La fille d'un diable

*1

-À plus papa je sort!
- tu va où ma chérie?!
- seulement marcher!
- ok mais je revien pas trop tard!
- c'est bon bye je t'aime!

Puis je sort de chez moi. Mais malheureusement je ne vais pas chez simplement marcher.
Je vais chez Marco, qui est mon vendeur de drogue.

Laisser moi vous expliquer en revenant 2 ans en arrière.

J'ai 17 ans dans 3 jours! Je suis trop heureuse!
Je suis chez Marie et puisque je connais ses parents, ils m'ont fait une petite fête pour mes 17 ans je suis vraiment heureuse.

Puisque ma mère et mon père vivent mal entre eux. Il ne font que se mettre en colère l'un sur l'autre et plus une raison que j'ignore.
Ils m'ont promis que pour ma fête tout allais bien ce passer, mais j'en doute très fort.

Mais ce n'est pas pour autant que je ne vais pas profité ici avec ma meilleure amie.

Après le superbe souper, on va dans sa chambre pour ce faire une petite soirée tranquille entre fille.

Marie est ma seul amie depuis la première et cela est très bien comme sa. J'aime mieux avoir peu ou une amie sur qui j'ai confiance que plusieurs sur qui la confiance est la dernière chose sur la quel tu peut conter.

- alors Marie, commençais-je, a tu une homme en vue?

- ah mais tu me connais Fiona, moi je suis libre comme l'aire et ce n'est pas près de changer et puis pourquoi un homme quand on peut se satisfaire seul, si tu voit ce que je veux dire, me confirme t'elle avec son fameux clin d'œil et son sourire malsain.

- Mais bien sur, depuis que tu n'est plus vierge, tu est une petite dévergondée toi, lui répondis-je en riant d'elle

Après notre soirée, je retourne chez moi car ce n'étais pas prévu que je dorme là-bas.

Les policiers, les ambulanciers et les pompiers tous devant ma maison.
Qu'est-ce qui ce passe encore ici?
Voulant entrer, je vois un corps sur une civière recouvert d'une couverture blanche.

A partir de se moment le drame commença.
Mon père pleurant et cria son nom.
Mais personne n'arrivera à le calmer, il est maintenant un homme brisé jusqu'à la fin de c'est jour et sa tout le monde le sait.

Je cour dans c'est bras en pleurant moi aussi, sans vouloir croire se qui s'est passé mais cela est bel et bien réel.

Le sang sur le tapis du salon et sur les murs, les vases brisés. Ceci a été un vrai désastre. Ma mère avais été tuer et torturé par je ne c'est qui.

Depuis ce jours ma mère est enterré dans le cimetière. 3 jours avant mon anniversaire.
Personne ne connais le meurtrier.
L'enquête a été arrêtée après 1 ans de recherche sous disant que cela a mené à rien.

Donc ouais j'ai commencé à me droguer pour oublier cette douleur qui circule et qui vie en moi.

Moi et Marie sommes en froid car après la mort de ma mère, j'ai tout rejeté sa mort sur elle et sa famille comme quoi s'il n'avais pas fait cette soirée rien de tout sa ne ce serais passer et ma mère serais avec nous.

Mais non, je le sais que au fond de moi je ne leur en veulent pas, mais c'est plus fort que moi, imaginer que quelqu'un a pu décapité ma mère comme sa me fou la rage.

Avant le meurtre de ma mère, on étais bien financièrement parlant. Nous habitions une petite maison familiale à Manatane, mais après cette tragédie, mon père est tombé en dépression et alors nous sommes retournés dans son pays natale.
La Colombie.
Je suis mi-colombienne et mi-mexicaine.
Je suis de retour la ou mon père voulais qu'on habite mais pas ma mère à cause des salaires minime et les conditions de vie misérable.

Pour moi cela me convien. Évidemment je n'est pas d'amis même après 2 ans ici.

Une fois arriver chez Marco je toc avant d'entrer car même si je le connais très bien on ne sais jamais ce que les gens sont capable de faire sous l'effet de substances illicites.

Il m'ouvre la porte chaleureusement.

- ah Fiona, je suis content de te voir, m'avoue t'il gentiment, vien entre ne soit pas timide

Je lui répond d'un large sourire, il sait que je ne parle que très peu, mais depuis le temps qu'il me connais, il est habitué.

- alors qu'est-ce que je te sert aujourd'hui?

- le même chose que d'habitude s'il te plaît.

- si tu veux il y a eu une livraison de coca pur du Mexique si tu veux et je te la donne gratuitement?

- oh, je ne suis pas très poudre tu le sais pourtant?
Ça me donne des allucinations..

- oh bien sûr je comprends, me réconforte t'il, alors on y va comme d'habitude alors, tien

Il me temps mon petit sachet avec mon herbe que je prend et le met dans mon sac à main.
J'allais sortir mon argent mais il me stop avant.

- c'est bon ma belle, tu n'est pas bien en ce moment, je te l'offre alors profite bien.

- oh bah merci Marco, c'est très gentil de ta part

- ca me fait plaisir ma belle, aller va t'éclater, me pousse-t'il, en rigolant, de chez lui

Après cela fait je me dirige dans un bar où je vais régulièrement, car c'est le seul qui te laisse fumer en paix.

Alors que je marchais, des coups de fusil se font entendre. Depuis bientôt 2 ans que je suis ici et j'en ai déjà entendu beaucoup alors je stresse pas énormément donc je continue ma marche jusqu'à bar.

J'allais traverser la rue mais je n'est pas regardé avant de traverser. À quelques metres de me faire frapper par une voiture on me tir par le bras sur le côté et je roule par terre.
En voulant me relever, je sens un pois sur mon dos ce qui m'empêche donc de me relever.

Sans savoir quoi faire je décide de parler.

- euh... est t'il possible d'enlever votre pied s'il vous plaît que je puisse me lever? Demandais-je sans étant sûr de moi.

Je n'est pas eu de réponse mais je sens qu'on enlève de pied, donc j'allais me lever mais on me met sur pied avant.

Une fois debout je vois un grand homme avec une grande et grosse carrure, il est très imposant on se sent misérable et faible devant ce corps immense. Je ne voit pas son visage car il est dos au soleil et a cause du manque de mélanine dans mes yeux ça me brûle.

- qui est tu et que fait tu sur mon territoire. Me demande l'homme d'un ton sec.

- euh.. je... et bien je faisais une promenade et j'ai entendu des coups de feu, alors j'ai voulu m'enfuir... répondais-je pas sûr de moi

- dit moi la vérité! Me cri t'il dessus

- Mais merde vous vous prenez pour qui? Je vien de vous le dire il y a cinq secondes de sa vous êtes sourd ou quoi? Lui dit-je blaser

- je te conseil de changer de ton avec moi tu ne sait pas ce dont je suis capable

Sur le coup j'ai compris que j'étais pas tomber sur un homme bien. Et surtout dangereux.