Chapitre 47: Caliña

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April Carter

Dans la nuit, maison de Miller

J'ouvris les yeux doucement. La lumière au dessus de ma tête me fit cligner des yeux plusieurs fois avant que je ne m'adapte.

Je me trouvais dans mon lit, vêtu d'un haut qui ne m'appartient pas et un jogging noir. Un haut Blanc, long avec une odeur masculine. Celui de Dakota...

Il faisais nuit dehors. ¿ Madre mia que me pasa ? ( ma mère qu'est ce qu'il m'arrive ?)

Je me releva en direction de la cuisine, quand je passa près de la porte du mercenaire je le vis allonger sur le ventre dans ses draps. Je tira sa porte afin de ne pas déranger avec la lumière du couloir.

J'avais terriblement soif, je ne me souvient plus de se qui s'est passé. Comment j'ai fait pour aller me coucher alors que j'étais à la douche ?

C'est le néant la haut...

J'attrapa un verre dans le placard, alluma le robinet et mis le verre sous le liquide transparent .

Je porta le verre à ma bouche et bus le verre d'une traite.

Je sortis mon téléphone. "3h du mat" affichait-il...

Je me rappela du mot.

C'est le moment ou jamais tu ne croit pas ?

"06: Alpes Maritime, 75: Paris, 69: Rhône, 31: Haute Garonne, 2A,2B Corse"

J'ouvra internet et tapa " le journal français". C'est ici que l'on transmettais nos messages à partir des annonce des départements. Le premier mot ou le deuxième et former la phrase. Enfin le message.

Je parcourra le journal d'hier, celui à partir du jour il m'as donné de code.

Je chercha la page des annonces des Alpes Maritime. Ce n'était pas un mot mais un chiffre. 05.

Je chercha la suite mais cela ne formais pas un message mais un numéro de téléphone. Si Ricardo me l'avait passé secrètement il y avait une raison.

Je composa le numéro sur le clavier avant d'appuyer sur le bouton vert. Le téléphone résonna deux fois avant que quelqu'un réponde.

- Holla April. répondit la voix à moitié endormie au bout du fil.

- Hola. ¿ quien es ? ( Bonjour, qui est-ce ? )

- Ricardo, caliña. ( Ricardo, chérie)

Je fus surprise qu'il me donna son numéro à lui mais en réfléchissant vu le charo qu'il était par le passé... Par ailleurs le petit surnom qu'il m'avait donné le confirmais.

- Arrête de m'appeler comme sa.

- J'aime beaucoup moi. Tu préfère princesse peux être ?

- ¡Cállate ! ( tais toi ! ) Qu'est ce que tu me veux ? dit sèchement.

- Simplement te transmettre un message. Tu fais toujours partie des notre agent Cortez.

Oh mon dieu... Depuis le temps que je n'avais pas entendu se nom.

- Tu as des informations sur Miller ?

Pardon ?

J'avala ma salive de travers. Il voulais que je le livre ?

- ¿ Por que ? ( Pourquoi ? )

- Cortez c'est notre job, depuis le temps qu'on cherche à le coincé ! Tu te fou de moi ou quoi ? Depuis tout se temps tu es en infiltration chez lui et tu ne dit rien ?

CarterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant