Chapitre 3

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Quand le soleil fut à son paroxysme dans le ciel, Diana sortit dans les jardins afin prendre de l'air frais. Le petit déjeuner  c'était très mal passé car la mère du comte n'avait pas cessé de lui reprocher des choses et de l'insulter. Elle n'était plus trop sûre de vouloir resté ici.

Elle prit place sur une des fontaines laissant sa main éré dans l'eau tiède.

Pryanka était sorti depuis des heures pour inaugurer une nouvelle boîte de nuit et lui avait fait promettre de ne dire à personne. Pour l'heure elle se sentait seule d'autant plus que les domestiques était terrifié depuis ce matin à cause de l'arrivée du comte. Il était tellement craint qu'elle crains à son tour de le rencontrer, elle avait honte de l'avoué mais c'était aussi l'une des raison de sa présence dans les jardins. Si son hôte la traitait de la même façon que sa mère, elle ferait sa valise vite fait et s'enfuirait pendant la nuit. Au vu de la  dont tout le monde courait dans tout les sens, elle n'en doutais pas une seconde.

Son cœur fît un bon dans sa poitrine quand une voiture noir se gara dans la cour. Elle se terra derrière un buisson de peur d'être aperçu et observa discretement le nouvel arrivant. Tout ce qu'elle vit fût une haute silhouette de dos, costume gris. Les domestiques aligner devant la porte et s'inclinant respectivement chacun à son tour lui donna la réponse qu'elle s'était imaginé.

C'était Viktor Di Handreas.

Viktor ôta ses lunettes de soleil et se débarrassa de sa veste avant de s'écrouler sur le fauteuil de son bureau. Ce voyage avait été des plus éprouvant et il savait que sa mère n'allait pas tarder à surgir pour décupler sa migraine.

– Je te souhaite la bienvenue mon fils, Salua sa mère en entrant précipitamment dans le bureau sans frappé comme il leurs avait très souvent demander.

Il réprima sa colère, ferma les yeux et inspira profondément.

– Merci mère; comment te portes-tu ?

– Très mal depuis tu as fait venir cette...cette guenon sous mon toit.

La conversation qui jusque-là n'avait aucun intérêt pour lui pris une autre tournure. Sa mère lui servit un verre de Johnny Walker qu'il avala sans plus attendre avant de demander :

– De qui parles-tu?

Sa mère pris place sur le fauteuil en face de lui.

– Je te parle de cette fille que tu as invité chez moi. D'où sort-elle?

– Mademoiselle Evans ?

– Oui!

– Ce ne sont pas tes affaires mère et laisse là tranquille, avait-il dit d'une voix ennuyer.

Sa mère se leva sûrement scandalisé par sa désinvolture et se plaça devant lui les points sur les hanches.

– Viktor, ce n'est pas une façon de parler à ta mère. Cette... cette fille n'est pas quelqu'un de bien. Elle va entraîner ta sœur sur le mauvais chemin.

Il réouvrit brusquement les yeux à l'entente de la dernière phrase. 

– Elle son déjà très ami. Ce matin j'ai entendu cette Diana lui dire qu'elle devait vivre sa vie et être libre et figure toi que ta sœur est partie depuis ce matin je ne sais où sans le dire à personne. Elle n'a jamais fait ça et tu le sais.

La dernière phrase tonna comme un déclic dans son cerveau. Hors de question. Sa sœur était une jeune femme très sage, elle ne serait jamais sorti dans dire où elle allait.

– Impossible, je le lui ai formellement interdit.

– C'est ce que je me tu as te dire. Cette fille ne m'inspire pas confiance. Ça fait a peine un jour qu'elle est ici, je n'ose pas imaginer ce que deviendra Pryanka dans une semaine. Une vraie dévergondée.

Au château du comteWhere stories live. Discover now