chapitre 8

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Il était dix-sept heures quand Louana arriva enfin chez elle. Elle avait passé la journée à faire les boutiques à la recherche d'une robe pour la réunion. Elle avait craqué pour une magnifique robe rouge décolletée avec fente. Il ne lui restait qu'une heure pour se préparer.
Douche, maquillage et enfin la robe mise elle était enfin prête. Elle s'admira dans le miroir.

-Eh bien!! espérons que ça lui plaise.

Parce que oui Ana voulait plaire à Adriano, elle craquait littéralement pour cette homme austère depuis le premier jour qu'elle était rentrée dans son bureau. Le bruit d'un claxon la sortit de ses pensées.

Quelques heures plus tard la réunion avait débuté sans contrainte.
Elle était splendido dans cette robe qui moulait à la perfection ses fesses se dit adriano. Dès l'entrée de la jeune femme dans le restaurant, il n'avait pas arrêté de la dévisager et il n'était pas le seul. Il la trouvait sexy et très séduisante. Il ne ressentait qu'une seule envie la plaqué sur cette table et lui faire l'amour. A cette pensée il senti une bosse se former dans son pantalon.
Pour l'instant, il se contrôlait mais il se jura de la faire sienne avant l'arrivée de l'aube.

1h plus tard !

- Bien messieurs, la réunion est terminé. Bonne soirée à tous.
Mademoiselle Alvarez veillez me suivre je vous prie.

Étonnée qu'il mette fin au dîner si vite ana décida quand même de le suivre.

Il l'invita à monter dans sa voiture. C'était une berline noire aussi noire que son propriétaire.

Intriguée par la trajectoire de la voiture elle prit la parole .

-Hmmh...vous vous êtes trompé de direction. Ma maison se trouve à 4 rues de l'autre côté.

- ............

-Nous allons chez moi afin de faire le point. Vous y voyez un inconvénient?

Choquée, que pouvait-elle répondre à cela ?

-Non monsieur.

-Bien !

Ils avaient pris une ruelle ou il n'y avait que des maisons immenses. Nul doute qu'elle était dans l'un des quartiers les plus riches de Venise.
Ils étaient arrivés devant un immense portail. Quand celui-ci s'ouvrit Ana faillit s'étrangler en apercevant la bâtisse. En effet, le portail laissa place à un manoir vertigineux avec une allée assez extraordinaire on aurait dit un palais.

-Ne me dites pas que ce manoir est à vous? Demanda Ana.

-Sí.

Quand ils furent entrés le souffle de Louana se coupa tant l'intérieur était plus que magnifique. C'est à cet instant qu'elle réalisa que son patron était vraiment riche.

Adriano n'arrêtait pas de la regarder elle avait l'air si différente. N'importe quelles femmes auraient passé outre la beauté des lieux et voudraient directement aller dans sa chambre. Mais Ana elle, était tout le contraire, elle prenait le temps d'admirer chaque détail du manoir avec munis. Elle tourna son visage dans ma direction et se mit à rougir.

Bellisima

-Désolée ! C'est juste que je n'avais jamais vu un endroit aussi beau.

-Venez

Ana le suivis sans rechigner.
Il l'emmena dans une grande pièce qu'elle jugea être le salon.
Celui était composé d'une cheminée, d'un piano et d'une baie vitrée donnant sur un lac époustouflant.

Ana se sentit à l'étroit tout à coup.

-Installez vous.
Vous voulez boire quelque chose? Un verre de vin, de l'eau ou du café?

-De l'eau ça ira merci.

-Très bien.

Un Desir ArdentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant