Passions Nocturnes

Chapitre Neuf

J'arrivais chez moi au environs de quinze heures, l'appartement était resté tel que je l'avais laissé, tout était à sa place. Je repensais à cette douche que j'ai eu cinq heures plus tôt avec keri, j'avais des souvenirs qui me revenaient pour me rappeler à quel point c'était juste toride, il avait pas d'autre mot pour décrire cela. Mes pensées n'arrivaient pas à s'en détourner. Je me mis au lit un instant, me remémorant ces moments de plaisir partagés avec keri; je m'endormi sans m'en apercevoir.
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Il est bien vrai que parfois la vie nous fait rencontrer des personnes qui, même si on nous disait qu'il serait dans notre vie on y croirait pas. Je ne l'avais pas cru, je ne le crois toujours pas mais, elle m'a marqué, elle est encré en chaque partie de mon corps, mon âme; chaque cellule, chaque molécule et chaque atome de mon corps résonnaient, imprimaient son image. Cette femme, je la veux aujourd'hui et pour toute mon existence.
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Encore ce rêve. Après la poursuite, de cette femme que je ne connaissais pas, cet inconnu avec son couteau qui essayait de nous agresser. La femme que je suivais, était enceinte vu la taille de son ventre je dirai six mois, je la vis à terre le couteau dans le ventre et du sang qui coulait, recouvrant tout le tapis de soie égyptienne de l'hôtel avec des motifs délicatement dessiné, qui démontre tout le savoir faire qu'il a fallu pour cet oeuvre d'art. Même si les personnes autour de nous étaient différents, l'agresseur et la femme étaient les mêmes personnes. Le problème, je ne les connaissais pas; et ça il fallait que je le découvre seul, il y a personne pour m'aider. Ce mystère, je ne serai pas tranquille si je ne le résous pas; j'ai remarqué que cette scène se passait à une heure précise Cinq heures vingt, je ne saurais dire si c'était le matin ou l'après-midi. Cette fois ci j'en suis sûr il faut que je comprennes la raison de ces rêves qui me hantent depuis quelques jours, je ne serais pas tranquille sans ça.
Dans un sursaut je me réveillai. En regardant sur l'horloge de ma chambre, il était vingt trois heures quarante; je décidai que le lendemain matin je me mettrai en quête de réponse.