Chapitre 108 : Besoin d'aide

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Chapitre 108 : Besoin d'aide

 Je rentrais vers les huits du matin, je faisais le moins de bruit possible pour éviter de réveiller Tommy qui était resté a l'appartement cette nuit, mais malheuresement .. Il tait déjà debout.

Quand il me vit, il ce leva et ce dirigea vers moi, mon ventre ce resserait j'avais du mal a respirer et a reprendre mes esprits de cette nuit.

Tommy : Tu tais où encore ?

Moi : Tu as oublié ? Je t'ai dis de toute façon de pas m'attendre cette nuit.

Tommy : Je m'en fou je veux savoir où tu étais !

Moi : J'étais en boîte c'est tout !

Tommy : Et tu étais seule ?

Moi : Oui et alors ?

Tommy : Tu t'es tapé d'autre mecs c'est ça ?

Moi : De toute façon qu'est ce que ça peut te faire ?

Je le poussais puis je montais en haut dans ma chambre, j'allais me changé quand je vis toujours la lettre pour Louis, les morçeaux restaient là, je ne voulais pas les toucher, je ne pouvais pas.

Je prenais un short et un tee-shirt, avant de descendre rejoindre Tommy.

Tommy : Tu veux toujours pas me répondre ?

Moi : Lâche-moi

J'aimais Tommy, mais je ne l'aimais pas autant que Louis, mais je l'aime vraiment, malheureusement j'en avais marre de ses questions, il me gavait.

Je préférais l'ignorer et faire comme si de rien n'étais, mais il ne lâchait pas l'affaire.

Tommy : Tu es sourde ou quoi ?

Moi : Non je ne suis pas sourde, j'ai juste un énorme mal de tête, je viens juste de rentrer de boîte et tu m'agrasse directement, tu ne me laisse pas un seul moment de répis ! Maintenant tu me laisse réspirer et tu me laisse me reposer.

Il ne disait rien, il me regardait seulement, je passais d'un seul coup devant lui sans y prêter vraiment attention.

Tommy : Tu sais pourquoi je te laisse pas ? Parce que quand tu vois ta copine rentrer avec des yeux rouges sang, avec des piqures aux bras et toute blanche, et bien tu t'inquiète ! Maintenant tu fais ce que tu veux de ta vie, nique toi la santé mais moi je serais pas là pour t'aider !

A partir de ce moment je savais que lui et moi ça ne sera pas possible, qu'il n'était pas celui que je pensais quand je l'ai revu, je ne sais pas que le seul qui pouvait me faire vivre c'était Louis, mais après ce qu'il m'a fait jene pouvais pas, enfin je ne savais pas ..

Je montais donc dans ma chambre et je prennais une bonne douche pour me reveillé un bon coup, en sortant de ma douche je me retrouvais face a face avec ma grand-mère.

Moi : Grand-mère ? Mais mais qu'est ce que tu fais là ?

Grand-mère : Ce n'est pas la question a ce poser maintenant !

Elle avait un ton sec, je savais que j'allais passer un sale quart d'heure surtout que ma grand-mère énervé c'est pire que ma mère.

Grand-mère : Alors comme ça tu te drogue ?

Moi : N'importe quoi, je ne me drogue pas qui est allait te raconter de tel conneries ?

Grand-mère : Et c'est quoi ces piqures sur ton bras ? C'est quoi ces rougeurs autour de ton nez ? Et t'es yeux là ?

Je ne disais rien, je regardais le sol, ça me rappelait quand j'étais petite et que ma grand-mère m'engueulait.

Grand-mère : Je comprend que tu t'amuse, tu sais très bien que je n'ai rien contre, mais alors là, tu as dépassé les bornes ma pauvre filles. Ouvre les yeux, tu vas finir comment a cette allure là ? Moi je sais et je vais te le dire, tu vas finir sur les trottoires a te faire sauter par des inconnues, à agoniser dans une ruelle lorsque tu seras en manque. On t'a jamais élévé comme ça avec ta mère, jamais. Maintenant tu sais quoi je te laisse dans ta merde, tu ne compte pas sur moi pour t'aider, tu sais très bien qui doit t'aider pour ça ! Au revoir, tu viendras me voir quand tout ça sera terminé.

Elle partit sur le coup, je restais bouche-bée et énervé, je descendais en trombe juste après qu'elle est claquée la porte, je retrouvais Tommy juste devant la télé avec un petit sourire satisfait, j'avais mon sèche cheveux dans les mains et j'avais juste une serviette.

Moi : Mais t'es sérieux là ?

Tommy : Quoi je t'ai fais quoi encore ?

Moi : Mais attend tu te prend pour qui pour appeler ma grand-mère comme ça ?

Tommy : Je m'occupe de toi.

Moi : Tu t'occupe de moi ? Et bien maintenant tu n'auras plus a t'occupé de moi, car toi et moi c'est fini, tu puex te casser, j'ai pas besoin qu'on s'occupe de moi, j'ai juste besoin que tu reste loin de moi et que tu me laisse tranquil.

Tommy : J'aurais jamais du revenir avec toi, jamais. Tu n'es qu'une garce, tu ne pense qu'a toi les autres tu t'en fou. Tu n'es qu'une petite conne.

Moi : C'est bon tu as assez parlé ? Maintenant tu peux te casser !

Tommy : Heureusement que je n'aurais plus a te voir, tu deviens de plus en plus conne.

Je lui mis une claque, puis il partit sans rien dire, je balançais mon sèche-cheveux contre la porte quand celui-ci claqua la porte de chez moi.

J'étais énervé, je cassais tout sur mon passage, je pleurais, je criais je n'en pouvais plus, Nesta était allez ce cacher dans la cuisine, tous les vases, touts les cadres photos étaient cassé.

Je me posais ensuite dans un coin et je pleurais toute les larmes de mon corps, je n'en pouvais plus.

*Ellipse de deux semaines*

Me voila après deux semaines de drogues, je me retrouvais aujourd'hui sur le trottoire, comme d'habitude je prennais ma petite ligne de cocaïne juste avant de faire mon tour habituel.

Juste après ma petite ligne je commençais donc mon tour, je commençais par un premier client, puis j'enchainais directement avec un deuxième le premier terminé et ainsi de suite.

Ma journée terminée, je commençais a me diriger vers la petit ruelle habituel où je me changeais, je nageais dans mes vêtements, j'étais devenu toute blanche, j'avais teint mes cheveux en rouge, on voyait mes côtes, j'étais devenu un vrai zombie.

Je m'étais donc changé et juste après mon service je prennais un peu d'héroïne et d'extasy, je cherchais donc dans mon sac la drague qui me faisait vivre maintenant.

Je continuais a chercher mais je n'avais plus rien, je commençais a me sentir mal, il ne me restait rien, j'avais besoin de ma dose, je ne pouvais pas tenir sans.

Je commençais a avoir des frissons, a avoir mal au ventre, je commençais a voir trouble, je m'avançais vers la rue pour essayer de trouver de l'aide, j'arrivais vers le bout de la ruelle quand je m'écroulais, je commençais tremblé de partout je ne me sentais pas bien.

J'étais donc par terre entrain d'agoniser, je vomissais parfois je ne me sentais vraiment pas bien, je restais donc au sol quand j'entendis une voix qui m'était bien familière.

.. : Camille ?!

Je levais la tête et je vis ..

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Fin du chapitre 108, j'espere qu'il vous aura plu, laissez un commentaire ou votez si vous avez aimé bien sure :)
Je suis désolé de le poster que maintenant au fait mais j'avais du mal a me concentrer pour l'écrire :)
Bisous mes petits chou je vous aimes fort !!

L'histoire de ma vieWhere stories live. Discover now