Chapitre 10

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Quand Adriano se pencha pour l'embrasser Ana eu un léger mouvement de recul mais n'essayait pas de s'enfuir.
Il posa ses lèvres sur les siennes et lui donna son premier baiser. C'était mal et dangereux avant tout c'est son patron. Elle sentait déjà que son corps allait lâcher ce qu'il fit.

Traître.

Ses lèvres étaient dures et intrépides.

Il força l'accès de sa bouche, et elle l'entrouvit avec timidité et douceur mêlées. Elle ne savait comment s'y prendre et donc le laissa faire et il plongea sa langue dans sa bouche et l'embrassa langoureusement.

Mon Dieu !

Ana faillit vaciller tant se baiser était merveilleux, exquis. Elle décida de se coller à lui et il lâcha un grognement . Il senti une douloureuse contraction au niveau de son pantalon.

Le cœur d'Ana battait à cent à l'heure, elle n'avait jamais sentit une telle émotion la traverser, tout son être était en ébullition.

Quand il s'éloigna, il constata qu'elle avait toujours les yeux fermés.

-Alors bella tu regrettes?

Elle fit non de la tête en se pinçant les lèvres incapable de prononcer un seul mot.

Il l'alongea sur le tapis près de la cheminée puis commença à la déshabiller Ana se laissa faire elle ne voulait pas que cet instant aussi romantique soit-il s'arrête.

Quand elle fût entièrement nu il la contempla.

-Sei così bello piccolo fiore.
Dit-il dans un italien parfait.

Ana inspira profondément elle n'avait aucune idée de ce qu'il venait de dire. Elle était plongée dans un tourbillon de passions.

Adriano marqua une pause dans ses gestes et se leva pour se déshabiller à son tour. Debout Ana trouvait qu'il ressemblait à ces Dieux Grec avec une beauté renversante.

Quand son membre apparu, Ana faillit pousser un cris tant il était imposant.

-Tu prends la pilule? Entendit-elle dans un murmure.

Comment lui dire que c'était ma première fois sans passer pour une idiote elle décida de lui mentir pour qu'il la libère de ce désir ardent qui l'habite.

-Oui ne t'inquiète pas.

Il lui sourit avec sincérité. Il était si rassurant pensa Ana. Il attrapa ses jous et l'embrassa avec avidité .

-Tes lèvres sont aussi douces que du miel tresoro

Ce compliment manqua de la tuer

Il quitta sa bouche pour sa mâchoire tout en mastiquant ses seins, il descendit plus bas jusqu'à atteindre le cœur de sa féminité. Elle écarta les jambes tremblante, prête à lui offrir la plus douce des tortures.

Il glissa un doigt à l'intérieur d'elle  puis commença à aller et venir. Elle poussa un juron qui se transforma en gémissement. Adriano contempla cette œuvre d'art il l'écarta d'avantage les jambes pressé de lui donner plus de plaisirs. Quand il posa sa bouche ou palpitait son désir Ana hurla et se cambra. Il creusa avec sa langue chaque parcelle de son intimité. Ses jambes se mirent à trember tant il lui procurait un pur bonheur, devenant plus exigeant avec sa bouche. Il grogna au fur et à mesure qu'elle gémissait, il se nourrissait de ses cris il voulait qu'elle atteigne la jouissance. Il se redressa en inspirant et regarda son sexe luisant.

Seigneur !

Elle est si renversante ainsi...

Il carressa son bourbon sans la quitter des yeux, il devient plus brute plus rapide dans ses caresses qu'elle fut proche de l'orgasme ses cris emplissaient la pièce. Et elle s'abandonna enfin au plaisir.

Oh mon Dieu !

Adriano était ravi de la voir dans cet état. Une pure merveille.

-Tu vas bien?

-Hmmh...oui

Un Desir ArdentWhere stories live. Discover now