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Les parties sont relativement courtes mais j'en posterais une tous les deux trois jours afin de ne pas vous faire attendre longtemps et cette manière m'est préférable.

18:00.

Imân m'avait informé que le soir, la famille de Zûhir serait présente, en comité restreint. Elle m'avait également tenu au courant du déroulement de ce genre de soirée. Selon elle, tout le monde dînait dans la grande salle à manger puis les femmes quittait la pièce pour l'étage, ou chicha et musique prenaient place. En bas, les hommes parlaient affaire. Durant le dîner, je devais adopter une tenue correcte face aux hommes, en haut, je pouvais, je me devais même d'être habillé sexy. C'était une forme de pudeur pour eux que de se dénuder seulement en présence de femme et de se couvrir devant les hommes. Enfin, moi, Imân et Sana étions dans ma chambre et cherchions de quoi me vêtir. Tandis qu'elles observaient mon dressing je le découvrais également. C'est dingue, les dizaines de sacs Louis Vuitton, Gucci et Versace que j'apercevais. Imân se saisit d'une robe puis me la présenta.

Je la trouvais sublime, elle me prévint que c'était exactement ce style que je devais adopté ici

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Je la trouvais sublime, elle me prévint que c'était exactement ce style que je devais adopté ici.
Pour la deuxième partie de la soirée, Sana me tendit une autre robe.

«-Mais c'est un tee-shirt, c'est beaucoup trop court

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«-Mais c'est un tee-shirt, c'est beaucoup trop court.
Imân- C'est de la sorte qu'elles seront vêtis.
-Pourquoi être aussi provocante? 
Sana - Plus qu'une preuve de pudeur, les femmes sont aussi perpétuellement en rivalité. Qui a le mari le plus beau ? Le plus riche? Qui a le plus d'argent ? Qui a le plus beau corp..
-Je vais pas me réduire à ça...
Sana - Tu n'en n'as pas le choix, le fait que tu sois couverte ferait scandale et serait prit comme une offense aux femmes qu'elles sont. Comme si tu ne te mélangeais pas et que tu te pensais mieux qu'elle.
-Je vois.
Imân - Tu sera très jolis n'en doute pas.»

Je lui souris puis alla me doucher tandis qu'elles m'attendaient.
Je sortis de la pièce en sous vêtement et peignoir. Puis elles m'aidèrent à enfiler la longue robe. Je la trouvais sublime. Sana m'aida ensuite à me coiffer, elle tentait de m'inspirer mais chaque coiffure me déplaisait.
Elle finit par attacher mes cheveux en natte épis à l'arrière et défaire mes mèches devant.

Elle finit par attacher mes cheveux en natte épis à l'arrière et défaire mes mèches devant

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Je décida de me maquiller moi même, devinant qu'elles n'avaient pas beaucoup d'expérience.
Je ne maquillais pas en France certes, mais je sais comment le faire. Je ne maquillais pas par choix, j'adore le faire.
J'appliqua alors ma bébé crème, puis un anti cerne pour illuminer mon teint. Je fis un rapide conturing sans réellement accentuer mes traits, j'ai de base un visage plutôt fin. J'appliqua ensuite un trait d'eye liner, puis du mascara. J'eu du mal avec le mascara, dieu seul sait pourquoi mais j'en vint à bout. (réellement j'arrive jamais à la mettre correctement 😫)
J'appliqua ensuite un rouge à lèvre rouge et déclara que j'étais prête. Elles ne cessèrent de me tarir d'éloges sûrement du au rôle que je jouais dans ce château. On toqua à ma porte, j'autorisa l'entrée et vis la mère de Zûhir accompagné de son fils. Je les salua puis les filles quittèrent la pièce sous l'ordre de la reine. Cette dernière complimenta mon allure puis me laissa en compagnie de Zûhir. Je le vis me regarder tout souriant.

«Zûhir - T'es magnifique.»

Je m'approcha de lui et mis ma main droite sur son noeud papillon tandis que la main gauche était posé sur son torse.

«-Je peux en dire tout autant de toi omri.»

C'était la première fois que je l'appelait d'un nom autre que le sien, mais à ce stade de notre relation j'estimais qu'il était temps.

Zûhir.

Apres la douce balade que nous venions de faire moi et ma belle. Nous rentrons. Tout de suite les responsabilités me retombèrent dessus et l'on m'assommait de rendez vous. J'essayais de passer un maximum de temps avec Nayel et allait la voir des que j'avais une pose entre deux coup de fils. Je voulais qu'elle se sente à sa place. Un dîner s'organisait, j'allais alors me préparer. J'appliqua une dernière touche de parfum puis quitta ma chambre pour aller voir comment se portait mon amour.

Dans le couloir je croisa ma mère qui cherchait Sana et Imân, je la prévins qu'elles aidaient Nayel dans le choix de ses tenues. Elle acquiesça puis me suivit. Je toqua puis ma mere pénétra en première dans la chambre. Je l'entendis appeler les 2 femmes puis elles sortirent. Je passa ensuite l'encadrement ou je découvris une Nayel plus belle que jamais.
Je ne tarda donc pas à l'en tenir au courant.
«T'es magnifique.»

Toute de suite elle sourit puis je la vis s'approcher de moi, de ses longues jambes gracieuses.
Je sentis son corps se coller au mien et j'avoue avoir besoin d'un effort surhumain pour ignorer les deux choses plaquées contre mon torse et calmer mes esprits déplacés.

Je mis mes mains sur sa taille. Bientôt je profiterais de ce don du ciel. Et ce jour la, elle ne l'oubliera pas de si tôt😏.

J'embrassa ses lèvres tendrement puis glissa ma langue entre celles ci, ne portant que très peu d'importance au rouge qui allait sûrement se reprendre sur ma bouche. Le baiser s'approfondit et bientôt les efforts que je menais auparavant avaient de moins en moins de pouvoir sur le désir qui grandissait en moi. Mes mains eurent instantanément l'envie de parcours plus que ses hanches, mais je me saisis et décolla mes lèvres des siennes à mon plus regrets et au sien.

Toute suite je la vis rire.

«-J'ai du rouge partout c'est ça?
Nayel - C'est ça.
- À ta place je rigolerais pas parce que je peux en dire tout autant de toi. »

On alla ensemble jusqu'au miroir ou on éclata de rire. On était ridicule et si n'importe qui interrompait ce moment alors il saurait précisément ce qu' il c'était passé précédemment.

Elle essuya sa bouche puis la mienne et rappliqua sa couleur. Si cela ne tenait qu'à moi, ce genre de tenues me concerneraient exclusivement. Ma famille n'avait pas à voir l'ampleur de la poitrine de ma femme. J'osais à peine imaginer la tenue qu'elle porterait en compagnie des femmes. Cette pensée me fit frémir et je décida de cesser tout esprit mal placé en prenant Nayel par la main et en la guidant vers la porte de la chambre.

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Zûhir «Retour en terre natale»Where stories live. Discover now