Ça fait du bien de pleurer. Une ou deux larmes peuvent nous libérer de poids immenses qui pesaient sur nos épaules depuis trop longtemps, certaines de joie frétillent d'excitation et chantent sur nos joues notre bonheur et nos rires.
Pleurer de rire je l'ai déjà fait, de bonheur aussi. Une ou deux larmes pas plus. Quand la peine si vient mêler la tristesse m'emporte dans un flot continue qui ne cessera qu'avec de la musique ou d'un câlin.
Je pense que nous avons tous nos habitudes quand nous pleuront. Moi je me dois de faire un câlin: doudou, câlin, épaule de quelqu'un que je connais à peine, veste, sac, miroir, ordinateur, tablette, couverture ou même nourriture, un passant fera born l'affaire je m'en moque il faut que prenne quelqu'un ou quelque chose dans les bras.
Ce soir j'avais un coussin violet en forme de cœur. Je l'ai acheter dans un petit magasin très mignon sur le bord de la route, caché entre les arbres comme la maison d'une fée, tout dans ce magasin m'avait plû; mais surtout ce petit coussin plutôt simple. Serré contre ma poitrine il a essuyé mes larmes jusqu'à ce que je me décide à mettre de la musique pour dans un premier temps camoufler le son de mes pleurs et qui, finalement, m'a apaiser au plus au point.
À chaque fois que je me décide à mettre une musique, alors que mes sanglots se font de plus en plus bruyant, je met en nightcore une musique aléatoire choisie dans mon répertoire. La musique est souvent violente et raconte quelque chose qui n'a rien à voir avec moi ou ma vie. Je ne l'écoute pas vraiment mais pourtant mes pleurs se calment et je me met à fatigué.
Je m'allonge pour être plus à l'aise et je me met à lire tout en essuyant sur ma joue une ou deux larmes.
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Les Nouvelles de la Vie
RandomJe suis quelqu'un avec beaucoup d'imagination et c'est pour ça que j'écris parfois plusieurs livres en même temps. Ce livre est composé de toutes les nouvelles qui me viennent à l'esprit en plein milieu d'un cours, alors que j'écris un autre livre...
