Mon amour - Namjoon Fanfiction

Chapitre 17

-Une soirée ? Tous ensemble ? Dans un bar ? Je dis oui.

-Ça me va aussi. Je vais pouvoir empêcher Kook de nous faire un karaoké.

-Eh, je ne vois pas quel est le problème avec mon karaoké.

Tout le monde le regardait d'un air désapprobateur.

-Bon...

Je repartis avec Namjoon dans sa chambre et je me mis dans son lit. Il se plaça pour commencer à jouer.

-J'ai pris des cookies.

-Tu m'en passe un ?

J'ai pris quelques cookies et m'approchais de lui.

-Tiens.

-Merci, tu gères.

Je lui fais quelques bisous dans la nuque et je me colle à lui. Je le pris par la taille, de derrière et collait ma tête dans son dos et j'enroulais mes jambes autour de lui.

-Tu fais quoi ?

-Un câlin. Des fois, j'ai besoin de me serrer contre toi. Et là j'en avais vraiment envie.

-Reste comme ça alors.

Je resserre mes mains, sûrement car ça me fait plaisir et je le sens avoir un frisson.

-Tu as froid ?

Il se mit à rire, un peu gêné.

-Non, du tout. Quand tu me touches comme ça... C'est apaisant.

Je recommençais alors. Il posa sa manette et se mit à cogiter pendant quelques secondes. Il se retourna rapidement et me plaque contre le lit.

-Apaisant ?

-Là, c'est excitant.

Je me met à rougir et je mets mes mains sur mon visage.

-Fais pas ça, je veux voir ton visage.

Il me releva et nous étions désormais face à face, assis sur le lit. Il retire son haut.

-Mes tes mains, là.

Je regardais, comme une enfant et son jouet. Il est tellement beau. Mes mains bougeaient de temps en temps.

-T'es super mignonne.

Sa voix avait radicalement changé. Je me levais.

-Toi, je sais ce que tu vas vouloir.

-J'ai rien dit.

Il se lève et me suit.

-Tu vas où ?

-Viens.

Je m'arrêtais dans la cuisine.

-Tu te rappelle hier, je faisais que de fixer les plans de travail ?

-Mmh mmh. Attends ?

-Oui, tout à fait. Je ne pouvais pas m'empêcher d'y penser. D'imaginer surtout.

-Tu es folle.

-Et tu vas me dire que tu ne veux pas ?

-Alors là, bien sûr que non.

Il me porta pour me poser sur le fameux plan de travail. Nous nous embrassions et nous déshabillons.

-Mais, tu es sûr ?

-Oui, je ne vais pas faire de bruit, ne t'inquiète pas.

Et la soirée fut magique.