Un Amour Déchu (oc X Alastor)

Chapitre 1

Pvd Allaury:

Est ce que je suis entrain de rêver ? Je me souviens de cette douce chaleur, de ses rayons de soleil réchauffent ma peaux pâle, cette douce brise faisant légèrement volé mes cheveux châtain et ma mèche blanche. Je me souviens aussi de cette endroit, d'un blanc comme on en à rarement vue. Des bâtiments magnifique, tout comme ses habitants. Cette endroit était semblable au paradis.
Alors, je serais morte ? Cela me semble tellement irréelle. Mais si j'y étais, il y a encore peu. Alors pourquoi je me sent tombé ? Je n'arrive pas à penser correctement, je n'arrive pas à ouvrir mes yeux non plus. Je me sent juste sombré dans ce trou sans font, encore et encore jusqu'à ce que je sent mon esprit aller ailleurs. Le vide.

CRACK

Je sent cette vive douleur dans tout mon corps, dans tout mon être, dans chaque organes jusqu'au plus profond de mon âme. J'ai mal, si mal. Comment j'en suis arrivé là ? Après quelques minutes en attendant que la douleur disparaissent un peu, j'ose avec amertume, à ouvrir les yeux, difficilement certes ,mais je fus surprise de voir que je suis dans une forêt. Mes yeux mettent une minute ou deux à s'habituer à la luminosité étrangement sombre, ce qui est peu habituel même de nuit . Cette forêt a des arbres pas grand mais immense, avec des feuilles rouge comme en automne mais qui semble ne pas vouloir tomber au sol. Tout est calme, il n'y a pas un seul bruit, mis à part un léger coup de vent qui ose pointer sont nez par moment. Je prend une profonde respiration. Une douce odeur de bois rempli mes narines et aussi une odeur de... sang ? Étrange, trop étrange. J'essaie de me relever et remarque que la douleur que j'avais réussi à oublié quelque instants, c'était regrouper dans mon dos et au plus profond de moi même.

Après quelques efforts pour trouver un équilibre afin d'être debout, après plusieurs tentatives qui fut des échec en retombant lourdement sur le sol froid, je commence à doucement avancé. On ne voit pas à plus de 2m environ tellement il fait sombre. Et un léger courant d'aire me donne des frissons. Quelle est cette endroit ? Je ne me souviens pas d'avoir déjà vue une telle forêt.
Je ne sais pas où je suis, ni où je vais mais peut importe. Je ne peux rien faire de plus que d'avancer, en étant de plus en plus perdu dans mes pensées.
Combien de temp suis-je dans cette forêt 30 minutes, 1 heure, 5 heure. Peut-être plus même. Je n'ai plus aucune notion du temp. J'erre dans cette endroit lugubre jusqu'au moment où une odeur nauséabond arrive jusqu'à moi. Par reflex, je met ma main sur mon nez pour atténuer cette forte odeur. Sa sent le sang, mais aussi la viande ? Comme chez le boucher.

N'ayant rien d'autre à faire, je décide de m'approcher de la source en suivant l'odeur qui est de plus en plus forte. Cela commence à me donner un mal de tête tellement elle est présente dans l'air. Mais je me senti encore plus mal quand je vois que l'odeur vient d'un cadavre. Pas celui d'un humain, mais celui d'un cerf, qui est assez étrange avec la couleurs de sa fourrure rouge et noir toute ensanglanté. Mais aussi avec sa taille qui est beaucoup plus grande que la normale. Même si j'en ais jamais vue auparavant, je ne crois pas qu' ils sont supposer être aussi imposant.

Je me sent trembler face à l'horreur de la scène. Il y avait du sang avec des organes éparpillées un peu partout. Mais en regardant un peu plus précisément, je remarque qu'il y a aussi un trou. Dans la tête de l'animal, il y a un trou causée par un fusil de chasse, celui qui a fait sa est un habitué de la chasse. Il y a autre chose de dérangeant. Un détail certes pas très utile mais certaines partie de la proie semble avoir été découper avec une finesse et un s'avoir faire impressionnant. Et surtout le sang n'est pas sec, ni coaguler, ce qui veut dire que cela c'est passer il n'y a pas si longtemps que sa. Je n'ai rien entendu pourtant? Pas le moindre coup de feu depuis mon arrivée.
En espérant de tout mon être ne pas tomber sur la personne responsable de cette scène, je décide de continuer d'avancer en m'éloignant le plus loin possible de cette scène.