DARK EMBRACE. (Sombre étreinte) ⚠️ DARKROMANCE ⚠️

☠️Michel-Ange☠️ - Chapitre quinze

⚠️ce chapitre contient un comportement de psychopathe ⚠️

☠️Je m'accroche au bois de son lit pour m'aider à sortir de dessous, tandis qu'elle dort paisiblement, accompagnée de sa copine. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle passe la nuit ici. Peut-être que j'y suis allé un peu fort et qu'elle ne veut pas être seule. Dommage pour elle, j'étais déjà là avant qu'elle ne rentre.

☠️Je m'avance près d'elle et, du bout des doigts, j'effleure son visage pour la réveiller.

☠️Cela fonctionne. Elle ouvre brusquement les yeux, inspire pour hurler, mais je pose ma main sur sa bouche pour étouffer sa voix. Ses mains se posent sur les miennes pour essayer de me repousser et ses ongles me griffent mais elle ne force pas plus que ça, car je ne sens même pas de douleur.

— Chut, l'avertis-je en désignant sa copine profondément endormie. Ne la réveille pas.

☠️Sa respiration devient sifflante ; elle a peur, et j'apprécie ça.

— On va aller dans ta salle de bain, l'informe-je. Tu vas te lever sans faire de bruit, d'accord ?

☠️Elle ne répond pas, alors j'insiste, et finalement, elle hoche la tête, des larmes commençant à couler aux coins de ses magnifiques yeux. Sa réaction me serre le cœur ; elle n'est pas encore prête en fin de compte.

☠️Je l'aide à se lever en empoignant son bras. Le contact de nos corps l'un contre l'autre me fait frissonner. Elle porte un pyjama en coton à motifs de chats noirs, sûrement en référence à Halloween. Elle m'observe, les yeux écarquillés de peur.

— Je t'ai dit de ne pas avoir peur de moi, apparemment tu n'écoutes pas, lui dis-je en collant mon visage contre le sien.

☠️Elle sent le gel douche à la guimauve et ses cheveux le shampoing au parfum que je ne pourrais décrire.

— Tu sens si bon, Amber, murmuré-je pour ne pas réveiller l'autre.

☠️Je fais un mouvement de recul pour nous diriger vers sa salle de bain. Une fois à l'intérieur, je ferme la porte à clé et allume la lumière sans retirer ma main de sa bouche. Ses larmes ne cessent de couler, ce qui me met mal à l'aise. Elle ne comprend pas que je ne veux pas lui faire de mal, bordel ! C'est elle qui m'a embrassé, c'est elle qui me rend comme ça, il faut qu'elle comprenne rapidement.

— Si je retire ma main, est-ce que tu vas crier ?

☠️Elle secoue la tête négativement, mais je sais qu'elle ment.

— Tu me mens, n'est-ce pas ? Quelle personne ne crierait pas à l'aide alors que son amie et ses parents dorment dans la même maison ?

☠️Je passe mon pouce pour essuyer une de ses larmes.

— Si tu cries, je les tue tous, l'avertis-je.

☠️Je suis un connard, je le sais. Son corps se couvre de spasmes, et elle a de plus en plus de mal à respirer. Malgré la peur, je retire ma main pour qu'elle puisse reprendre son souffle correctement. Je ne veux pas lui faire de mal, je veux juste qu'elle apprécie ça, la douleur et la peur. Je veux qu'elle devienne comme moi.

— Comment vas-tu ?

☠️Les traits de son visage se durcissent sous la rage, et sa peau devient rouge ; elle me fusille du regard.

— Comment je vais ? susurre-t-elle. Tu joues à quoi ?

— À rien.

— Arrête !

☠️Elle veut hurler, mais n'en a pas la force.

— Tu menaces de tuer les gens que j'aime ! Tu... tu...