inanimé le temps d'un soupir,
tu voulais me prendre dans tes bras, fébrile et ravagé, à délier les mots avec candeur.
le temps était passé et c'était toujours la même rengaine, la morphine, le sommeil puis la nourriture qui dégoûte. je me pétrifiais peu à peu dans mon impuissance, à chercher les rires à cueillir les peurs.les amis je vous présente le flottement des âmes.
tandis que nos sourires s'étendaient dans le ciel vaste et bleu aux allures musicales. on parlait de style ou bien d'amour mais rien n'empêchait car ici résidait l'espoir en nos coeurs enveloppés d'un velours d'amitié. l'art portait nos mots le dessins nos plus tendres douleurs
et
je
ne
me
souviens
plus
( mon dieu )
à quel pointnous étions heureux.
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à mon étoile
Randomrespirer de l'air pur ou de l'oxygène conditionné ( écrit in memoria )