Chapitre 18

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Avant propos :

Distribution d'air.🌬💨💨

- Torrence a un frère ? dit Andrès.

- C'est son demi-frère .

Comment il sait ça ? Bon je ne dirais rien, je connais toute sa vie aussi... enfin en parti.

- Bon tu nous excusera mais ton frère, dit-il en faisant de guillemets. Il va se prendre une balle entre les deux yeux.

- Je ne sais pas si tu es au courant mais il m'a dit le rejoindre seule. Je crache à Andrès. C'est le bras droit de mon père. C'est un Torrence qui a subi les entraînements de mon père.

Carter regarde notre échange sans dire un mot.

- Il n'a pas subi les même entrainements que toi.

- Tu en sais quoi d'abord, lui dis-je aussi sèchement comme ce qu'il m'a craché à la gueule.

Il ne répond pas, il se contente de charger une arme qu'il a pris dans sa boîte à gants.

- Bon, accélère sinon c'est moi qui prend le volant, me dit Andrès.

- Orh ferme ta gueule, dis-je soulé. C'est pas ma faute si ton plan cul s'est faite kidnapper.

Oula, ça j'ai pas fait exprès de le dire. Je me rend compte de ce que j'ai dit une fois que Carter se raidit et se retourne vers Andrès.

- Attends... Tu te tapes ma sœur ? dit-il sur un ton si calme que ça en est flippant.

Andrès rigole.

- Non pas du tout, dit-il sur un ton aussi calme que celui de Carter.

- Orh je t'en pris. On le sait tous, dis-je une seconde fois à haute voix.

Mais cette fois, Carter me dévisage moi. Mais je mime un air impassible.

[...]

-Il reste 10 minutes, dit Carter en regardant sa montre. Une fois là, si dans 5 minutes, tu n'es pas là, on intervient compris ?

J'hoche la tête et il me tend l'arme qu'il avait chargé auparavant.

Je n'en reviens pas. Je vais vraiment affronter Alejandro pour Aria. Mais tuez-moi sérieusement.

J'ouvre la porte, mais d'un coup, Carter m'attrape le bras.

- Tu fais quoi là

- J'y vais maintenant, dis-je en retirant mon bras.

Je met mon arme a l'arrière de mon pantalon et j'entre dans le hangar. Bien évidemment, il n'y a personne.

- Tu es seule ?

Il ne me prend aucunement par surprise. Je savais qu'il était là.

- Elle est où ? crachais-je.

-Oh, toujours aussi violente.

Dit-il alors qu'il a kidnappé quelqu'un juste pour me parler.

- Un conseil, rends-là moi maintenant.

Il prend un chaise qui est derrière lui.

- Non, on va parler d'abord.

- Tu es vraiment insolent, dit donc.

- C'est dans les gènes, dit-il d'un air nonchalant. Tu fais quoi encore au Mexique ?

En quoi ça le regarde...

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