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Bonjour messieurs dames, bienvenue.

Alya

L'heure tourne mais toujours pas d'Ibrahim ni de Sarah en vue.

Omar : vas-y vient avec nous wsh

Houssem : il rentrera pas maintenant Alya, tu vas pas rester enfermer ici quand même

Moi : bah je sais pas il a dit qu'on allait bouger tous les deux donc si je pars avec vous je fais comment ?

Omar : ça fait grave longtemps qu'il est parti

Moi : justement il ne devrait pas tarder

Ils me regardent tous les deux comme si j'étais complètement débile, ouais bah je suis débile alors. Mais je l'attend quand même.

Ils finissent par partir tous les deux, Rayan était je ne sais où et Lounes était parti avec Amel.. il était déjà seize heures, mais bon.

J'ai finis par m'allonger dans le canapé, je me sentais trop mal, et en fait c'est ça le problème. Quand t'aime quelqu'un et que tu passes tout ton temps avec lui tu t'habitues à sa présence. Et une fois qu'il s'en va.. tu te retrouve complètement perdu. Tu dois limite réapprendre à vivre. Bon là ce n'est pas mon cas mais je sais que si jamais Ibrahim partirait je devrais le faire. Parce que tout ma vie se résume à lui, je suis constamment avec lui, dès qu'il m'arrive un truc, rien qu'un tout petit truc il est là. Sauf aujourd'hui quoi.

... ils sont où les gars ?

Moi : parti

... : ah ouais.. tu te sens bien ? Tu veux que j'appelle Ibrahim ?

Moi : non non ça va, je suis fatigué je sourie

Ils entrent tous du coup, ils s'assoient tous autour de la table et sortent un jeu de carte, j'ai pas vraiment fais attention à eux. Ils ne faisaient rien de mal et de toute façon je m'en foutais.

Je suis monté dans le bureau d'Ibrahim et j'ai fermé la porte, je me suis assise sur son siège et je me suis mit à tourner. C'était ma seule occupation.

Et puis je me suis rappelé de l'existence du colis donc je me suis levé et je suis aller ouvrir, c'était un trop beau sac. Avec le porte monnaie et la pochette qui allait avec. J'ai sourie comme une idiote. Il est trop mignon j'hallucine.

Je met tout dans le carton et je vais dans la chambre d'Ibrahim, je sors le sac de son emballage et j'enlève tous les minis plastiques qui le protège, je me met devant le miroir et je l'essaye.

On aurait dit une gogole mais je suis désolé il me va à merveille, en plus il est pas très grand donc c'est nickel. Bon j'ai rien à mettre dedans maiiiis quand je reprendrais une vie active il faudra bien que j'ai un sac quand même !

Et d'ailleurs il faudrai aussi faire de la place pour mes futures affaires, parce que c'est bien beau d'avoir un dressing mais si c'est que le sien c'est d'un coup pas très drôle je trouve.

Alors que je suis sûr qu'on pourrait rajouter grave des armoires... je réfléchis un peu et je fais le tour de la chambre. Ouais j'en suis sûr, donc je descends rapidement et je vais dans le salon.

Ça sera nous jusqu'à la fin.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant