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Jeno, sur moi, me regardait avec des yeux pétillants de fougue et de vie. Mon dieu, qu'est-ce qu'il était beau...

Il m'embrassa doucement et passa ses mains sous mon pull. Il titilla mes zones érogènes et colla son bassin contre le mien. Il vint poser sa main sur ma joue et la caressa doucement. Il rua sa tête vers mon oreille et en mordilla le lobe. Je me sentais étonnement bien. L'angoisse des derniers jours vis-à-vis de SB disparaissait et j'étais envahi par un flot d'amour et de désir envers Jeno.

Celui-ci détacha son emprise sur mon oreille et m'enleva délicatement le tissu recouvrant mon torse. Il caressa chaque parcelle du haut de mon corps et vint m'embrasser plusieurs fois.
Il descendit ensuite ses mains plus bas jusqu'à arriver sur le haut de mon pantalon, qu'il se fit un plaisir de retirer. Puis vint le tour de mon caleçon d'être enlever, sans aucune pitié.

J'étais nu, devant l'amour de ma vie et j'avais incroyablement chaud. J'étais... excité ? Cela devait être ça, le mot... ? Oui. Je l'étais bel et bien. J'étais en trans sous le corps de Jeno.

Mon amoureux se sépara également de son pull, laissant apparaître son torse si bien sculpté, que je rêvais de voir et dont, d'ailleurs, je rêvais la nuit. Si j'avais su, je ne l'aurais jamais laissé porter cette chose.

Jeno, également nu à présent, se tenait à califourchon sur moi et vint doucement déposer des baisers sur mon cou brûlant. Nos regards se croisèrent et je pus apercevoir ses yeux, noirs de désir. C'était la première fois que je voyais ses yeux ainsi déformé par l'envie, et j'espérais que ce ne serait pas la dernière.

Ses baisers s'arrêtèrent soudainement, laissant place à une activité plus sauvage. Jeno mordillait et suçotait mon cou, laissant des traces rouges et violacées partout sur ma nuque. Il descendit peu à peu vers mon torse où recommença des agressions encore plus sauvage sur ma peau blanche, virant désormais à des couleurs plus sanguines.

Je n'arrivais plus à retenir mes gémissements et ceux-ci emplissaient à présent la pièce.

Jeno, l'ayant remarqué, s'attaqua ensuite à mes boutons de chairs qu'il mordilla, me faisant pousser des cris d'excitation. Je tremblais de désir pour lui, j'étais bouillant, je voulais aller plus loin.

Je passai mes mains sur chaque parcelle de son torse. Il les arrêta et les porta rapidement vers sa bouche. Il les embrassa doucement et remonta ses baisers jusqu'à mes avant-bras. Il se stoppa brusquement et se rua sur ma bouche qu'il embrassa avec passion. En effet, il ne m'avait jamais embrassé comme ça. Nos salives ainsi que nos langues s'entremêlaient pendant qu'il caressait mes fesses. Sa main se dirigea dangereusement vers mon érection, qu'il commençait à masser. Mes gémissements se faisaient de plus en plus intenses et mon aimé semblait fière de lui.

Il descendit à nouveau, cette fois-ci à hauteur de mon organe. Il me sourit de plus belle, puis il lécha lentement mon membre dur et chaud. Je fus en trans suite à cette démarche sur mon intimité. Il continua quelques secondes, avant de prendre cette chose dur dans sa bouche.

Je m'accrochai au drap et poussait des cris aigus, plus aigus que je ne l'aurais pensé.

Il commença une longue série de vas et vient, tandis que je criais des choses dénuées de sens. Plus il enfonçait mon engin, plus je me crispai de plaisir.

Jeno arrêta soudainement, m'arrachant un soupir de frustration rauque. Des larmes de plaisir perlaient de mes yeux sans que je ne m'en rende compte. À cette vue, il sourit à nouveau et vint déposer un délicat baiser sur mes lèvres.

Il attrapa une boite de préservatif, poser astucieusement sur la table de nuit. Je me demandai comment n'avais-je pas pu les remarquer, mais soit.

Il en enfila une sur son engin dressé et chaud. Cette vue me fit rougir et me mit mal à l'aise. Je détournai les yeux et ceux-ci furent attirés par la boite de préservatif, rose, posée à présent sur le sol. Goût... Fraise... ? Mais Jeno, sérieusement... ?

Je ne pus m'empêcher de laisser échapper un petit rire. Il me regarda, intrigué et mon regard se posa à nouveau sur lui, ou plutôt son torse...

Il se mordit la lèvre et ouvrit la bouche, pour me laisser entendre sa voix, j'avais l'impression qu'un éternité s'était déroulé depuis le début de tout... ça.

«On se moque de daddy, baby boy ?»

Venait-il de m'appeler ainsi ? Il fallait croire que lui. Incapable de bouger, je ne pouvais que le contempler. Ses cheveux si bien coiffé d'habitude était à présent décoiffé. Son si beau sourire avait été remplacé par une mine de bad boy se mordant la lèvre. Une fois de plus, je ne pus m'empêcher de rougir.

Il caressa mon visage, puis mon torse et enfin, il descendit jusqu'à mes jambes, qu'il écarta.

Il lubrifia mon entré, puis y fit entrer son engin gonflé et dur.

La douleur me fit tressaillir violemment. Jeno posa ses lèvre sur mon cou, qu'il recommença à suçoter pour que j'oublie la douleur éprouvée plus bas.

Il commença des coups de bassins, devenant de plus en plus violent. Au fur et à mesure, mes cris emplissaient de plus en plus la pièce.

Il continua ses coups de butoirs en passa ses mains sur mon torse, qu'il vint marquer, au même titre que mon cou.

Mon buste était recouvert de marques colorées et de la salive de mon bien-aimé. À cet instant, je me sentais tellement important pour lui que je ne pus m'empêcher de sourire. Il me renvoya d'ailleurs un sourire.

Je pris sa main et ses coups de reins accélèrent, je gémissais si fort, que ma voix se craquait un peu plus à chaque cris. Je gémissais son nom, je gémissais l'amour que je ressentais pour lui.

Il percuta ma prostate de pleins fouet, me faisant atteindre le septième ciel en un seul coup de bassin. Je bavais, je déchirais les draps, j'étais heureux avec lui.

Chaque coup augmentait l'intensité de l'acte, si bien que je ne pus m'empêcher de m'écrier :

« JE... JENO !! J... J'AI CHAUD... JE VAIS... »

Sans avoir le temps de finir ma phrase, je vins me déverser entre nos deux torses qui étaient à présent collés, remplis de transpirations et de salives.

Jeno ne s'arrêta pas pour autant, continuant de pilonner mon entré avec la même fougue qu'au début de l'acte. Les larmes de plaisirs ruisselaient de plus en plus sur mes joues, désormais humides. Mon souffle ainsi que le sien étaient saccadés et bruyant. Mes gémissements n'étaient plus que des cris venant se heurter contre les murs.

Jeno se déversa en moi dans un dernier orgasme commun. Il se retira et s'allongea à côté de moi, en prenant ma main dans la sienne. Il déposa un tendre baiser sur une marque violacée, disposée sur mon cou. Je sentis son souffle chou contre ma nuque, ce qui me fait anormalement rougir après ce qui venait de se dérouler.

Il me prit dans ses bras, m'embrassa chastement puis me susurra :

« Renjun, je t'aime plus que tout. Je suis heureux d'avoir enfin pus te le prouver. »

J'espère que ça vous a plu hehe~

J'espère que ça vous a plu hehe~

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↠Cold Feelings↞ ⌜Noren⌟Où les histoires vivent. Découvrez maintenant