chapitre 17

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Rachel le regarda dans les yeux. Elle était bien trop nerveuse pour que ce test soit négatif. Il alla dans la pharmacie la plus proche et lui ramena le test. Rachel le pris nerveusement elle gesticulée. Si c’était positif ce qui serait certain, elle n’en serait pas heureuse. Son comportement le démontrer. Elle alla dans la salle de bain avec le test. Alec s’assit pour l'attendre. Il se demanda comment il avait pu ne pas se rendre compte des choses. Cela faisait un moment qu’elle se sentait fatiguée, un moment qu’elle mangeait des choses puis soudainement n'en n’avais plus envie. Il ne c’était pas posé de questions alors que pourtant tout était sous ses yeux. Il aurait dû le remarquer. La porte s’ouvrit et Alec se  leva en regardant Rachel qui paraissait attristée. C’était probablement un négatif, elle lui tendit le test sans le regarder dans les yeux. Il le prit dans les mains et se rendit compte que deux traits bleus apparaissent, sur ce fameux test. Il était positif. Pourquoi diable avait-elle se regarde si triste ? Était ce dû à son passé ? Bien sûr que oui.

Alec: Il est positif, c’est une bonne nouvelle.

Rachel: Oui ,oui.

Rachel avait dit cela sans aucune conviction. Il s’approcha d’elle et lui caressa tendrement la joue.

Alec: Chérie, tout ira bien je te le promets.

Elle daignait enfin le regarder dans les yeux. Il pouvait voir à quel point elle était effrayée, ce qui le brisa.

Rachel :  Comment peux-tu le savoir ?

Alec: Parce que je le sais. Il faut que tu aies confiance en moi. Il faut qu’on aillent voir un médecin également.

Rachel grimaça légèrement.

Alec:  Qu’est-ce qui se passe ?

Rachel: Je suis un peu fatiguée aujourd’hui. Nous pouvons y allaient demain ou après-demain. Ce n’est pas un jour qui va changer quelque chose.

Alec compris qu’elle était complètement terroriser. Il la pris dans ses bras quelques instants.

Alec: Très bien mon amour. Je ferai venir quelqu’un ici demain. Comme ça tu n’auras même pas à te déplacer. Maintenant, j’aimerais que tu te reposes. Je vais te préparer un petit thé.

Rachel le regarda dans les yeux avec un petit sourire. Il était si mignon et si attendrissant avec elle que cela la toucha.

Rachel: Est-ce que je peux avoir du chocolat aux noisette ?

Alec lui fit un sourire en coin. Il était si séduisant. Il acquiesça et l’embrassa quelques secondes. Le lendemain un médecin arriva avec tout le nécessaire, afin de passer quelques examens et lui faire une échographie.
Quand il fit les examens, Rachel était extrêmement tendu. Elle serra fermement la main de son mari, qui angoissé également.

Dr Zak:  Alors le bébé se porte bien.  Je dirais que vous êtes enceinte depuis un bon moment.

Alec: Comment ça un bon moment ?

Dr Zak:  je dirais quatre mois et demi.

Alec:  C’est une plaisanterie ?

Dr Zak:  Absolument pas monsieur. Parfois, on peut découvrir une grossesse que bien après. Et je dirais d’après l’échographie que vous devriez, théoriquement, avoir un garçon, c’est sûr à quatre-vingt pourcent.

Alec était sous le choc mais quand il vit le regard de Rachel, il comprit qu’elle le savait déjà.

Dr zak : C’est un garçon en pleine forme. Madame, vous devriez prendre beaucoup de vitamines et beaucoup de repos. Dû à votre précédente  grossesse, nous ferons une échographie par mois et un suivi régulier.

Rachel acquiesça et Alec raccompagna le médecin jusqu’à la porte. Le docteur se retourna vers Alec.

Dr Zak: Nous avons un psychologue spécialisé pour les parents ayant perdu un enfant. Je conseillerais à votre femme et vous-même de la consulter. Une grosse et une source de stress n’est pas bon pour elle et pour le bébé d’ailleurs.

Alec:  Oui, vous avez raison merci beaucoup.

Après avoir fermer la porte, Alec remonta pour voir Rachel. Elle était très mal à l’aise, il s’en rendit compte aussitôt. Quand il posa son regard sur le sien, elle fuyait son regard.

Alec:  Depuis quand est-ce que tu le savait?

Rachel se mit à plié le linge nerveusement. Elle ne faisait le ménage que quand elle était nerveuse.

Alec:  Rachel réponds-moi.

Alec haussa légèrement le ton, lui qui éteint d’un calme olympien. Elle se retourna, le regarda dans les yeux.

Rachel:  Depuis le début.

Du désespoir naît l'amour Where stories live. Discover now