Chapitre 12 : C'est juste un orage

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Le ciel était d'une humeur à chier aujourd'hui, sa couleur qui d'habitude était d'un bleu magnifique c'était laissé complètement avaler par un gris qui ne laissait rien présager de bon.

- Peut-être est-ce un signe ? ( dis-je de manière à ce que moi seule puisse entendre ) je lâcha un petit soupire tout en rabaissant ma tête et en me mordant la lèvre inférieur.

Je suis sur la route me menant vers la maison de ma patronne, d'ailleurs j'ai du me lever à l'aube pour éviter les questions de Pia parce-que croyez  moi j'ai eu ma dose hier soir, et je n'étais vraiment pas prête à revivre ça.

Après 2h de route :

Je sais que ça va faire cliché mais la je suis désolé je ne peux pas me taire :

- Wow c'est magnifique!

- ?? : N'est-ce pas ??

( Petit sursaut peu sexy )

- C'est qui ? Montrez-vous !

- Eh du calme se n'ai que moi !

- Ah Jésus.

- Tu sais que se n'est pas mon vrai nom hein ?? Rassure moi. ( dit-il un peu amusé ).

- Ah ah je sais ( dis-je en baladant mes yeux dans toute la pièce ).

- Si c'est elle que tu cherches, je suis désolé elle n'a pas pu se libérer pour venir t'accueillir.

- C'est pas du tout ce qu...

- Je sais, vient je vais te montrer ta chambre.

Après m'être installer, j'ai pus découvrir que ma patronne aimait bien cuisiné ( ou pas ) vu le nombre d'ingrédient, d'épice de tout ce que vous voulez sans déconner quoi, il y avait tout pour pouvoir réalisé un plan de grand chef, et vu les bruits bizarres qui s'échappaient de mon estomac, j'en déduisis que j'avais faim, ça et le fait que je le savais déjà, je me fis des pâtes bolognaise, parce que déjà de un je les adores, et de deux c'est le seul plat que je sais cuisiné correctement ou du moins sans avoir besoin de recettes à lire.
Mon plat de pâte à la main devant l'arme fatale ( série ), que je trouve intéressant mais je ne sais pas, je n'ai vu que les trois premiers épisodes donc je compte en voir d'avantage pour pouvoir m'en faire un avis fixe dessus.

Ellipse:

Il est déjà 23h et c'est pas pour critiquer mais si la propriétaire de l'appartement ne se dépêche pas de rentrer, je vais devoir allez me couche, et oui comme vous l'aurez remarqué sûrement ou pas d'ailleurs, je suis une couche tôt, je replia mes pieds jusqu'à ma poitrine me mettant à balader mes yeux dans toute la pièce, et ce fut seulement à cet instant que je remarqua la photo de famille  en évidence, je me leva et me dirigea vers celle-ci.

- Je ne te connais pas toi ! ( dis-je tout en posant mes doigts sur le visage d'une magnifique petit fille brune un sourire jusqu'aux joues ).

Mais ne m'attendant pas à une réponse le fait d'en recevoir me fis un peu sursauter.

- Il s'agit de ma défunte petite sœur Margot. ( dit-elle tout en enlevant son manteau ).

- Ah, je suis désolé. ( dis-je la tête baissé ).

- Il n'y a vraiment pas de quoi mais c'est gentil, c'est vrai, c'est moi qui suis fautive de ne pas t'en avoir parlé.

- Je compr...

- Bon je vais monter dans mon bureau, j'ai pas mal de dossiers qui m'y attendent donc je vous souhaite bonne nuit.

Je voulus insister mais je n'en eu pas le courage, je la regarda simplement s'en aller sans rien ajouter de plus.

•••••••••••••••••••

C'était quoi ce bruit ? Et il est qu'elle heure ?

3h20

Sérieusement ?! Je suis fatigué et puis si c'est des voleurs, ils n'ont cas prendre ce qu'ils veulent.
Je voulus me recoucher mais le même cris de tout à l'heure m'en empêcha ( encore ), je me leva et le suivi, étant donné qu'il pleuvait des cordes dehors j'avais un peu de mal, mais au bout d'un moment je la trouva, et l'endroit d'où le bruit provenait me surpris un peu parce que il s'agissait de la chambre de Maya.
J'y entra et je la trouva emmitouflé dans ses draps entrain de hurlé au sens crus du terme, c'était flippant, mais bon si je veux  espérer encore pouvoir me rendormir, il faut qu'elle le soit, je m'approcha d'elle et lui demande d'arrêter de crié mais elle n'en fit rien, elle se retourna juste vers moi les larmes pleins les yeux, et je continua ainsi pendant environ quarante minutes avec des méthodes plus farfelus les unes que les autres mais rien donc ne  sachant plus quoi faire je m'approcha d'elle et...

J'y entra et je la trouva emmitouflé dans ses draps entrain de hurlé au sens crus du terme, c'était flippant, mais bon si je veux  espérer encore pouvoir me rendormir, il faut qu'elle le soit, je m'approcha d'elle et lui demande d'arrêter de crié ...

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Elle resta immobile pendant un bon moment comme une statue de sel, même cligner des cils elle ne le fit pas, comme si elle s'attendait à tout de ma part sauf à ça, et je dois avoué qu'elle n'est pas la seul, je sais même pas pourquoi j'ai fais ce que je viens de faire.

- Bon maintenant tu arrêtes de hurler comme une dingue et tu me laisses dormir.

- Je suis désolé, c'est juste que je n'aime pas lorsqu'il pleut.

- C'est juste un orage tu sais !

- Je sais mais je n'aimes pas!

- Bon d'accord de toute façon je vais me recoucher bonne nuit.

- HMm... attend...s'il te plait...je voudrais que tu dormes avec moi juste pour ce soir.

Je jaugea la situation, dormir seule ou profiter de ce petit moment d'intimité que je pourrais éventuellement partager avec ma patronne ?!

- Bon...d'accord.

Je me glissa dans sa couverture, je m'y installa confortablement et par réflexe je mis mes mains autour de sa taille, mais les enleva aussitôt, mais bizarrement elle les remis d'où je venais de les enlevés et se rendormi presque aussi vite, et moi comme une taré je me mis à la fixer un sourire aux lèvres, elle est tellement magnifique.

Une Patronne Pas Comme Les Autres [ En Correction ] Where stories live. Discover now