Love has its reasons 2

Dernier chapitre...fin de love has its reasons

Alya

Il n'en a pas d'autres des conneries ?
Juste au cas où, non, car là on apprend qu'il a un frère qui n'es pas vraiment son frère, mais que je lui tire dessus qu'il censé être mort, mais qu'il ne l'a pas et que finalement il est tellement dangereux que même Elvio en perds ses moyens, est il ose me dire de disparaître une deuxième fois, alors que ça sois lui comme moi comme ma famille c'est ce qui nous a fait le plus mal.

Il m'énerve, il est égoïste comme je le suis, mais il n'est pas comme ça lui, c'est moi la méchante qui fuis pas lui, et maintenant que je veux changer il me pousse à reproduire les mêmes erreurs.

Quoi qu'il en pense je resterais ça va deux minutes ses conneries là, je vais finir par me le faire.

Alors que je marche à toute vitesse en direction de ma voiture, je m'arrête net et je me retourne avant de voir Adam a quelques pas de moi très silencieux.

- Parle.

- Comment ça. Demandais je

- Tu pars énerver et là tu t'arrêtes net pour revenir, je ne sais pas à quoi tu penses, mais c'est mort Alya.

- Je ne suis pas une gamine, et si on doit faire une liste de ceux que j'ai tué vous n'arrivez même pas à me rattraper, alors ne me méprise pas.

- Mais tu ne veux pas fermer ta gueule deux secondes. Crache-t-il

Je simule une douleur à la poitrine a l'entente de ses mots, il comprend mon ironie et me sourit légèrement.

- On s'en fout de qui a tué le plus ou le moins, on sait que tu t'es déjà prise une balle là dernière fois que tu étais présente et c'est hors de question qu'on reprenne le risque de te perdre.

- J'ai pris une balle pour vous protéger imbécile que tu es.

- Alya c'est non négociable.

- Adam, c'est non négociable, c'est clair ?

- Putain non, c'est pas clair arrête d'être borner, tu n'as pas 10 piges sérieusement, avec toi aux alentours Elvio pensera plus à te protéger que de se protéger vous avez plus de chances de mourir tout les deux si vous êtes ensemble alors réfléchis sérieux.

- Alors à lui de disparaître. Lâchais-je a le dépassant pour rentrer à nouveau.

- Tu es impossible comme fille. Souffle-t-il

- Je t'aime également.

- Tellement rare de l'entendre que ça fait plaisir.

- Ta gueule.

Je rentre en trombe histoire de montrer que mon entré est sérieuse et qu'il va devoir m'écouter en rejoignant le salon, ils sont toujours là, mais Elvio est assis sur un des fauteuils une main cache son visage en signe de désespoir.

- Tout le monde sort.

Tout le monde se lève, mais je pousse Elvio d'une main ce qui le fait retomber, à ce moment-là sans le contrôler une image de lui la tête entre mes cuisses me revient et sans réfléchir quand tout le monde et sortie je me mets à califourchon sur lui.

Son visage se décompose il essaie de se replacer et de contrôler la gêne qu'il ressent, mais je me contente de sourire pour le plaisir que je ressens également, en approchant ma bouche de son oreille je sourie encore plus en le sentant tressaillir.

- Je viendrais, c'est comme ça que ça marche maintenant tu souffres, je souffre, tu te bats-je me bats, tu fuis je fuis, tu marches, je marche Elvio, a tu quelques choses à rajoutais ? Chuchotais-je au creux de son oreille.