09. Adiction occasionnelle

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a d i c t i o n  o c c a s i o n n e l l e
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25 septembre 2008,
Edimbourg.

HOPE SANCHEZ

Seul le bruit de mes pas on pour écho dans la maison et je redescend car je n'entend plus de bruit. Je me demande ce qu'il fait. Ça fait au moins quelques heures que je suis dans ma chambre.

Tout à l'heure, je voulais tout simplement oublier ce qu'il c'était passé quand Adam es venu me chercher. Je déteste quand je deviens faible, et que je ne sais plus gérer mes émotions.

Je regrette qu'il m'ait vu comme ça.

Je descend les escaliers furtivement, mais lorsque j'arrive près du salon j'entends une respiration régulière comme si quelqu'un dormais. Et j'aperçois de suite que c'est Adam qui a la tête reposé contre la tête du canapé, les yeux paisiblement fermé.

Je m'approche jusqu'à arrivés à son niveau. Je peux maintenant vraiment le regarder. Ses cheveux scintillent légèrement sous le soleil, et ses yeux sont relâchés. Ses bras parsemé de quelques tatouages son posée sur lui même.

Je peux avouer qu'il est musclé.
Vraiment musclé.
Il a l'air fort.

Sa boucle d'oreille pendante lui rajoute quelque chose je trouve. Sa le rend plus beau. Mais ce qui attire le plus mon regard c'est son tatouage qui débute en arrière de son oreille jusqu'à la fin de son cou. On dirait une inscription russe.

Ma contemplation passe à sa fin lorsque son corps se met à bouger légèrement, je me pousse rapidement vers la droite pour ne pas qu'il m'ai dans son champ de vision en se réveillant mais par malheur, je trébuche sur sa jambe qui est posé et tombé directement sur lui.

Bordel de merde que j'ai envie de me frapper en se moment.

La pression de mon corps contre le sien le réveille brutalement et ses yeux s'ouvrent alors que j'essaie à tout prix de me relever le plus vite possible. Mon visage est au niveau de son torse et je me dépêche de me relever.

— Tu m'explique ce que tu fais ? Demande t'il alors que sa voix est plus rauque qu'elle ne l'ai déjà.

Sûrement parce qu'il vient de se réveiller.

— Et toi ? T'es pas censé dormir pendant ton travail à ce que je sache ? Dis-je en esquivant sa question.

— Tu sais comment c'est dure de s'occuper d'une femme comme toi.

Je roule des yeux et replace ma jupe sous son regard insistant, il hausse les sourcils m'observant attentivement.

— Tu était en train de m'observer. Conclu t'il un sourire en coin.

Comment il- ?

— Non ! Le contredis-je.

— C'est ça Hope, invente toi des excuses.

Il roule des yeux et se lève me surplombant de toute sa hauteur.

— T'es parent devrait être la bientôt, tu veux que je reste où je part maintenant?

BLACK CHERRYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant