Yuta

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Allongés sur le clic-clac déplié face à la télé, tu est allongée sur le
ventre, lui assis contre le mur. 

Tu sens tout d'abord sa main le long de ton dos, puis caressant tes fesses à travers ta culotte. Sa main glisse sur le tissu, palpe et presse, puis redevient légère.

Remonte le sillon de tes reins, t'arrache un frisson-réflexe animal, revient sur ton cul, glisse un doigt sous l'élastique. Tu continue à taper, faussement indifférente, et ton souffle se fait court en toute discrétion. Le doigt farfouille, glisse et découvre l'inondation, tu l'entend qui sourit derrière toi. 

Il ressort et pince ton pli fessier, t'étouffe un petit cri, il revient, repasse sous l'élastique, l'écarte,  tu ferme les yeux. Tes doigts  sont suspendus, griffes molles figées au-dessus du clavier, tu sais que ça lui plait, s'il ne le voit pas tu n'en veux plus. Qui bougera le premier?

 Qui sera en demande clairement identifiée? Il le fait exprès, il veut que tu tu retourne, tu ne te retournerai pas tu le rendrai fou avant, tes bruits doivent sortir pour qu'il s'oublie et cède alors tu te mets à gémir, laissant croire à une progression alors que dès la première caresse tu connaissais l'issue et étais prête déjà. 

Le sait-il? A-t'il, lui, su décoder le mouillé?

 Su qu'il aurait pu te prendre tout de suite, pendant même que tu tapais? Joue t'il? Est-il seulement poli ?

 Tu  préfère croire qu'il s'amuse et lui accorde sans réserve le bénéfice du doute, cela t'excite davantage. Il expire ton prénom et tu mouille davantage, tu le visualise bandant et frémissant, ta des yeux dans le dos. Il passe sur ton clito et tout ton corps se tend, revient prendre de la mouille, revient sur le clito, fait des petits cercles comme tu lui ai appris, revient remet un doigt, revient fait tourner le bouton, tes fesses se lèvent toutes seules, c'est toi qui vais céder, non tenir encore, gémir encore plus, mouiller encore plus, le rendre dingue, qu'il craque, mais qu'il craque!

Il répète ton prénom, te met deux doigts qui semblent quatre, ta chatte se
resserre autour, elle acquiert une vie propre, elle parle et respire, vit
autour de ses doigts, ne vit que pour ses doigts, devient un étau un
brasier, fond et se contracte. 

Il faut qu'il vienne, il faut qu'il comprenne, il faut qu'il te saute, il faut qu'il comprenne.
Il ressort et repasse sur le tissu, revient au tout début alors que je n'en peux plus, que fait-il, que se passe-t'il, pourquoi te laisse-t'il? Il te dit qu'il faut mettre le portable à l'abri et tu descends de cent crans, même si tu sais ce qu'il veut dire et ne peux être contre.

 T'aurais aimé qu'il zappe, il n'est pas assez mûr, il sait encore penser, tu suis vraiment
vexée. Mais voilà qu'il revient, te serre dans ses bras, me fait me mettre en face, t'embrasse à pleine bouche puis te murmure qu'il t'aime, répète ton prénom, tu lui touche la bite, il est dur comme la pierre, tu ne résiste pas et te penche sur la bête. Il emplit toute ta bouche, t'aimerais le manger plus, le prendre jusqu'à la garde, mais ta bouche est petite et son gland seul la comble. 

Tu le lèche de bas en haut et insiste sur la jonction, titille la couture, reprend le gland violet, ta bouche suinte comme ta chatte, tu bave comme il le faut, il répète ton prénom, te gémit qu'il t'adore, tu presse doucement ses couilles il gémit ton prénom, te demande d'arrêter il va partir tout de suite.
Pourquoi cette limite, pourquoi cette finalité, pourquoi tant d'éphémère
quand ce sont des heures que tu pourrais passer? Que les hommes sont mal faits. Tu te 
retiens donc, te limite, te force à la pause, redescends de cent crans, aimerais te toucher mais il prend le relais, repousse tes mains avides, ton corps tremble tout seul, tu vibre de toutes parts, il descend et me lèche, c'est ton tour d'être folle. Il aspire ton clito et tu pars en fusée, ton mental
devient bleu, du bleu des néons pâles, t'entre en stratosphère, ne touche plus les bords.

 Il insère ses doigts en même temps qu'il te suce et le bleu pâlit encore, une lumière t'envahit et t'emplit. Et tu pense à sa bite, elle devient une obsession, et tu dit « viens »
malgré toi, le redis et geins, cherche à l'attraper et la tiens, il répète ton prénom, tu caresse ton sexe avec le sien, ça glisse c'est divin, tu vois qu'il est choqué, souris et continue. Ses yeux deviennent blancs, la provocation a du bon. Tu te prends de la mouille pour humecter tes doigts avant de les refermer sur son gland.

 Ta main ne coulisse pas, tu procède par pressions, ses yeux sont encore blancs, il glisse sa langue dans ton oreille et ton prénom résonne. Enfin il n'en peut plus, enlève ta main de sa bite et s'enfonce d'un seul coup en grognant, t'arrachant un cri mi surpris mi ravi. Son
souffle rauque t'excite, il tombe dans ton oreille, ton bassin se presse au
sien, roule à sa rencontre, il répète ton prénom sans arrêt, sur un ton de
plus en plus surpris, tu contracte et le serre, relâche puis te resserre,
et il râle « je t'aime ».

𝐍𝐜𝐭 𝐒𝐦𝐮𝐭Où les histoires vivent. Découvrez maintenant