Partie 2 le réveil

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           1 minute, 1 heure, 1 journée ou 1 mois, je ne savais aucunement cela faisait combien de temps que je me trouvais dans cette état, la noirceur m'étouffait et je ne pouvais reprendre mon souffle. c'était comme si on m'avait mis un sac sur la tête et que l'aire commençais a se faire de plus en plus rare. Que c'était-il passé? pourquoi en une fraction de seconde je passe de moment de folie a chanter a tue tête avec ma famille a ce moment sinistre qui m'était totalement inconnue. Est ce que ma mère et mon frère ce trouvais eu aussi dans le même état que moi? 

           Je n'avais jamais été une grande experte pour dévoilé mes émotions ou même mes sentiments, mais a se moment même si j'en aurais la possibilité je crois que je crierais toute cette inquiétude qui s'empare de moi peu a peu. je n'était clairement pas le type de fille qu'on devait chouchouté a tout les deux minute et qui avait peur de se casser les ongles, mais là , j'avais envie qu'on me prenne la mains et qu'on me ramène a la lumière et qu'on me dise Ari, tout vas bien!

             Par surprise une petite lueur se fit entrevoir,je ne pouvais distinguer ou j'était, mais je savait qu'il y avait derrière ce voile lumineux une issus. Était-je morte? était-je en route vers le paradis? ou bien est ce que j'était simplement entrain de me réveiller? je sentait a l'occasion des mains se poser sur mes bras et quelque sensation de piqûre comme si on me prenais des prise de sang. 

         une œil, puis l'autre, j'était enfin sortie de cette pénombre. a ma plus grande surprise j'était coucher sur un lit d'hôpital, seul. Seulement entouré de machine et de fil relié entre moi et ceux-ci. Tout était blanc et épuré dans la chambre. il n'y avait aucune preuve que quelqu'un était venu me rendre visite pendant ... le temps que j'ignorais que j'avais passer dans cette chambre. une infirmière entra dans la chambre sans ce soucier de moi, puis lorsqu'elle posa les yeux sur mon visage un énorme sourire se dessina sur sa bouche.

Elle: oh! bienvenu parmi nous madame Parker! je prévient le docteur Royé de votre réveille. 

Elle sortie aussi vite qu'elle était arrivé de la chambre. cela pris quelque minute avant que je voit un homme assez grand a la chevelure presque qu'inexistante vêtu d'un uniforme de médecin, il vint vers moi et prit place juste a côté de moi.

Lui: bon retour parmi nous madame Parker! 

moi: qu'est-ce qui est arrivé? ou sont ma mère et Alex?

Lui: vous avez eu un grave accident ma belle! vous venez de traverser un bon 1 mois de coma... vous devez vous reposer et on reparleras de votre famille par la suite... je revient dans quelque heure faire quelque teste... reposer vous pendant ce temps. 

         Il avait évité de répondre a ma question, ce qui me m'était encore plus dans un état d'inquiétude. je dormis quelque heures jusqu'à ce que le docteur revienne dans ma chambre avec un calepin et quelque question. il voulais tester mon cerveau pour voir si tout allais bien. je devais encore rester quelque temps dans l'établissement pour que je me rétablisse a 100%. 

moi: vous m'avez toujours pas répondu quand je vous ai demandé ou est ma famille?

il pris que seconde avant de me réponde je sentit que quelque chose le tracassait. 

lui: vous savez, vous avez eu un terrible accident , nous avons tout fait en notre pouvoir pour vous sauvez vous, votre mère et votre frère, mais pour eu il était déjà trop tard... Nous avons tenter de contacter votre père mais il n'y a eu aucune réponse...

Les larmes me montais au yeux... j'avais perdu les êtres qui contais le plus pour moi, je me sentais tellement démuni, seul au monde. il n'y avait pas de mot pour décrire la douleur que je pouvais ressentir a ce moment même. je resta la plusieurs heures coucher dans mon litt d'hôpital a regarder par la fenêtre le coucher de soleil. Mais qu'est ce que j'allais devenir. Il était évident que mon père n'était pas venu voir si j'allais bien et Thom n'était surement pas au courant de la situation il était surement encore en mission militaire. 

              1 mois de réhabilitation, 1 mois a être dans une chambre d'hôpital sans avoir la moindre visite de proche, il est certain que je n'avais plus vraiment de famille. et puis mon clan les Valkyrie n'était pas très fervent des hôpitaux et puis elles ne devait pas être au courant de mon état. Même si le moral était a zéro je me battais pour reprendre des forces ce qui me permis d'avoir enfin mon congé d'hôpital et de repartir chez moi. je dut marcher 10 km pour me rendre a ma maison, il n'y avait personne pour venir me chercher et personne pour prendre soin de moi. Par chance que le personnelle hospitalier avait su me donné espoir. 

             Lorsque j'ouvrit la porte de ma maison, je la retrouva vide, plus aucun meuble n'était a l'intérieur seul un petit mots sur le comptoir m'étant adresser '' Bonne chance pour la suite... la maison est vendu ...Georges". il avait eu le culot de venir vider tout ce qui me restait de souvenir, mon chez moi était partie en fumé! les larmes coulais a flot sur mes joues, j'avais se sentiment d'être seul au monde. il ne restait quelque vêtement dans ma chambre. Comment on pouvait être cruel a ce point, il m'avait prit tout et me jetais a la rue, j'était une orpheline itinérante...

Puis je me souvint de ce que maman nous avais toujours dit, je couru jusque dans le panneau de la cuisine la ou on avait tout graver les numéros de téléphone a même le bois. je prit en note le numéro qui se situait tout en haut avec écrit a côté en cas d'urgence. je trouva une petite cabine téléphonique deux rue plus loin et appela. Je ne savais pas trop qu'est-ce que j'espérais trouvé en appelant là, mais je devais faire quelque chose. rester les bras croiser, sa n'avait jamais été un option pour moi et sa ne le sera probablement jamais. il était peut être 11 heures du soir, mais cela m'importait peu je devait essayer.... ou du moins je devais agir.


Une seconde de ma vie.Where stories live. Discover now