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 Avant de commencé mon chapitre, je voulais vous prévenir que j'écris une seconde histoire en même temps : Néfaste. Alors j'espère que sa vous plaira également, car c'est une histoire qui me tiens à coeur, alors maintenant je vous laisse avec la suite, bonne lecture ! Et surveiller bien à droite à gauche, Zozo est partout !

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            Point de vue de Julia.

       Quand j'ai connu Laura, elle semblait perdu, les cernes lui dévoraient le visage, elle avait l'air tellement distraite. Alors je suis allée lui parlait. En la voyant sursauté, je pensé que c'était une fille battue, au vu de tous les bleus qu'elle avait sur les bras et sur les clavicules. Mais non, je n'aurais jamais pensé et je ne m'étais surement pas attendue à ce qu'elle allait me raconté...

2 mois plus tôt.

    Paris, la plus belle ville de France à mon goût. J'adore marché à travers les rues, les parcs et regardait les gens rigolaient et parlaient avec enthousiasme à leurs amis. Aujourd'hui c'est une journée spéciale, c'est MA journée. Je prévois souvent des journées en mon honneur, à profité, sans travaillé, ni me prendre la tête avec des détails. En entrant dans un des parcs que je préfère, je marche, et regarde toutes les personnes autours de moi. Un couple se câline sur un banc, deux mamies parlent et un groupe de filles et garçons mélangés se marrent. Et au loin je vois une fille, une fille seule. Elle regarde dans le vague, on dirait qu'elle me regarde mais je vois bien qu'elle ne me prête aucune attention. Je m'approche un peu, et je regarde des bleus sur les bras fins, et sur ses clavicules trop visible. Qu'est-ce qu'elle est mince ! Elle ne doit pas dépassé les 45 kilos, elle a d'énormes cernes sous ses grands yeux verts. Elle est blonde, un blond très clairs, platine je crois que sa s'appelle comme sa, mais ses racines sont noir, ce qui crée un ombré, voila un ombré, comme moi, sauf que moi j'ai les cheveux bien plus long. Elle a l'air triste. Elle a l'air si seule, et si fragile... je vais allé lui parler, ma bonne action de la journée ! Je m'approche doucement et lui dit doucement :

      - Bonjours ,(Elle sursaute et me regarde avec de mon grands yeux, ils sont rouge), Eh, ne t'inquiète pas.

Elle regarde un peu partout pour revenir à moi en me répondant en chuchotant :

     - Bonjours.

Elle me fait un sourire à peine perceptible, mais je le voie, elle est tellement jolie, je n'imagine même pas comment elle serait magnifique avec un vrai sourire. Je lui souris et m'assois à côté d'elle, sa pourrait devenir ma première amie ? Je l'espère.

     - Sa va ? dis-je le plus doucement possible.

Elle fronce les sourcils et me demande si peu sûr d'elle : 

     - Pour quoi tu restes avec moi ?

J'hausse les épaules et lui sourit :

    - Je m'appelle Julia et toi ?

     - Laura.

Un beau prénom pour une belle fille. Elle a l'air si faible ! Mais soudain elle ouvre de grands yeux et elle se bouche les oreilles de ses mains pour se recroquevillée sur elle même. Quoi ? Mais qu'est-ce qu'elle a?  Elle commence à pleuré et même à dire des petites phrases en chuchotant si bas que j'ai dû mal à entendre :

    - Laisse moi, vas-t'en...

Pendant un instant je crois qu'elle parle à moi mais non, je lui prends les mains et lui dit que je suis là, que sa va allé. Elle me prend soudainement dans ses bras en pleurant.


Point de vue de Laura.

2 mois plus tard.

Monsieur Lanois me regarde fixement, et les ombres courent et chantent dans mes oreilles, je n'en peux plus !

     - Sortez de chez  moi ! criais-je.

Il se lève et s'en va, en me disant qu'on se reverra. J'appelle Julia, une nouvelle amie, je l'ai rencontré il y'a deux mois. Elle est gentille. C'est ma nouvelle amie. Elle doit dormir à cette heure ci, donc je comprends qu'elle ne répond pas. Je file dans ma cuisine ou des "Z" sont gravés partout, je ne peux plus le supporté. 


Je me réveille. Et je sursaute quand Monsieur Lanois me sourit. Comment ? Depuis quand ? Il détourne le regard et se pose devant moi, je me suis endormie assise à la table de ma cuisine. Il regarde autour de lui :

    - Sacré bordel ! 

Je chuchote que ce n'est pas moi. Et il me répond qu'il le sait. J'avais oublié qu'il a du surement être témoin du carnage de Zozo quand je n'étais pas là. Puis lorsqu'il me regarde, ses yeux noirs me sont familier, et son sourire aussi, je me vide de tout mon sang lorsqu'il se lève pour me chuchoté à l'oreille : 

     - On va discuté toi et moi.

Zozo.Where stories live. Discover now