La suite 106 Tome 1 (Terminée)

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Nous sommes de retour à New York, Farmer conduit la voiture jusqu'à sa demeure. Il se gare devant. Je sors de la voiture et entre dans la maison. Il est temps que nous reprenions le travail.

- Il ne reste plus que demain pour finaliser le défiler. Nous avons encore du travail, me dit Farmer.

- Je sais, tous les vêtements sont terminés. Il ne manque plus qu'à passer quelques coups de fil et nous avons terminer.

Nous terminons de finaliser quelques détails qui restent puis nous nous installons sur le canapé.

- Tu as peur pour demain ? Me questionne-t-il.

- Sincèrement, non. Je n'arrive juste pas à croire que cent mannequins vont porter mes créations. Tout ça, s'est grâce à toi.

- C'est grâce à nous, dit-il en souriant.

Je dépose un baiser sur ses lèvres et il me le rend tendrement.

- Tu sais que je t'aime Farmer.

- Je t'aime aussi Sasha.

La soirée passe et nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.

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S'est le grand jour, tous les mannequins sont prêts à défiler. Mon rêve d'avoir ma propre collection se réalise. Le défiler peut à présent commencer. Les mannequins commencent à défiler les unes après les autres. Je les aide à se changer. Beaucoup de personnalités de la mode sont présentes, je suis quand même stressé.

Alors que la dernière mannequin défile avec une robe en satin. Je peux désormais souffler et être soulagé par tout le travail que nous avons accompli Farmer et moi. Je vais sur la scène pour être accueillis sous un tonnerre d'applaudissement.

- Merci ! Merci infiniment de vous êtes déplacer pour assister au défiler de ma première collection.

Je retourne dans les coulisses lorsque je tombe sur Mack et Farmer en train de discuter. Je décide d'aller prendre sa défense.

- Mack, qu'est-ce que vous faites ici ? Je lui demande furieuse.

- S'est un défilé il me semble et je suis créateur donc cela tombe très bien, vous ne croyez pas !

- Mack, je ne t'ai pas invité, il me semble. Va-t-en, sinon j'appelle la sécurité, s'énerve-t-il.

- Ah parce que tu as les moyens de te payer des gardes du corps. Surtout lorsqu'on ne touche aucun salaire.

- J'ai mes ressources. Si tu crois que je dépends de ton misérable fric, tu te fourres le doigt dans l'oeil.

- Ça suffit tous les deux ! Mack, vous voulez quoi à la fin !? Je m'énerve à mon tour.

- S'est toi que je veux, ma biche, s'exclame-t-il avec un sourire au coin.

Je le gifle violemment et lui ordonne de partir sur-le-champ.

- Que les choses soit clair Mack. Je ne suis pas votre propriété, je ne vous aime pas et je ne veux pas devenir votre soumise même pour tout l'or du monde, je m'exclame furax.

- Tu changeras vite d'avis lorsque tu t'appercevras que Farmer n'est pas celui qu'il prétend être.

Farmer le frappe brutalement au visage. Mack perd l'équilibre et tombe par terre. Son nez saigne.

- Je n'ai rien fait à Adriana ! S'est toi qui as inventé toute cette histoire pour me nuire encore une fois. Parce que tu adores faire ce genre de chose.

Mack se relève difficilement.

- Ne t'avise plus jamais de t'approcher de Sasha. S'est ma copine ! Maintenant, dégage !

- Très bien, je m'en vais, mais je te garantis que rien de tout ça n'est terminé. Tu vas entendre parler de moi.

Mack quitte les coulisses et Farmer se tourne aussitôt vers moi. Je lui prends la main et dépose un baiser sur ses phalanges.

- Il paraît qu'un baiser répare toutes les blessures, dis-je en souriant.

- Même les blessures de l'âme.

- Oui, même celle-ci. Mais pour les réparer, il faut faire quelque chose de très particulier, je m'exclame avec mon petit sourire au coin.

- Ah oui et quoi donc ? Je suis curieux, répond-il en souriant.

- Si tu veux vraiment le savoir, il faut que tu attendes ce soir.

Je dépose un léger baiser sur ses lèvres puis pars vers les couturiers et les stylistes qui sont venus. J'échange quelques contacts avec eux et range le matériel.
Cette journée a été très excitante pour moi, mais aussi stressante. J'ai hâte d'être à ce soir. Nous remontons en voiture pour rentrer.