The Scandal

Chapitre 15 . Un sentiment incontrôlable.

Jonathan pénètre le salon en direction sa femme de ménage qui lui tend un verre de champagne qu'il attrape dans le plateau qu'elle tenait.

- Merci Gabriella. Dites-moi Lisa est déjà là ?

- Non monsieur, pas encore.

- Merci.

Il se dirige vers sa chambre, en entrant dans la pièce, le jeune homme se place devant son miroir pour enlever sa veste. Jonathan desserre sa cravate et stop dans son geste lorsqu'il entendit son téléphone vibrer sur le lit.

Il saisit l'objet puis un sourire dessina sur ses lèvres en voyant un message qu'il a reçu de Fanny mais déchante aussitôt en le lisant.

- Bonjour Jonathan, je ne suis pas la fille que tu cherches, j'espère que tu l'as retrouveras.

- Tu es sûr ? Je me souviens que tu as travaillé chez mes parents... et notre histoire dans tout cela ? Elle n'a jamais compté pour toi ? 

L'homme s'installe sur le bord de lit profitant de la disponibilité de la jeune fille. Il tante de savoir pourquoi elle ne souvienne pas de lui.

- Écoute Jonathan Fleury, tu es bien gentil mais, je ne vois pas vraiment de qui tu parles. je suis désolée, je vais pourvoir te bloquer.

Aussitôt dit aussitôt fait, il n'a pas le temps d'envoyer son dernier message.
Jonathan s'énerve en envoyant valser son téléphone portable dans le lit.

Il se demande pourquoi la jeune fille cherchait à le fuir. En tant que quelqu'un de tenace, il ne compte pas abandonner.

- Salut mon amour.

L'homme se relève brusquement en souriant à sa fiancée adossée dans l'embrasure de la porte.

- Salut ma puce.

Elle avance dans la pièce se penchant vers son amoureux. Elle passe ses bras autour de son cou.

- Pourquoi, est-ce que tu m'as fait venir ?

- Je voulais m'excuser pour hier, je n'ai pas été très sympa. Alors que tu voulais juste être gentille.

- Ce n'est pas grave mon coeur, je sais que tu n'aimes pas quand on s'inquiète pour toi.

- Non, ce n'est pas vrai ! Il y a juste des discussions que j'aurais aimé évité d'entamer, tu comprends ? 

La jeune femme lui tient par le menton en le fixant droit des yeux.

- Je comprends. Désormais, je ne te parlerais plus de ton jumeau. Je vois que ça te dérange.

Jonathan lui attrape la taille la ramenant vers lui. Lisa lui grimpe dessus en se mettant à califourchon sur lui, effleurant tendrement ses lèvres avant qu'ils s'embrassent langoureusement.

- Je t'aime Jonathan.

- Je t'aime aussi Lisa.

Sa fiancée lui retire sa chemise boutons par boutons, son pantalon subit le même sort. Jonathan glisse ses mains ssur son haut à bretelles, jusqu'à le faire glisser au dessus de sa tête. Il lui dégrafe son soutien de gorge parsemant son épaule de bisou avant de faire glisser les bretelles de son soutien gorge de part et d'autre.

- Fais-moi l'amour mon amour. Lui murmura la jeune femme.

- À vos ordres princesse ! 

Il se redresse tout en la portant et l'allonge sur le lit avant de se mettre entre ses cuisses, de ses mains libre Jonathan la débarrasse de son jean ensuite de sa culotte. Lisa l'a aidé à se débarrasser de son pantalon son amoureux la pénétra par surprise.
La jeune femme émet un léger sursaut.
Et sourit sentant la douceur qu'elle ressent une fois qu'elle senti son membre en elle.
                    
                                 ***
Chloé entend frapper à sa porte, elle dépose son verre de vin sur sa table basse avant d'aller ouvrir. En ouvrant, elle est surprise de voir debout son amant devant la porte. 

- Mathis ? 

- Je peux entrer ? 

- Euh... oui, je t'en prie.

Elle s'écarte pour le laisser entrer avant de lui offrir à boire, celui-ci décide de prendre la même chose qu'elle. .

Mathis lance un regard circulaire dans la pièce avant de s'assoir sur le canapé. La jeune femme lui tend un verre de vin avant de se mettre en face de lui.

- T'es toute seule ? 

- Oui, Sarah est chez son oncle. Qu'est-ce que tu fais là ? 

- Quoi ? T'es surprise de me voir ? 

- C'est la première fois que tu viens chez moi alors oui.

L'homme lui fait un sourire avant de prendre un air sérieux. Elle change aussitôt d'expression et lui demande ce qui ne va pas.

- Ça va ?

- Oui... en fin, pourquoi tu me poses cette question ? 

- Tu ne viens jamais chez moi... en plus..

- Je voulais te voir... Chloé, est-ce que tu m'aimes ?

- En fin Mathis, pourquoi cette question ? Elle lui questionne nerveusement.

  -Tu vois je... En fait, un jour je suis convaincu que tu m'aimes mais vraiment. Puis le lendemain, je suis remplis de doutes.

Chloé se lève brusquement de sa chaise les bras croisés sur sa poitrine.

Elle  voulait juste s'amuser, pimentée un peu sa vie de mère célibataire maintenant, elle est partagée entre amour et passion. Se retirer dans la vie de son amant le laisser continuer sa vie avec sa femme et sa fille. Oui, le choix serait facile si elle n'était pas amoureuse à ce moment là, tout dévient plus compliqué.

Chloé regretta de ne pas avoir mis fin à cette relation avant qu'elle ne tombai amoureuse mais elle devait mettre fin à sa relation avec l'homme qu'elle aime pour sauver son mariage. Mais tout est dans sa tête, incapable de le lui dire.

- Je t'en prie Chloé, dis-moi quelque chose.

- Je... je pense que tu dois penser d'abord à ta famille. Tu aimes ta femme c'est sûr, et tu adores ta fille.

Ce dernier se redresse du fauteuil et avance près d'elle.

- C'est vrai que j'aime ma fille, j'aime ma aussi ma femme. Je t'aime plus que tout Chloé, tu me fais sentir ce que personne ne m'a jamais fait sentir auparavant. Je veux finir ma vie avec toi.

- Mathis, c'est de la...

- Je refuse de t'entendre me dire que c'est de la folie, parce que c'en en est pas une !

Mathis s'approche près de son amante lui caressant tendrement la joue, elle semble impuissante face à ce sentiment qu'elle juge incontrôlable. Chloé se demande si elle réussira à en mettre un terme.

Il la fait pivoter vers lui les deux amants se regardent tendrement.

- Je t'aime Chloé ! Lui sursurra l'homme d'une voix tendre.

- Moi aussi Mathis. Lui répond-elle timidement.

Il pose ses lèvres sur les siennes avec une extrême douceur tout en effleurant ses lèvres en prenant son visage entre ses mains et sa langue suit doucement sa lèvre inférieure lorsque soudainement elle murmure son prénom entre leurs lèvres.

- Mathis, je...

- Non mon amour, je ne veux rien entendre.

Il continue de l'embrasser délicatement leurs lèvres se retrouvent dans un baiser passionné se mouvant l'une contre l'autre.

Toujours bloqué contre le mur les yeux de Mathis plongent dans les siens, doucement leurs bouches se rapprochent une nouvelle fois.

Chloé passe sa main autour de son cou et lui sans rompre le baiser, il la hisse en se collant de plus en plus d'elle, jusqu'à ce qu'il n'y a plus d'espace entre eux. Mathis lui enlève sa robe, il prend ses seins avec ses deux mains en les pressant doucement les mordille à tour de rôle elle gémit en le débarrassant de son pantalon et son boxer.

- On va dans le canapé ?

La jeune femme acquiesce.