Chapitre 27

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La photo de Liviana était accrochée partout, une somme colossale avait été déposé auprès de la police pour quiconque aurait des informations susceptibles de la faire retrouver...... mais c'était en vain. Seule sa voiture avait été retrouvé au parking du parc intact sans quelconque effraction. Au début la police avait soupçonnait qu'elle était tout simplement parti sans pour autant aviser les membres de sa famille mais cette hypothèse fut vite écartée quand les agents chargés de l'enquête on découvert par malheur ou par préméditation que les caméras de surveillance avait courcircuiter la veille de sa disparition.

A l'hôpital l'état de santé de Landry ne montrait aucun signe d'amélioration au point que les médecins craignaient le pire.

Les familles étaient dans une inquiétude et une souffrance totale en l'attente de nouvelles et cette attente ne faisait malheureusement qu'être plus longue.

Correna essayait du mieux qu'elle pouvait d'apporter son soutien à sa famille mais au fond elle ressentait une terrible angoisse l'envahir , la peur de perdre Landry d'un côté et de l'autre celle de ne plus revoir sa plus que sœur dont la disparition n'avait rien de normale. Un soutien....oui elle en avait besoin et Georges été là même si leur relation n'était pas au beau fixe les choses commençaient à s'améliorer peu à peu . C'est avec l'esprit ailleurs et les yeux gonflés témoignant d'une longue absence de sommeil qu'elle pénétra dans son appartement......car oui elle avait déménagé l'atmosphère à la maison été de plus en plus lourde et voir la situation que vivait son oncle et sa tante avait ramené à la vie ses vieux démons.
C'est après une bonne douche qu'elle s'apprêta à aller à l'hôpital quand quelqu'un sonna à la porte et c'est avec une grande surprise qu'elle vu Georges

- salut ; dit il en ne cessant de la contempler avec ses longs cheveux attachés en un chignon et dont quelques mèches descendaient sur son visage

- salut ; dit elle surprise de le voir chez elle

- je peux entrer ?

- ...oui, vas y entre ; en se décalant pour le laisser passer alors que les effluves de son parfum aux esquives musquées et virils ne cessait de lui titiller les narines

- comment tu vas, tu tiens le coup ; d'un ton soucieux

- ça va j'essaie d'aller mieux, et je peux savoir comment t'as eu mon adresse ; en faisant deux pas dans sa direction les bras croisés

- franchement Corenna je viens te voir pour avoir de tes nouvelles et toi la seule chose qui t'intéresse c'est de savoir comment j'ai fait pour avoir ton adresse ; dit il peiné de cette situation

- Georges tu n'as aucune exclusivité dans ma vie pour prétendre venir chez moi sans mon consentement ; dit Correna... et non sans siller et c'est avec un rire amer qu'il accueilli sa réponse

- très bien je te le concède mais si on mettait de côté toute cette rage, cette colère, cette haine juste pour nos amis car de la même manière que tu tiens à Liviana et à Landry c'est de cette même manière que je tiens à eux Corenna et peut importe si notre relation ne devient pas comme je l'aurais voulu mais au moins entrerons la hache de guerre.....tu veux bien

Elle le fixa un long moment tentant en vain de réprimer les larmes qui lui montaient aux yeux car à ce moment là elle était à bout et ce fut pire quand il s'avança pour la prendre dans ses bras afin de la réconforter

- shuutt.., calme toi ils vont s'en sortir ; dit il alors que la voir dans cet état infligé une terrible douleur à son cœur

- c'est trop dur ; dit elle en continuant de pleurer de plus belle....


Le sommeil, elle n'en n'avait pas et n'en voulais pas, tout ce qu'elle voulait c'était sortir mais comment ? Et par où ? La chambre été sans dessus dessous elle avait tout retourner et fouiller partout mais rien, et maintenant essayait de casser les fenêtres étaient devenues son passe temps favori ....mais tout semblait être contre elle . C'est avec une profonde fatigue qu'elle se laissa tomber sur le sol les pensées occupaient par Landry. Le bruit de la porte qui s'ouvrait la fit se retourner mais le visage et le regard qu'il rencontra lui donnait la nausée

- on dirait que tu t'es amusé à refaire la déco ; dit Franco en s'avança vers elle avec une lenteur délibéré mais il ne reçu aucune réponse

- si j'avais su que la déco ne te plaisais pas je l'aurais fait changer avec beaucoup d'amour ; en essayant de s'assoir près d'elle avant que celle ci ne se lève brusquement avec la lampe de chevet dans sa main

- ne t'approches surtout pas ou sinon je te tues ; d'un ton ferme

- poses ça ma chérie, tu vas te fatiguer pour rien

Elle ne répondit pas et tenais toujours son arme de défense entre ses mains avec le coeur qui battait à vive allure

- ne sois pas têtu et écoute moi ; dit il en faisant néanmoins deux pas dans sa direction

C'est alors dans une tentative désespérée qu'elle lui lança la lampe en pleine figure mais il l'esquiva de justesse avant de la saisir par le bras pour l'immobiliser

- ce jeu a assez duré comme ça maintenant tu vas faire ce que je te dis de faire ; d'une voix où résonnait une légère irritation alors que sa bouche était tout près de son oreille

- va te faire foutre, tu n'es qu'un malade ; en réprimant les larmes qui lui montaient aux yeux car elle refusait de lui donner le loisir de la voir pleurer

- oui je fou mais fou d'amour pour toi et tu auras beau me traiter de tout les noms cela ne te feras pas sortir d'ici car tu es à moi ; en serrant de plus en plus sa prise avant de la lacher pour se diriger vers la porte

- une dernière chose n'espère pas voir ton petit chéri car cela m'étonnerait vraiment qu'il vole à ton secours ; dit il avec un sourire au coin sans se retourner






L'amour contre l'obsession Où les histoires vivent. Découvrez maintenant