Docteur.B ( En Pause )

Chapitre 10

  Dans les pensées de Jalobert

Je me réveilla et regarda autour de moi. Colibry était toujours à mes cotés et dormait comme un nouveau-né. Je m'approcha de son visage et vit que celui-ci était abondamment mouillé. Je toucha du bout de mon index sa joue et le retira rapidement. 

Je pouvais sentir quelques émotions en elle. Comme on me l'avais dit, quand j'aurai des pieds, je pourrai voir les émotions de certaines personnes. Seulement des gens qui m'étaient familier. Non, je ne pourrait pas regarder dans le cœur des inconnus, malheureusement.

Je laissa Colibry tranquille et décidit de m'asseoir, pieds replié. Je songea au jour où j'ai rencontré cette petite fille qui devenait maintenant, mature.

Tout commença le jours où je fus né. Je suis venu au monde comme tout autre petit sac. Un arbre habitait des milliers de minuscule être comme moi. Il était grand et majestueux,il n'existerait jamais aucune plante comme lui. Nous étions tous attacher sur une branche. Sur ma branche , il y avait une fleur verte. Et dans cette fleur, il y avait moi. Grâce à la sève que produisait l'arbre, je me nourrissait et grandissait rapidement. Mais pour qu'un sac puisse naître, il lui faut une centaine d'année, mais moi, je ne voyais pas le temps passé. 

Au bout d'un demi-siècle, mes yeux se forma et je pu voire les autres sac dans leurs globule blanche. Ma fleur avait disparu et je ne savais pas pourquoi  je me retrouvais moi aussi dans cette sphère informe et gluante.. Je me demandais comment je savais qu'il y avait une fleur auparavant. Car oui , je pouvais pensé, je ne savais pas ce qu'était la parole, mais je pouvais pensé. 

Il me fallut une dizaine d'année pour que je grossisse un peu plus. Je sentait mon cœur prendre une masse plus importante et le cuir m'enrobait de plus en plus. Un cuir de feuille. 

Puis, plus rien. Je ne peux me rappeler du reste. 

Plus tard, lorsque je fus réveillée, ma globule me transporta à un endroit que je ne connaissait point. J'ai toujours voulu revoir ce panorama, mais plus j'essayais de me rappeler de ce paysage et  plus je perdais l'image de se lieux, si fantastique. Je décida d'arrêter de penser et je soupira quelques secondes, puis, j'ouvris ma bouche et j'aspira  une bouchée d'air que j'avala ensuite. Je senti une sorte de bestiole se débattre dans ma bouche, je l'ouvris  et je vis l'étrange bête sortir et s'éloigner, en l'instant d'un souffle, et partir loin jusqu'à qu'elle devienne un tout petit point noir.  

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La suite très prochainement