Piégée par la nerd [terminé]

Chapitre 7 - Montagnes russes

Publié le 23 février 2021

1666 mots

Attention : contenu mature (sexe; BDSM)

*

« Quelle petite perverse ! »

Cassy s'apprêtait à répondre quelque chose, mais ses protestations se muèrent en un petit gémissement quand mes mains remontèrent jusqu'à sa poitrine. Je pris un moment pour faire rouler ses tétons entre mes doigts, jusqu'à ce qu'ils soient parfaitement tendus, et que la respiration de ma nerd devienne heurtée. C'était exaltant en soi, mais je n'avais pas abandonné mon projet de punition.

« Il va être temps de payer pour toutes tes provocations, Cassy, dis-je en dirigeant mes mains vers ses fesses. Tu es allée trop loin. »

Elle ne me répondit que par un gémissement – cette fois, c'est sûr, elle était en feu. Mon entrejambe se liquéfia rien qu'à cette pensée.

Et puis, j'abattis vivement ma main.

Le choc lui arracha une exclamation surprise, mais Cassy ne fit pas mine de se relever. Encouragée par un tel abandon, j'enchaînai avec plusieurs petits coups secs – la situation m'enivrait totalement.

Et pourtant, je me souvenais que je ne connaissais rien des limites de Cassy. Restreignant mes pulsions les plus enthousiastes, je suspendis la punition pour glisser une main dans les cheveux de ma petite nerd.

« Alors, Cassy, le message est passé ?

– Quel message ? Tout ce que j'ai appris, c'est que tu étais une vraie vicieuse... »

Je souris – elle ne voulait manifestement pas en rester là.

« Et bien, tu es mal placée pour me critiquer. » dis-je en glissant un doigt sous l'élastique de son pantalon.

Je baissai lentement le vêtement, électrisée par le spectacle qui se dévoilait peu à peu. La peau de Cassy était d'un blanc laiteux, à l'apparence veloutée, et qui appelait désespérément les caresses. À ce moment-là, j'avais à peu près tout oublié, à l'exception du désir foudroyant qui me ravageait de l'intérieur. J'en tremblais presque.

Cassy ne devait pas être dans un état bien différent : elle commença à se tortiller à la seconde où je posai la main contre sa culotte. Je sentais la chaleur de sa peau à travers la finesse du tissus.

Pourtant, quand je fis mine d'écarter ses jambes, elle tenta de résister – me forçant à lui administrer une nouvelle fessée.

« Aïe ! »

Mon sourire s'étira encore un peu plus : c'était un cri de plaisir, bien plus que de douleur.

« C'est plus sensible sans le pantalon, n'est-ce pas ?

– À peine. Ça ne me fait presque rien. »

Je ris en glissant un indexe entre ses jambes – Cassy aimait beaucoup trop me provoquer.

Elle laissa échapper un soupir, alors que je dessinais lentement les contours de son sexe à travers ses sous-vêtements. Le tissu étaient trempé.

« Tu es une menteuse, Cassy, dis-je. Tu adores ce que je te fais, et tu n'attends qu'une chose, c'est que je te retire cette culotte pour t'achever. »

C'est d'ailleurs ce que je fis – nous avions assez fait durer les préliminaires. L'une comme l'autre étions parfaitement à cran, désormais.

En quelques secondes, les derniers vêtements de Cassy avaient disparu, et je parcourais du doigt le relief brûlant de son sexe. Elle avait frémi alors que je me contentais encore d'effleurer ses contours les moins sensibles, mais elle cessa totalement de se contenir quand mes doigts trouvèrent le chemin de son clitoris.