Chapitre 4

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Les larmes aux yeux, Diana rejoint la chambre qu'ont lui avait attribué, regrettant presque de l'avoir quitté. Pourquoi sa vie était toujours si compliqué ? Elle n'aurait jamais dû venir ici. Ce n'était pas un milieu pour elle car déjà ceux qui y vivaient ne l'appréciait pas.

Elle repensa aux paroles blessante du comte et voulu pliée ses affaires mais le problème que sa engendrera la fit abandonné. Deux amis qui se sépare et deux pays qui deviennent ennemis, elle ne voulais pas être la cause d'un tel drame.

Cora était capable d'en faire un problème mondial.

Elle ravala son orgueil et décida, pour tué le temps, de déballer les cadeaux qui lui avait été offerts pour son départ.

«De la part de Rayan»

Lu-t-elle sur une petite boîte en de carton de couleur noire.

– Oh... très touchant comme mots d'au-revoir mon petit Rayan. Tu t'améliore, ironisa-t-elle en découvrant la plume et la boîte d'encre.

Rayan n'aimait pas exprimé ses sentiments, il trouvait ça «pas viril» vas savoir qui lui avait appris ça.

Son cœur se réchauffa un peu plus en lisant celui de Kenza.

«je t'aime beaukou. Kenza»

Elle ne pût retenir un fou rire et voyant son beaucoup avec un "K" et le contenu de la boîte.

– Une barre de chocolat à moitié dévoré, murmura-t-elle. Merci Kenza.

Elle haussa négligemment les épaules et dégusta le reste de la friandises.

Cassie lui avait offert deux robes,une rose pâle et l'autre jaune. Elle les essaya tour à tour et se promit de ne lès mettre que pour des occasions spéciales. Grant lui avait offert un magnifique ordinateur portable et Nick le iPhone dernier modèle.

Sur le point d'ouvrir celui de Cora, on frappa à la porte et elle dû aller ouvrir.

C'était Prya.

– Oh Diana tu aurais dû venir, c'était merveilleux et...

Elle se stoppa net en voyant son visage qu'elle n'avait pas eu le temps d'éponger.

– Tu as pleurer ? C'est mon frère c'est ça ?

Elle hocha la tête négativement ne voulant pas plus créé de malentendu. Elle en avait assez fait.

– Non. Je déballais quelques cadeaux et la nostalgie...tu sais ?

– Tu ment. Esmeralda vous à vue parlé dans le jardin et elle m'a dit que tu étais toute bouleversé après.

Prise au piège elle dû dire la vérité son entrevue avec le comte.

– Apparemment tu n'as pas informé de ton départ et il voulait savoir si moi je le savais.

– Je sais qu'il ne t'a pas juste "demander" ma mère a dû lui mettre toutes sortes d'idée. Je ne la connais que trop bien.

Pryanka se laissa tomber sur son lit en soupirant. Ça ne devait pas être de tout repos de vivre avec une telle famille mais qui était-elle pour les jugés? Sans Cora elle serait sûrement à la rue.

– Je m'excuse de la part de mon frère, dit-elle après un silence.

– Ce n'est pas grave oublions.

Elle s'assit près d'elle et continua le déballage de son cadeau sous le regard interrogateur de son regard interrogateur.

– C'est Cora qui me l'a offert, commença-t-elle en déchirant le sac en plastique.

Au château du comteWo Geschichten leben. Entdecke jetzt