Chapitre 67: Ce n'est pas moi

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Dakota Miller

Quand cette bombe à l'exploser j'ai cru que c'était la fin. Pas la fin de l'histoire, pas la fin de ma vie mais la fin de sa vie à elle, la fin de son existence.

J'ai bien cru que notre histoire était bouclé. Après l'avoir sauvé du feu, la voir mourrir dans le feu de cette explosion.

" Tient bon" est la seule chose que j'ai réussi à dire. Je suis rester muet tout le long, lui caressant la main et tenant sa tête ensanglanté après avoir hurlé sur Sexton pour qu'il vienne avec son ambulance.

Heureusement ce n'était rien de très grave, l'histoire pouvais continuer.

Le pire dans tout sa c'est que j'ai l'impression que chaque fois qu'il lui arrive un truc c'est de ma faute. Vous savez se sentiment de culpabilité qui vous envahis, ce sentiment qui vous met a genoux. Celui qui vous tord le ventre à en vomir et vous rattrape dans vos cauchemars.

Ce n'étais pas nous qui étions visé mais nous nous trouvions au mauvais endroit au mauvais moment. Un concours de circonstance qui aurai pu nous faire la peau à tout les deux.

Cette nuit la je suis resté auprès d'elle pendant qu'elle dormais, je refusais de la laisser seule et je voulais être le premier à la voir se réveiller.

En réalité je voudrais être auprès d'elle chaque fois qu'elle se réveille.

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Chambre de April

- BAISEZ BIEN LES NAMOUREUX ! fini par conclure Chris en fuyant très vite.

Le président m'avais envoyé tuée un des responsable qui avait causé toute cette pagaille. j'ai presque l'impression de devenir la petite pute du chef d'état mais j'avais une grosse somme d'argent derrière.

On ne fait pas que ça pour le plaisir...

J'embrassai April sur la joue et lui demanda comme elle se sentait.

- J'en sais trop rien, me répondit-elle. J'ai encore du mal à être complètement logique dans ma tête et stable sur mes jambes.

- J'ai vu ça, en faisant allusion à sa chute tout à l'heure. Tu devrai te reposer, je vais demander à quelqu'un de venir régulièrement te voir et...

- NON ! fit t-elle sèchement. je préfère être seule que de devoir revivre l'épisode David.... Je ne peux pas.

- Je met des hommes devant et autour de la maison alors. J'ai un associé qui doit passer chercher des documents ici. Il restera moins de Cinq minutes .

Elle hocha la tête pour me dire qu'elle avait bien compris se que je lui avait dit.

Je fila prendre la voiture pour rejoindre le QG de celui que je doit éliminé. La deuxième bête noire du président après celui qui cause toute cette merde et qui met le pays sans dessus dessous.   Je devais aussi réfléchir à un dilemme important.

Après quelque temps en voiture, j'arrivai en centre ville de Miami. Je me gara devant l'immeuble puis j'entrai dans le géant de verre.

La réceptionniste du bâtiment était concentré sur ses dossiers et quand elle leva la tête elle me vis et pris peur.

- Bon...Bonjour Monsieur Miller.

- Votre patron est-il présent ? dis-je d'un ton sec et froid.

Elle m'indiqua le Dernier étage, celui ou la vue nous donne l'impression d'être les roi du monde. J'avais de la chance car ma future victime était présente à Miami alors qu'elle faisais beaucoup de voyage entre Washington et le pays entier.

Je pris l'ascenseur qui me grimpa au dernier étage. La porte en métal s'ouvrit sur un magnifique bureau en bois.

La chaise était dos à l'entrée. Elle se tourna doucement vers moi.

L'homme qui apparu me scruta d'un œil mauvais. Il savais lui aussi que je ne venais pas jouer au carte ou lui taper la causette.

- Dakota, commença-t-il. Sa fait un bail ! Tu veux boire quelque chose ?

Je m'avançai et m'appuya sur le bureau.

- Archie Miller, ravie de te revoir aussi.

Bien évidement tout cela n'était que de l'ironie. Personne ne voulait voir l'autre et encore moins dans son bureau. Surtout que mon cher cousin ne me portait pas dans son cœur.

- Que me vaux cette visite ?

- Il me semble que le gouvernement a une dent contre toi.

Le président m'avais demander de l'exécuter après l'avoir fait parler. Il avait jouer trop de fois avec des affaires sensibles de l'état. Mais parfois, ils ne sont pas au courant de nos combine a nous, à l'intérieur de la famille. Le voila mon dilemme...

Un règlement familial m'empêchait de faire tout se que je voulais ou se que l'on m'ordonnait tout simplement car une partie de notre famille était du côté des gentils. Il ne fallait en aucun cas que le beau monde et la société sache que le mercenaire le plus dangereux des Etats Unis venait de la même famille qui avait de gros contrat avec le gouvernement et qui assurais leur protection.

Alors je restais dans l'ombre. Seul mon monde connaissait bien mon nom.

- Et tu es venu me tuer ? demanda-t-il. Que la paix soit avec toi mon cousin.

- Tu sais très bien que je n'es pas le droit de le faire, que se soit te tuer ou toucher au bon côté de la famille. En revanche je peux négocier avec toi.

Il me scruta avec un sourire en coin. Prêt à lâcher quelques chose que je n'avais pas entendu depuis longtemps.

- Tu sais que il ne serai pas content que tu négocie pour l'état.

Je déglutis et me tendis une fraction de seconde avant de me reprendre.

- Il m'as rendu comme ça, maintenant je le fait de moi même avec se que j'ai envie de faire. Il croupis en prison et c'est mieux ainsi.

- tu as toujours été du mauvais côté Dak', rien ne changera. Et puis tu es faible maintenant avec ta petite aux yeux bleu. je te tuerai plus facilement comme ça.

Je pris mon arme cachée dans ma ceinture et appuya sans hésité sur la détente. La balle lui frôla la tête avant de se loger dans le vitrage pare balle et qui se fissura légèrement.

- Tu ne la touchera pas. On négocie plus maintenant, tu démissionne de ton poste auprès du gouvernement et tu t'enterre le temps que la guerre des gangs se calme et que tu mette un terme à tout la merde que tu as foutu.

Il avait maintenant le teint un peu livide depuis que la balle avait quitté mon canon. La peur se tintais sur son visage le rendant presque docile.

Bon chien.

- Ce n'est pas moi qui est fait cette merde Miller. Je n'ai rien déclancher du tout.

- on en reparlera quand tu aura fait se que je t'ai dit et que tu aura des preuve de se que tu me raconte.

Soudain sans prévenir il se leva et se dirigea vers un meuble rempli de dossier. Il en tira un avant de dire:

- J'en ai... Et ça ne va pas te plaire..

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Heyyy !

Comment ca va ?

Bientôt la rentrée... fini l'été snif snif  😢

Enfin bref.
Profitez bien de se chapitre !
Et à très vite 😉

Mary

CarterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant