Renaissance d'une vie

Chapitre 8

Jetant la seringue qu'elle venait d'utiliser, la rose retira une fois de plus de la journée ces gants, faisant face au jeune patient assis sur la chaise de la petite pièce, qui était occupé à remettre maladroitement en place la manche de son pull.

- Je te ferai encore 2 piqûres, et le traitement sera terminer. (Dit-elle à l'intention du jeune en complétant son dossier poser sur son bureau)

- C'est toujours la même chose avec vous ! (Dit-il en boudant mécontent ces sourcils bleutés froncés )

La rose regarda tendrement le jeune garçon. Ikari était un jeune garçon qui avait perdu ces parents durant la guerre, elle avait eu du mal à l'apprivoiser il ne voulait parler avec personne et ce renfermait sur lui même. Il lui avait fallut beaucoup de patience et de temps pour qu'il ne daigne s'ouvrir ne serait qu'un peu et qu'il lui fasse confiance. Il n'aimait pas parler avec les autres, et était souvent dans son coins. Elle était en quelque sorte le seule médecin en qui il avait un minimum confiance, même si il boudait généralement tout le temps n'aimant pas les piqûres et les médicaments que lui administraient la rose.

- Ikari, c'est pour ton bien nous en avons déjà discuter tu te souviens ? (Dit-elle calmement en refermant le dossier qu'elle était entrain de compléter)

- Je n'aime pas toutes ces piqûres et tout ces médicaments ! (Dit-il mécontent) et puis, j'en ai marre d'être ici ! (Dit-il en croisant ces deux bras et en détournant le regard)

La rose le regarda tristement. Malheureusement beaucoup d'enfants ce retrouvaient dans son cas. Ikari lui, avait besoin d'assistance médical régulière à cause de sa jambes paralysée à cause de la guerre. Rien n'était encore sûr, et ils ne savaient pas si il retrouverait l'usage de sa jambe ou pas. Mais en tant que médecins, ils y travaillaient tout les jours pour trouver une solution. La jeune rose encore plus. Alors elle faisait toujours en sorte de le rassurer d'une certaine manière parce que il n'aimait pas la Pitier des autres, mais au fond elle savait que ce n'était qu'un enfant blesser par la guerre qui avait besoin d'attentions et de réconforts. Elle s'avança vers le jeune garçon, et s'accroupît en face de lui.

- Ecoutes moi Ikari. (Commença-t-elle d'une voix douce) si tu fais tout les soins médicaux qu'on te demande sans bouder, je te ramènerai au nouveau parc d'attraction de Konoha. (Dit-elle en le regardant)

A l'entente des mots « parc d'attraction », le jeune garçon tourna la tête la regardant du coins de l'œil hésitant.

- Vraiment ? (Demanda-t-il hésitant la mine toujours boudeuse) je n'y crois pas ! Vous me dites ça juste pour que je fasse les soins ! (Dit-il finalement en détourant de nouveau son regard et ces sourcils toujours froncés vers le côté)

- Non, je suis sérieuse Ikari. Je t'y emmènerai. (Dit-elle en lui faisant un beau sourire sincère)

Il y eut un petit silence avant que le jeune garçon ne daigne tourner doucement son regard vers la rose et perplexe il Répondit.

- Vraiment ? (Dit-il en fixant l'expression de la rose) vous me le promettez ? (Demanda-t-il gêner)

- Promis ! (Dit-elle en souriant joyeusement lui offrant son auriculaire comme signe de scellement de la promesse)

Après hésitation de petites rougeurs aux joues, le jeune garçon entrelaça son doigts avec celui de la rose, un petit sourire timide aux lèvres.

- Parfait ! (Dit-elle contente en ébouriffant les cheveux bleu roi du jeune garçon avant de ce redresser) Aller, je t'emmène t'amuser avec les autres allons y. (Dit-elle en ce postant derrière lui et en poussant la chaise roulante dans laquelle il était assis)