SEHUN// Mon pire cauchemar

33. NADYA ne pleure pas !

SEHUN :

Je n'arrive pas à comprendre ce que je lis. Il me faut une seconde lecture pour tout comprendre. NADYA est en danger. Elle m'a envoyé cet SMS hier soir. Elle s'est évanouie ce matin. Pourquoi j'avais perdu mon téléphone. Elle doit avoir très peur, et surtout elle a du croire que je l'avais abandonner. J'appelle la police. Ils arrivent rapidement. Nous sommes tous inquiets pour NADYA. Je leur montre le SMS. Le policier demande au Directeur où se trouve la maison. Nous y allons tous. Le plus âgé des policiers me demande de frapper et de demander à la voir pour faire diversion. J'accepte parce-que je ne peux plus supporter de savoir qu'elle est dans cette maison avec son demi-frère.

Je frappe à la porte. C'est son frère qui ouvre. Je lui demande de voir NADYA car il faut que je lui parle. Il me nargue du regard et me dit :

"- Elle est dans sa chambre. Elle récupère du bien que je lui ai fait" 

Je deviens fou de rage et je lui balance un coup de poing dans le visage. Il est déséquilibré, j'en profite pour le pousser et entrer dans la maison. Je la cherche du regard. Elle doit effectivement être là-haut. Je commence à monter les marches, mais l'autre imbécile me retient par le bras et me pousse pour me faire dévaler les escaliers. Je tombe par terre.  Il en profite pour me donner des coups de pied dans le ventre. J'ai tellement mal que je crois que je vais perdre connaissance. Puis je pense à NADYA. Je retrouve un second souffle. Je me relève, et je lui donne à nouveau un coup de poing. Il esquive et tente de m'assommer. Mais, je suis plus rapide que lui, et je lui donne un énorme coup dans le ventre. Il a le souffle coupé, et se plie en deux. Je passe devant lui et je cours dans les escaliers. La porte de la chambre de NADYA est fermée à clé. Je cogne pour lui demander de m'ouvrir. Je dois vérifier qu'elle n'a rien et surtout qu'il n'a pas abusé d'elle comme il me l'a dit. Je le tue, sinon. Elle ouvre, m'attrape par le bras et me fait entrer. Elle referme à clé derrière elle. Il est déjà derrière la porte. Il frappe comme un malade. J'ai peur qu'il finisse par la fracasser.

Nous sommes tous les deux dos à la porte pour la retenir s'il arrive à l'ouvrir. Nous ne bougeons plus. J'ai très mal au ventre. Mais, je ne me plains pas. Je tourne ma tête vers NADYA. Elle semble aller bien. Je la regarde, elle est effrayée à cause des coups contre la porte. Elle ne parait pas avoir d'autres séquelles d'une quelconque agression. Je suis soulagé.

Puis nous entendons la porte du bas claquer contre le mur. NADYA sursaute. Et nous entendons les policiers crier :" Rendez vous ou nous serons obligés de tirer. " 

Ils montent les escaliers, et j'entends un bruit de menottes. J'ouvre la porte légèrement pour prendre connaissance de la scène. Le demi-frère de NADYA est menotté, et les policiers l'entrainent vers l'extérieur de la maison. Je serre NADYA dans mes bras. Elle se laisse aller et pleure longtemps sur mon épaule. Je caresse ses cheveux et je lui dis ;

"- Ne pleure pas NADYA ! C'est fini ! Il ne t'importunera plus."

Je dépose un baiser sur ses lèvres, j'adore cette sensation. Je retrouve la douceur de ses lèvres, je suis heureux. Elle n'a jamais voulu me laisser. Je ferme les yeux. Nous sommes arrivés à temps, et dieu sait ce qu'il aurait pu lui faire. Elle a dû vivre un calvaire avec lui.

Nous descendons et les potes nous rejoignent. Ils sont heureux que je n'ai rien. Si on peut dire car j'ai très mal au ventre. Les coups de pieds que j'ai reçus  m'ont blessé. Mais, je ne veux pas en parler devant NADYA. Elle a eu son lot de douleur. Je lui tiens la main. Elle dépose délicatement, très délicatement, ses lèvres contre les miennes. Je suis heureux à nouveau. Mon coeur s'est remis en route. Elle sait que je l'aime. Et elle ? Elle m'entraine dans sa chambre. Elle m'oblige à prendre une douche. Je ne le souhaite pas forcément, elle découvrira ma blessure. Elle commence à enlever mon tee-shirt. Je me laisse faire, je suis trop bien avec elle. Elle aperçoit ma blessure et fronce les sourcils. Je la rassure en lui confirmant que je vais bien. Elle se déshabille devant moi, et entre dans la douche. Je la suis. Elle est magnifique, et j'ai déjà envie d'elle. Je la serre contre moi. Elle pose sa tête sur mon torse. Je sens ses formes féminines épouser mon corps. Cela devient trop insupportable. J'embrasse ses lèvres. Je caresse son dos. Mes mains descendent sur ses fesses. Je la plaque contre moi. J'ai encore besoin de la sentir contre moi. Je reste quelques minutes ainsi et je l'enlace. Je dépose plein de petits baisers sur ses lèvres, ses joues, son cou. Je n'ose pas descendre complètement sur son corps, comme je n'ose pas lui faire l'amour. J'ai peur qu'il lui ait fait trop mal. Elle m'attire à elle avec tellement de conviction que mon désir se décuple. 

J'entreprends de la laver, je passe lentement mes mains sur sa poitrine. Je suis à fond. Elle est trop belle, j'ai tellement envie de l'aimer. J'attends qu'elle m'autorise. Je continue à laver chaque parcelle de son corps. La poitrine a été le plus difficile à contrôler pour moi. Ma main se dirige vers son centre sensible. Elle se crispe. Je m'arrête. Je la fixe, et elle me sourit. J'entre en elle, c'est divin. Je la garde contre moi, je l'aime. Je la contente de mes va et vients. Elle est superbe, je suis "accro" à elle. Elle m'achève. Je bouge à en périr. A chaque fois, je pense que je suis vaincue et que je vais partir. Mais j'arrive à me contrôler pour notre plaisir à tous les deux. Je continue à la maitriser encore quelques minutes, et je n'en peux plus. Je m'évade. Comme à chaque fois, elle transperce mon coeur par ses gémissements. Je suis raide dingue d'elle........................

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NADYA est hors de danger. SEHUN s'est conduit en héros. Que pensez vous de ce chapitre et de l'histoire ? Laissez moi vos commentaires.