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Bonjour messieurs dames, bienvenue.

Omar : il est où Malik ?

Je lève la tête en même temps que tout le monde,

Omar : non mais genre.. celui d'ici genre

Ibrahim : il a dégagé

Houssem : il rigole bah voyons pourquoi ?

Ibrahim : ça t'amuse ?

Sabri : il me regarde et chuchote il est jaloux

Ibrahim : j'entends sale con

On rigole tous, Ibrahim lève les yeux au ciel et repose ses yeux sur son téléphone. On était tous dans le jardin, Omar et Houssem dans la piscine, moi j'étais assise sur un transat entrain de regarder le ciel.

Rayan : tu sais nager Alya ?

Je fronce les sourcils et je me lève directement en le voyant venir vers moi, ah nan, nan nan.

Moi : non

Sabri : elle ment, ça s'voit elle sait nager

Moi : non non, j'te jure non !

Rayan hausse les sourcils et commence à courir alors je cours aussi, franchement c'était n'importe quoi.

Moi : arrête arrête !!! Je sais pas nager

Omar : c'est pas profond ! Pousse la !!!

Je rigole et court derrière Ibrahim qui était au téléphone un peu plus loin.

Il baisse son regard vers moi et je lui sourie, il sourie aussi et passe son bras autour de mon cou en continuant son appel.

Je regarde Rayan et lui sourie avec toute mes dents, c'était mon seul échappatoire clairement. Aucun d'eux ne m'aurait aidé à part Ibrahim.

Rayan continue de s'approcher mais en marchant, je passe mes bras autour de la taille d'Ibrahim en tenant son teeshirt, il menace Rayan du regard parce qu'il est toujours au téléphone.

Rayan : attend après, t'es morte

Moi : je t'aime aussi Rayan

Rayan : ouais ouais, je t'aurais t'inquiète pas

Omar : dans quel sens ?

Rayan : ah tu m'dégoute

Omar : ah bah c'est toi qui n'est pas clair hein

Ibrahim : hum ? Ouais attend.. il baisse son regard vers moi et je le lâche j'arrive il rentre à l'intérieur de la maison

Moi : non !! je le suis je viens avec toi

Il hoche la tête et me fait un signe de tête, je sourie et entre avec lui.

Rayan : petite conne

Je rigole doucement et je suis Ibrahim à l'étage, on entre dans sa chambre et il va s'assoir à son bureau en ouvrant son ordinateur. Je m'assoie sur son lit et j'attend.

Sauf que c'était super long donc je me suis allongé sur le côté, la tête sur son coussin et j'ai sourie comme une imbécile. Ça sent trop bon.

Je l'entend rire donc je tourne la tête et je vois qu'il avait posé son téléphone.

Ibrahim : ça va je te dérange pas là ?

Moi : hummm non, tu veux une petite place ?

Il rigole en secouant la tête, je sourie et m'installe de façon à ce que je n'ai pas besoin de tourner la tête pour le voir.

Ça sera nous jusqu'à la fin.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant