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Morissio

La musique forte dans mes oreilles. Les néons qui flache dans mes yeux. L'odeur de l'alcool dans mes narines. Mon vers de rhum dans ma main. Puis mes frères à mes côtés. Quoi demander de plus. Ici, au salon et sur un champ de bataille avec mon arme à la main, je suis dans mon élément. Ça, rien ne peut me l'empêcher.

Avec mes gars, nous sommes aux espaces VIP. Disons que moi et mes hommes, ont est plutôt redouté. Au Sanchez Bar, le mien, le trafic de drogue est très présent. Des centaines de gens s'y rendent pour en prendre. C'est aussi le seul bar qui est permis de fumer, se piquer et snifé.

On boit, on parle et ont regardent la gringa se déhancher le petit cul devant nous. Bon, ce soir c'est Rudy qui se la fait. Moi, elle n'est pas mon genre. Les  fausses blondes a grosses poitrines qui pensent avoir un gros cul, non merci.

Ayden lui, il est déjà partit à la chasse à la femelle, comme il aime si bien le dire. Le gringo avais       sois-disant trouver sa princesse pour la nuit. Tout cela ne me dérange pas. T'en qu'aucune femme n'entre dans ma casse, tout est bon. C'est le seul règlement que j'ai inscrit dès l'ouverture du bar. Les femmes restent dans le bar.

T'en qu'à moi, aucune ne m'avais encore tapé l'œil, je me contente donc d'aller me resservir un vers.

- Un rhum sec avec un shot, dis-je d'un ton sec au barman.

- Tout de suite, jefe.

C'est mon bar, donc moi le patron et eux mes employés. Des hommes de confiance qui sont dans mon cartel. Jamais je ne laisse un gringo entrée dans mon cartel sans s'être démontré à quel point mon gang va devenir sa nouvelle maison. Sa nouvelle famille. S'il est près à n'avoir plus aucune pitié.
S'il est près à oublier toutes sortes d'amour propre et envers les autres. S'il est près à oublier sa propre famille pour protéger la nôtre et la sienne. Si après toutes ces épreuves il réussit. Il fait partit de mon cartel de drogue.

- Et voilà, Morissio.

Je ne réponds rien et j'enfile le shot direct. Sa brule la gorge, les entrailles et le cerveau. J'adore sa. Je prend mon vers que je m'enfile lui aussi cul sec.
Mon corp commence a moins bien tenir toutes cette alcool fort que j'ingère depuis des heures.

Je retourne m'asseoir sur le canapé du balcon Vip et j'observe les gens danser, boire, fumer et se faire une ligne une fois de temps à autre.

Mon cartel c'est vraiment ma vie au complet. Rien ni personne ne pourra le changer. Mon père me la léguer. Sa et tout le reste. Je suis sa perle rare comme il aimais si bien m'appeler. Je n'ai que 23 ans, je suis l'un des hommes les plus riche de l'Amérique du Sud et l'un des criminels les plus recherchés. Je tue des gens qui sont sois mes ennemis que je doit éliminer au plus vite. Sois ce sont des gens tombés par hasard et qu'ils n'avais pas d'affaire sur mes territoires.

Comme cette gringa.

Cette gringa que j'ai laisser dans ma maison avec Zik. Merde. Qu'est-ce que j'ai fait moi encore. Cette fille est folle à lier. Elle doit certainement avoir du sauter par la fenêtre à l'heure qu'il ait. Ou bien défoncé la porte et c'être enfuis. Elle ne doit pas quitter ma baraque car j'ai besoin d'elle pour détruire Carlos.

Je ne suis vraiment pas en état de conduire et je ne trouve plus mes césarios donc j'appelle Zik rapidement pour qu'il vienne me chercher.

- Allo?

- Ouais, c'est Morissio. Débarque au bar vien me chercher, les deux autres sont avec leurs gringa. Et assure toi que la chica soit encore là et en vie.

- Tres bien, jefe.

Je lui raccroche et range mon téléphone dans ma poche arrière. J'y trouve en même temps mon paquet de cigarettes. Après tout, personne n'a dit que c'était dangereux de fumer après avoir bu. Et puis je n'est pas peur du danger, ni du genre à suivre les règles.

La fille d'un diableWhere stories live. Discover now