Hendery (Partie 2)

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Des replis de ses lèvres encombrées de l'engin suinte un peu de jus, je pose un doigt sur l'écran en me branlant de l'autre main. Je connecte ma caméra pour lui faire profiter de mon hommage à ses talents de pâtissière.

 Cette fille est un baba au rhum trempé, je suis scotché à cette merveille salope à souhait. Elle tend le bras et actionne le rouleau, le retire et l'enfonce en miaulant comme un petit chat.   Bonbon rose se cambre, couine, caresse son clitoris, je jouis dans ma main. Sur la fenêtre de l'image de mon sexe, le foutre fait des petites bulles sur mon gland.

 La fille se redresse, je lui demande de se faire jouir, mais elle dit que ça n'a pas d'importance. Cette T/P ne manque pas d'air, elle reprend ses esprits, elle veut que l'on se fixe un rencard après demain. Elle défait un Malabar, je reconnais le papier, et le met dans sa bouche ; elle me provoque en me disant que je ne suis pas cap

Que c'est facile derrière l'écran, mais que c'est plus couillu d'oser la rencontrer en vrai, juste une fois. 

Une seule fois car elle ne noue pas de relation suivie. Sa voix traîne sur tous les e des mots, ce qui donne à son phrasé une impression de glisse et de perte de contrôle. Elle fixe la webcam et fait une énorme bulle rose obscène avec son chewing- gum. 

J'ai bien envie de dérailler. Le problème c'est que moi, je n'ai jamais rencontré dans la vraie vie mes plans Q virtuels. 

 Mais Bonbon rose s'impatiente, assise sur le bord de la table, les genoux croisés ne laisse plus apercevoir de son intimité que sa toison noire, du coup je contemple son visage de poupée russe, elle fait partie de ces femmes qui ne craignent pas d'ôter leur masque face à un inconnu, de longs cils noirs écarquillent un regard mutin, elle se fiche un peu de moi,

 j'ai envie de prendre sa poitrine démesurée à pleines mains, de tirer sur ses tétons grenus, je suis fasciné par l'entrelacs de veines qui marbrent ses seins, je suis pas loin de rebander à l'idée de pétrir sa chair souple. Je cède et promets.

 Rendez-vous au parking quartier Cambronne deuxième-niveau à 16h00. Elle y sera garée dès le matin, elle ne bosse pas loin, je dois l'attendre en me baladant entre les voitures, elle me fera des appels de phares pour se signaler car les portables ne passent pas. Elle me dit bye et coupe la connexion.

Je suis vanné. Je me glisse sans bruit dans le lit. Je ne sais pas si je vais descendre en deuxième sous-sol. Le doute m'absout et m'expédie paisiblement dans les bras de Morphée.

A 13 heures, je décide de lui poser un lapin, à 14 heures je suis un homme d'honneur et ne renie jamais mes promesses, à 15 heures je pense à et à 16 heures je m'engouffre dans le parking souterrain. Je braque dans le premier virage en crissant des pneus, j'adore ce bruit de série américaine, je vais m'envoyer en l'air avec une cette cochonne rose, descendre sous terre m'excite, gare à toi Bonbon rose, Grand loup noir a la dalle.

Je chope la première place libre au second niveau. Je n'aime pas trop faire le pied de grue, je risque de réfléchir et de changer d'avis. Je déambule dans la pénombre en me remémorant la scène d'hier soir pour maintenir mon désir. Pas âme qui vive autour de moi, même pas de bruits de pas. L'appel de phare ne se fait pas trop attendre. J'ai le palpitant qui s'emballe un peu. C'est le monde à l'envers de se faire alpaguer par une nana dans un parking. Tout fout le camp...

Bonbon rose descend de son break Volvo et m'invite d'un geste à passer avec elle à l'arrière. Elle est juchée sur des talons aussi hauts que sa jupe est courte, ses cuisses ne sont pas moches, bien au contraire et malgré sa tenue aguicheuse mon quatre heures est assez classieux. Ses cheveux sont superbes, très longs et brillants. J'ouvre la portière droite, les sièges sont gainés de housses roses, un discret parfum de patchouli flotte dans la bonbonnière.

 My sweet honey m'enlace et se plaque contre mon torse, je suis submergé par cet édredon de chair qui palpite, je ne regrette pas d'avoir crevé l'écran, d'être passé des pixels à l'épiderme. En cette période, Rose bonbon est l'abondance personnifiée. Je lui suis reconnaissant de ne pas avoir engagé la conversation avant l'assaut car je n'ai rien à lui dire d'autre que de poser sa main sur ma braguette déformée.

 Sa bouche est une guimauve toute douce, elle me roule un patin, fait des roulés-boulés savants avec ma langue, sa salive a goût de Malabar. Je jette un œil aux alentours, elle s'est garée dans un renfoncement qui me semble isolé, ça me rassure un peu. J'ouvre mon jean , me soulève pour le baisser et dégage ma bite prête à l'emploi. J'empoigne sa longue chevelure pour pousser sa tête vers mon bas ventre, elle ne se jette pas sur ma queue, elle la renifle, l'effleure du bout de sa langue, titille mon gland, la comprime de deux doigts,

 sa salive coule jusque sur mes couilles, elle fait durer la torture avant de me sucer vraiment, et quand elle le fait c'est tout doucettement, en pressant les muqueuses de ses joues sur chaque parcelle qu'elle embouche, à mesure qu'elle progresse vers la racine de mon sexe.

𝐍𝐜𝐭 𝐒𝐦𝐮𝐭Où les histoires vivent. Découvrez maintenant