La suite 106 Tome 1 (Terminée)

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Farmer me conduis dans sa chambre où il pose ma valise.

- J'imagine que Mack ne viendra pas me chercher ici.

Il se rapproche de moi.

- Même s'il vient ici, il sera mal reçu, me répond-il.

Il m'embrasse langoureusement.

- Allez, viens, préparons le dîner ensemble, s'exclame-t-il.

Il me prend la main puis nous descendons à la cuisine ensemble. Nous arrivons dans la cuisine, enfilons des tabliers et commençons à cuisiner. Au menu, pâte carbonara et salade de fruit. À vingt-heure, nous nous mettons à table.

- Le plat est succulent.

- Mon père me cuisinait souvent ce plat et à chaque fois qu'il en cuisinait, j'en raffolais, me confit-il.

- Tu étais proche de ton père, on dirait.

- Il ne passait pas beaucoup de temps à la maison, mais les rares fois où je le voyais, j'en profitais.

Nous terminons le repas puis nous débarrassons. Nous montons à l'étage.
Nous entrons dans la chambre et je commence à ranger mes affaires dans le placard à côté des siennes.

- J'espère que tu auras assez de place pour tous ranger. Je vais aller prendre une douche.

Il enlève sa veste puis sa cravate et il part dans la salle de bain située dans la chambre. Je termine de ranger mes affaires puis range ma valise, j'entends  alors l'eau de la douche. Une idée me vient alors à l'esprit. Une idée cochonne, je vais dans la salle de bain et ferme la porte.

Farmer est nu, je me rapproche de la douche puis ouvre la porte. Je pose délicatement ma main sur son épaule. Il se tourne et me regarde.

- Tu vas être trempé, Sasha.

- Je m'en fiche, je réponds.

Je pose mes lèvres sur les siennes et l'embrasse. Il me prend par la taille et me plaque contre le mur. Nos langues se rencontrent, mes mains se faufilent dans ses cheveux. Je sens son érection à travers mon pantalon qui est maintenant humide.

Nos lèvres se séparent, je me baisse au niveau de son pénis et le mets dans ma bouche. Je commence à sucer son membre, Farmer se tient au robinet de la douche, j'accélère encore.

- Vas-y, continu bébé !

J'accélère encore, il pose une main sur ma tête. Puis il jouit au bout de cinq minutes, sa semence s'écoule dans ma gorge. J'avale et retire son membre de ma bouche. Je me redresse et le regarde dans les yeux.

- Tu sais que je t'aime bébé !

Je lui souris puis m'apprête à sortir, mais il me prend le poignet pour me ramener dans la cabine de douche.

- On n'a pas fini, s'exclame-t-il.

Il retire mon haut et commence à embrasser mes seins à pleine bouche. Je gémis aussitôt. Farmer commence ces vas et viens en moi.

- Tu aimes ça bébé, hein ! Dis que tu aimes ça !

- J'adore, continue !

Nous continuons à nous embrasser. Je jouis à mon tour puis il retire ses doigts de mon vagin. Nous finissons la douche ensemble puis sortons.
Farmer me tend une serviette pour m'essuyer puis je reviens dans la chambre.

Il sort de la salle de bain vêtue d'une serviette. Il ouvre son armoire puis me tend un pyjama pour la nuit. Il m'invite dans son lit où je m'allonge à côté de lui.

- Tu sais que je t'aime Farmer.

Farmer m'embrasse sur le front et nous nous endormons l'un contre l'autre. Je me réveille en l'absence de Farmer. Je me lève et m'habille pour aller prendre mon petit-déjeuner. Aujourd'hui, je vais dessiner.

Je prends tranquillement mon petit-déjeuner et commence à imaginer les nombreuses robes que je pourrais dessiner. Durant la journée, je passe mon temps à colorier et esquisser.

Je me demande si Burt récupère bien de sa blessure. À onze heures, Farmer revient avec un carton rempli. Il le pose sur le plan de travail de la cuisine et s'approche de moi pour m'embrasser sur le front.

- Ce sont les affaires qui viennent de ton bureau, je demande.

- Oui, c'est officiel. Je ne travaille plus pour Mack, mais ne t'inquiète pas, j'ai un autre plan en tête.

Il regarde mes dessins.

- S'est toi qui as dessiné tout ça ?

- Oui, mais je n'ai pas les moyens de créer une collection.

- Je crois que j'ai une idée. Est-ce que cela t'intéresserais de créer une collection avec moi ? Me propose-t-il.

Je suis surprise par la proposition de Farmer.