La suite 106 Tome 1 (Terminée)

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Nous descendons de la chambre et allons dans la cuisine. Ma mère commence à préparer le repas de ce midi.

- Maman attend, je vais t'aider.

- Tu sais, je peux me débrouiller toute seule. Tu es là en vacances alors profite.

- Je vais aller chercher des légumes dans le jardin, s'exclame mon père.

- Je vais vous accompagner, ça fait longtemps que je n'ai pas jardiné.

- Dans ce cas, suivez-moi ! Réponds mon père en souriant.

Farmer quitte la pièce pour suivre mon père. Je me retrouve avec ma mère. Nous commençons à cuisiner.

- Ton copain est très gentil. Où l'as-tu rencontrée ?

- Tu te rappelles de l'entreprise de lingerie dans laquelle je voulais postuler.

- Oui, celle qui t'a refusé.

- Et bien Farmer faisait partie des recruteurs.

Ma mère est surprise.

- Vraiment ! S'exclame-t-elle en souriant.

- Oui. Au début, je le trouvais froid et arrogant, mais à force de passer du temps avec lui et bien, on s'apperçoit qu'il est moins arrogant qu'on ne le croit.

- Je suis contente que tu aies trouvé enfin la bonne personne.

Ma mère me prend dans ses bras puis nous continuons tranquillement à faire la cuisine. Quelques heures plus tard, ils sont de retour avec un panier rempli de légumes.

- Alors, la cueillette étais bonne !

- Elle as été plus que bonne, tu veux dire. Les légumes ont beaucoup d'avances cette année et je dois dire que Farmer est doué pour le jardinage.

Mon père pose le panier sur le plan de travail de la cuisine puis il embrasse ma mère.

- Je ne savais pas que vous aviez des talents cacher en jardinage Farmer, s'exclame mon père.

- Mon père avait une jardinière, il m'arrivait souvent de l'aider quand j'étais gosse, explique-t-il.

Je retombe toujours sous le charme de Farmer à chaque fois que je le vois. Le soir arrive et nous nous mettons à manger sans mon frère. Nous parlons du projet que nous avons en commun tous les deux. Mes parents sont ravis lorsqu'ils apprennent que je vais créer ma propre collection.

À vingt-heure, tout le monde aide à débarrasser la table et nous montons dans notre chambre.

- Alors, comment as-tu trouvé cette première journée avec mes parents ? Je le questionne.

- Ils sont très agréables et gentils, tu as beaucoup de chance de les avoir.

Il enlève sa veste et la pose sur le lit. Je peux voir ses pectoraux à travers la chemise. Je me rapproche de lui et pose mes mains dessus.

- Je croyais qu'il fallait résister. En fin de compte, s'est toi qui vas finir par perdre, dit-il avec un sourire au coin.

Je rougis rapidement puis continue. Je déboutonne sa chemise lentement et dépose des baisers sur son torse.

- Sasha, tu fais quoi ? Tu es si faible que ça, rajoute-t-il.

- Ah non ! Je ne suis pas faible. Je teste ta libido. Je veux savoir jusqu'où tu es capable de me résister.

J'aime le tenter ! Il me regarde en essayant de se contrôler puis il me prend violemment par les cuisses et me pose sur le lit.

- On dirait bien que s'est toi qui vas perdre, je m'exclame.

- Tu en es vraiment sûre de ça, Sasha.

Il faufile sa main en dessous de ma jupe et commence à me toucher. Je ferme les yeux aussitôt et cambre mon dos.

- Tu sais ce que j'adore. S'est de te voir gémir.

Il touche mon clitoris et le titille. Je prends un de mes oreillers pour couvrir mes bruits. Il arrête aussitôt quand il entend quelqu'un monter l'escalier.
Ma mère frappe à la porte et je m'assois rapidement sur le lit.

- Je voulais savoir si vous étiez bien installé.

- Oui, ne vous inquiétez pas, répond-il.

- La chambre n'est pas trop petite pour deux personnes ?

- Elle est largement suffisante pour nous deux.

- Bon très bien, dans ce cas passer une bonne nuit !

Ma mère ferme la porte puis Farmer me regarde en signe de victoire.

- On dirait que tu as perdu.

J'avance vers lui et l'embrasse.

- Non, on va dire que nous avons tous les deux perdu.

Farmer me regarde et écrase aussitôt ses lèvres sur les miennes. Nous avons tous les deux perdu ce duel. Comment va être la nouvelle journée de demain ?

Je me réveille avant Farmer, je m'habille et descends dans la cuisine. Avant même de rentrer dans la pièce, je surprends une conversation entre mes parents.

- Chérie, cette nuit, je crois que j'ai entendu des bruits dans la chambre de notre fille.

- Des bruits ? Quel genre de bruit ?

- Comme des gémissements.

Ils se sourient.

- On dirait bien que nos deux amoureux ont fait des galipettes ensembles.

Je suis alors gêner, est-ce qu'ils auraient entendu mes gémissements ? Je retourne dans la chambre.