêtre, une sensation étrange emplit mon ventre et chacun de mes vaisseaux sanguins, l'adrénaline certainement. Je m'approchais de l'escalier et montai les marches lentement. J'inspectais chaque salles tour à tour elles étaient toutes meublées du stricte minimum. De la salle au fond du couloir retentit un bruit et je me dirigeais vers cette dernière. Je la pénétrait et là je la vis.

__America, c'est toi ?

La Sélection, Et si ...?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant