Sombre Vie ( TERMINÉ) Histoire Vrais.

Chapitre 17 Fuire Ma Vie !

Flashback

Dans la nuit du 14 au 15 octobre 2016, j'étais avec mamour Steeve dans mon logement au calme en amoureux. Ma fille dormais dans sa chambre. On buvez l'apéro mes fenêtre étais ouverte. lorsqu' Henry débarque avec son pigeon SKISOPHRENE Mamadou.

Il commence à nous parler il étais complètement défoncé et à dit à mon homme ce qu'il c'est passé entre nous par jalousie, je savais plus ou me mettre. Steeve me crache à la gueule mais c'était pas sa le problème à ce moment là. il débarque par la fenêtre porte vitré chez moi et comme ce défoncé Steeve il c'est acharné sur le volet, à donner plusieurs coups, est rentré dans mon domicile en renversant l'huile de la friture, il y avais du sang partout.

Puis il a essayé de m'embrasser à plusieurs reprises, au moins quatre fois, il à d'ailleurs à un moment saisie ma bouche devant mon ex compagnon, puis à essayé de me toucher dans la cuisine, dans le salon, j'ai essayé de fuir, j'ai appelé la police à plusieurs reprises, au moins quatre fois.

Henry était complètement fou et ingérable.
J'avais tellement peur qu'il tue Steeve, que je lui disais de laisser faire sur moi.
Puis ensuite il m'a emmené dans les toilettes, il a essayé de me toucher au niveau des parties intimes, a chaque fois que Steeve essayait de revenir pour me protèger de lui, il se levait et il le frappait de nouveau, en lui donnant des coups de poings.

Cela a durer longtemps et je ne sais encore comment j'ai pu éviter le pire.
Ma fille n'est pas sortie de sa chambre.
La police est arrivé ensuite sur les lieux, il y'avait trois hommes et une femme, et j'ai pas compris pourquoi ils l'on pas interpellé ensuite chez lui.

La police venais juste de partir, mais à  peine 5 minutes plus tard, qu'il demeuré dans la cage d'escalier d'à côté.

Ma fille âgée de 3 ans pleurait lors de l'arrivée des policiers, il m'ont demandé de choisir si je voulais faire un dépôt de plainte.

Il ne m'a pas pénétrer lors des tentatives qu'il a faites, il ne m'a pas baissé mes vêtements, il ma toucher au niveau du legging sur les parties, il frottait sa main sur ces parties, puis me toucher la poitrine, tout en essayant de m'embrasser.
J'étais pas bourré, j'avais pas eu le temps de boire l'apéro, tout c'est passé très vite.

Sur les dégradations, j'ai eu un volet de dégradé au niveau de la cuisine, une vitre brisé, sur la porte du salon, la porte de la cuisine qui a 2 troue de coup de poings, sans compter l'huile de la friteuse, et le sang de Steeve.

Depuis début juillet 2016, il fait une fixette sur moi, tout en me disant que s'il était pas avec sa femme, il ferait tous pour m'avoir.
Il était de nouveaux revenu le lundi 17 octobre, il a sonné à l'interphone me disant qu'il voulait me parler calmement.

J'étais accompagné de Didier le père de Steeve et son frère Djo.
Ils ont était témoin des faits du lundi 16 au mardi 17 octobre, car ils sont resté chez moi pour me protéger de ce type, au cas où il reviendrait à mon domicile, chose qu'il à faite d'ailleurs.

J'ai appelé la police de nouveau, j'ai expliqué à mon interlocuteur ce qu'il s'était passé 2 jours avant, et comment j'avais été reçu, et de nouveau, on ne m'a pas écouter et on m'a raccroché.

Lors du 17 octobre, Henri à donné dix coups de pieds dans la porte, et franchement j'ai eu très peur.

Sentent le danger, je suis resté dans le couloir, je suis remontée, j'ai fermé touts les volets et quelqu'un est arrivé l'a choppé et ensuite plus rien.
Je n'en pouvais plus de cette situation, car cet homme est quelqu'un de très violent, et disait que c'était son quartier et que donc j'étais suis à lui.

Le mardi 18 octobre sa copine Cindy est venu à mon logement, elle m'a envoyé un message Facebook me demandant de venir lui parler.
Ne voyant aucune réponse de ma part, elle est venue sur ma terrasse, et à commencé à me traiter de folle, de menteuse, que cela ne c'étais pas passée, mais enfaite elle n'assumer pas du faites que son conard de copain la tromper.

Il est arrivé avec elle après, et il a tous nié.

J'ai quitté depuis mon appartement avec ma fille, tellement peur de lui et de ce qu'il pouvait faire, j'habitais chez ma mère à Nantes, et les assistant sociaux ont mis leurs grain de sel.