• 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟐𝟔

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⟪𝐀𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐭𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐬𝐞 𝐭𝐫𝐨𝐮𝐯𝐞 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐜𝐨𝐦𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞⟫

𝐄𝐬𝐭𝐡𝐞𝐫

En cette journée ensoleillé, en ce début juin, je suis habillé d'un jean bleu claire, en haut j'avais simplement d'un vieux pull nike couleur marron, avec mes deux collier et bracelet. En chaussure j'avais me fidèle dunk low blanche.

Le déménagement était finit depuis quelque jours maintenant, ma maman s'y fait doucement mais surement a sa nouvelle vie toulousaine. Au Havre, elle travaillait dan un hôpital, donc elle a été gentiment muter dans un hôpital de Toulouse. Donc elle a encor son travail, qui est infirmière; aide soignante, mais dans un hôpital diffèrent.

Avec Evan nous passons quand même du temps avec elle pour qu'elle prenne un minimum c'est marque ici.

Aujourd'hui, je voulait simplement aller au capitole, pour le magnifique marché qui se dresse. J'adore y aller quand j'en est le temps.
Mais la Evan voulait m'y accompagné; mais bizarrement il partait pas en même temps que moi, il me rejoignait là-bas. Alors qu'il était prêt quand je parti?
Il ma juste dit «Je doit juste récupérer un colis je te rejoins après»
D'accord?

Arpenter les petit stand avec zéro argent en poche est l'histoire de ma vie. Tout le temps oublié sa carte pour me payer un livre, une robe à fleurs ou alors un bracelet de coquillages.
Evan décide d'aller dans le café juste à côté de la place pour se poser avant de rentrer a l'appartement.

L'air était chaud. Mais la brise était fraiche. Ce début de mois de juin était étrange.

Notre café finit, les macarons avalés, tout payer. Evan me tira le bras pour rentrer.
Le monde nous regarda bizarrement, sûrement car je me faisais tirer par un mec dans les rue de la ville.

Alors que nous somme rentrer dans notre appartement, je rentre dans ma chambre, me débarrasse de mes chaussures, mon sac et l'allonge dans mon lit. Rien que cette petite sortie m'a épuisé.
Pas épuisé de fatigue. Mais épuisé mentalement. Je ne sais pas pourquoi...

«Estheeeeeer» Dit Evan dans le couloir en arrivant dans ma chambre.

Une fois qu'il finit de parler, un poids lourd se pose sur moi.

«Aller viens ouvrir ton colis!» Dit-il enjoué.

Je me lève de se doux lit, et suit Evan a travers l'appartement. Au salon, je découvre à colis poster sur la sable basse.

Je m'installe et regarde ce colis à présent dans mes mains. Je le tourne et retourne pour avoir une quelconque information mais rien.

Evan m'incite encore pour l'ouvrir, donc je commence a déchirer le scotch du dessus.

A l'intérieur je trouve de multitude de lettres avec quelques emballages dans le fond. Qu'est-ce que sais?

Sur chaque lettes au centre, il y a deux initiales avec un numéro.
Et dans un coin en haut il y a des autre numéro, Evan m'explique que c'est l'ordre pour l'ouverture.
D'accord, d'accord...

J'ouvre la première enveloppe, je la lis tout va bien. Je lis la deuxième, troisième, quatrième, dixième.
Il y a une dizaine de lettres, toute signé par les deux initiales, dans ces lettes la personne dit que je suis une bonne personne, une personne qui mérite le bonheur et qui a donner de la joie de vivre.
Globalement c'était sa...

Il le reste un petit colis à ouvrir et encore une enveloppe. J'allais prendre l'enveloppe, mais Evan me stoppe et me montre le colis.

«Il faut ouvrir le colis en premier, j'ai eu comme information que tu doit lire cette lettre quand tu sera seule...» Il me dit en mettant ces coude sur ces genoux en me regardant.

J'ouvre donc le colis, calmement pour ne rien casser. Je découvre une boîte rectangulaire. Je regarde Evan avec un large sourire.

«Tu sais se que c'est?» Il me demande.

«J'ai déjà eu cette boite en ma possession tu as déjà oublié?» Je dit l'air moqueuse.

En ouvrant la boite, je découvre un pass pour le grand pris du Canada; mais bizarrement je ne réagis, ou réalise pas dutout.

«Attend, c'est vraiment réel?» Je demande soudainement.

«Évidemment» Dit-il mort de rire.

A l'entendre de cette réponse, je commence a réaliser...

«AAAH ATTEND EVAN C'EST TROP BIEN» Je dit en criant en sautant dans tout l'appartement.

«Mais attend, je vais les revoir?» Je dit après réflexion.

«C'est une bonne chose, vous devez parler, et surtout avec Charles, et tu le sais que ces la bonne solution...» Il dit en s'asseyant a côté de moi.

Je le sais. Mais plus le moment sera repoussé. Mieux se sera.
J'ai juste peurs, peur de crois jusqu'ou sa va mené.
Jusqu'ou la discussion va aller...

La journée continua, le sourire plaquée sur nos deux virage. Les rue de Toulouse ensoleillées, starbucks en mains, sac de boutique dans l'autre, et les tire qui casse les oreilles... Un bonne journée.

La journée a passé, le repas avalé.
Je me rappelle la lette. La dernière lettre. A lire seule... Étrange mais j'écoute les instructions...

A peine l'enveloppera ouverte, que cette odeur me viens... Son odeur...

La lettre est délicatement pliée, l'écriture est soignée, et longue. Comme les autre lettre, sauf que celle-ci... Elle a quelque chose de spécial... Elle est unique.

Je la lit calmement, en essayant de tout comprendre. Et de ne rien oublier.
Mais les textes sont durs... Expressif... Douloureux....

Je ne pensais pas tout sa de lui, de Charles...
Évidemment, je ne le juge pas, loin de la, moi aussi j'ai eu cette période sombre? Dans ma vie.
Je le comprend, je l'écoute, et je le rassurerais.

De savoir qu'il a autant souffert... Et que je l'est aider sans le vouloir, comme lui m'a aidé en retour, sans le savoir.
Sa me fait quelque chose. J'ai aidé une personne...

Avant de me rencontrer, il avait des sorte de crises de colère, parfois minimes, mais d'autre intenses...
Ou des crises d'angoisse ou de panique, certaines, il arrivait a les calmé seul, d'autre absolument pas...

Il lui manquais ce petit quelques choses dans son quotidien, cette petite étincelle qui faisait que sa journée brillait. Et je l'était pour lui. Tout comme il l'était pour moi.
Je l'étais pour chacun des pilotes, sans le savoir.

J'étais un rayon de soleil, comme ils m'appellent, et j'ai illuminé leurs journées.

Pourtant je n'est rien fait de spécial... Mais apparemment mon naturel est unique en son genre.

Ils m'aiment comme je suis.
C'est le plus important.

Et je continuerais a les aider.
Je continuerais à être la pour eux.
Je continuerais a être la dans leurs vie, dans les moments joyeux, tout comme les moments triste.
Je continuerais a les aider, comme eux l'ont fait les week end de courses.

Je serais la...


***

et voila le chapitre 27!
j'espère que vous aimez, n'hésites pas a me dire se que vous en pensez <3

Lou'

1134 mots <3

𝐋𝐞 𝐓𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐋𝐞 𝐃𝐢𝐫𝐚Where stories live. Discover now