The White Wolf

Chapitre 13

Après le dîner, on débarrassa la vaisselle et mis le lave-vaisselle en manche avant d'aller se poser sur le canapé pour regarder la télé.  Le reste de la soirée se passa aussi bien que le repas, on rigolais, faisait des commentaire sur ce que les personnages de la série disaient.

On était chacun installer à un bout du canapé. Je pensais beaucoup à aller le rejoindre de son coté pour me blottir dans ses bras, comme avant. Mais, même si sa mère était persuadée que nous étions de nouveau ensemble, nous ne l'étions pas. Et je ne voulais pas donner de faux espoirs à Embry alors que je ne savais toujours pas ce que j'éprouvais. Et si j'étais prête à repartir à l'aventure avec lui.

Je ne savais pas si lui aussi avait les mêmes pensées que moi. Parce que même si il était très présent pour me soutenir, et que souvent il se comportait comme avant, je ne pouvais pas m'empêcher de pensée que c'était parce que c'est ce qu'on avait toujours connue. Nous n'avons pas été amis très longtemps avant qu'il ne me proposer de sortir avec lui pour la première fois, et même durant ces quelques semaines, il y avait cette espèce d'aura entre nous.

— Soit pas stupide ! C'est pas une "aura", ça s'appelle du flirte. Et laisse moi te dire, que ça commence à en être à vomir.  M'avais un jour dit Kate quand on s'était rejoint à mon cassier entre deux cours.

Je me laissais dériver dans mes souvenirs, ne faisant plus attention à ce qui se passait autour de moi.  Des souvenirs des moment passés avec Embry, comme, le soir où on s'était embrassé pour la première fois, le jour où il avait mit un panier de cookies dans mon cassier avec un petit mot de remerciement pour l'avoir aidé pour son espagnol.

Notre première dispute... Ce jour là avait été une journée déjà  difficile,  je venais de passer 4 examens et je devais aller aider Kate à mettre en place les tapis dans le gymnase pour l'entrainement des cheerleaders puisque les ouvrier qui avaient réparer la toiture suite à une fuite n'avait pas pris la peine de le faire. Et c'est tout naturellement qu'on avait discuter même après l'installation, le temps que les filles arrivent. J'étais partie au moment où elles commençaient l'échauffement.  J'étais ensuite rentrée chez moi, épuisée. Mes parents étaient partie dîner au restaurant pour leur anniversaire de mariage et j'étais donc seule à la maison.

Je m'étais fait chauffer des nuggets et des frites avant de m'affalai sur la chaise dans la cuisine pour continuer de réviser pour mes examens du lendemain. La pluie avait commencer à tomber quelques minutes après que je sois rentrée. Après ce qui me sembla une éternité à réviser, j'entendis quelqu'un frapper à la porte. Mon regard se porta vers le mur fait de verre et reconnue le manteau d'Embry. Il avait la tête rentrée dans les épaules pour se protéger de la pluie. Je couru lui ouvrir pour qu'il puisse s'abriter de la pluie et une fois la porte fermée je repartie dans la cuisine pour lui faire une chocolat chaud.

— Va prendre une serviette dans la salle de bain pour te sécher ! lui dis-je sans me retourner.

Une fois le chocolat près, je me retourna pour me diriger vers le salon, où Embry aurai du être installer entrain de se sécher. Mais il était toujours à l'entrée, une flaque d'eau s'était formé à ses pieds.

— Bah, pourquoi t'es resté planté là ? Tu vas choper la crève ! lui criais-je en lui mettant la tasse dans les mains pour aller lui chercher une serviette. "Quel idiot ! " j'avais pensée sur le moment.

Quand j'étais revenu, il n'avait toujours pas bougé et la tasse était posé sur le meuble près de la porte d'entrée.

— Je n'en ai pas besoin, je repart. Avait-il dit d'un ton sec.

— Pourquoi t'es venu sous cette pluie si c'est pour repartir directement ? demandais-je énervée. J'étais fatiguée et je n'avais pas l'énergie pour entamé une discussion alors que j'avais encore pas mal de révisions à faire.