𝐏𝐫𝐨𝐥𝐨𝐠𝐮𝐞

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Je tiens toujours un petit carnet que je garde, près de moi où je tiens tout ce qu'il se passe dans ma tête. Toujours écrire ce que je pense et mes idées pour ne pas oublier ce qui pourrait changer une vie, une histoire. Des dizaines et des dizaines de carnets que je garde dans une boîte à souvenirs de mes pensées de quand j'étais gamine. C'est fou ce qu'on peut trouver et penser à cet âge. Je me rappelle quand j'étais adolescente, j'avais une liste que tout le monde crée afin de faire ce qu'on veut accomplir avant d'atteindre un certain âge.

Je me suis fait un genre de liste comme Abby Jensen's dans 16 vœux pour ces 16 ans. Je l'ai fait pour mes 16 et 18 ans, car j'allais atteindre pendant ce temps la vie d'adulte.

 Je l'ai fait pour mes 16 et 18 ans, car j'allais atteindre pendant ce temps la vie d'adulte

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Ces vœux, je l'ai donné à mes parents et j'ai eu la chance de pouvoir les exaucer. Après, certains souhaits au fil du temps, ne me donne plus envie de continuer.

Je pensais avoir l'envie de découvrir un instrument de musique, alors j'ai été inscrite pour pratiquer de la guitare électrique. J'ai un grand frère qui adore la musique et qui me baladait de concert en concert. Et j'ai voulu être dans un groupe, mais j'ai appris qu'on ne pouvait pas devenir tout ce qu'on voyait.

Les personnes qui y jouent de la basse et la batterie, je l'ai trouvé incroyablement cool et la musique avec leurs instruments rajoute un quelque chose à une chanson. J'ai adoré apprendre, le pratiquer et y jouer.

Ouah ! Un jour, mon frère Elias m'a obligé à jouer sur scène avec un groupe. Un souvenir que je n'oublierai jamais et je l'ai remercié de m'avoir poussé à faire ce que j'avais au fond de moi. Je n'ai pas tenu tous mes vœux, mais celui que je suis la plus fière est ce souvenir que mon frère m'a donné.

Pendant, longtemps, j'ai eu du mal à savoir ce que je voulais faire. C'est la vie d'adolescente que tous humains à vécu et qu'on doit confronter. En-tout-cas, ces pensées et ces désirs me permettaient de tenir le cap, qui s'avère être un avantage considérable que je peux présenter dans mon curriculum vitae et m'aider dans ma future vie professionnelle. Je crois que j'ai pu avoir une bonne trentaine désirs et j'ai dû en réaliser une dizaine, ce qui n'est rien en comparaison. Puis, j'ai fini par me rendre compte que j'aimais juste beaucoup de choses dans la vie, mais aimer ne veut pas dire que je voulais l'exaucer.





Alors, mon enfance a été baignée par la nouvelle technologie de l'ordinateur, du téléphone et surtout du Walkman. Ce n'était pas de mon époque, mais j'ai adoré le porter et écouté de la musique dessus. Je passais la plupart de mes fins de journées devant mon PowerBook qui était révolutionnaire à mon époque en 90.

En quelque sorte, j'ai vécu ma vie un peu comme la plupart des huit milliards humains sur terre, en allant à l'école, à faire des activités extrascolaires et obtenir son diplôme pour aller à la meilleure université de la ville ou du pays. Je n'ai fait que suivre les autres, j'ai passé mon grade, je suis allée dans une université, j'ai eu mes diplômes et obtenu un travail en chargé marketing. J'ai passé des années dans une start-up et j'ai pu réaliser que la vie ne devait pas se vivre comme ceci, ma vie. La phrase de « métro-boulot-dodo » que j'entendais beaucoup a pris du sens, quand j'ai eu à le vivre et que je ne l'ai pas supporté. Le mieux a été de passer du temps avec ma mère, qui m'a conseillé. Je suis partie non loin de Byron Bay, ma ville natale. St.Kilda, une ville dynamique qui baigne sur une plage. Tu finis ton travail, tu peux courir sur le sable chaud et aller surfer pour finir avec un verre en main.

En revenant à la maison, je me suis alors posé les questions et de placer le pour et le contre de mes idées.

« Qu'est-ce qu'il me fait vibrer dans la vie ? À quoi suis-je douée ? Qu'est-ce que j'admirais assez pour être vraiment motivée ? Est-ce que je me vois encore en cinq ou dix ans ? »

J'ai vu le chemin que j'avais parcouru, tout ce que j'avais entrepris, et je n'avais aucun regret. J'aurais pu de nombreuses fois tomber, m'écrouler, j'aurais pu abandonner, mais je ne l'ai pas fait grâce aux personnes qui m'entourent.

Et j'ai démissionné !

Je suis partie enfin de ses parents et prise un appartement. J'ai pris mes précédents projets professionnels, comme réussite ou exemple pour me lancer. Ma mère m'a toujours appris à être économe et qu'un jour ça pouvait me servir. Je me suis lancée en freelance accompagné de ma meilleure amie, Mahéva qui avait un poste de responsable magasin. Elle m'a suivie dans cette expérience, sans être sûr que ça réussisse et je l'en remercie énormément. Voilà maintenant que nous sommes des auto-entrepreneuses avec une entreprise e-commerce dans l'habillement et bijoux upcycling de luxe qui est florissant.





La vie est faite de choix qui nous définit






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ENDLESS LOVEWhere stories live. Discover now