Kidnappée pour devenir une pute.

17. Chris, mon chauffeur.

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DYÉMILA

Et celui de Weekendjunkiie

Rachella

Toi aussi tu veux une pub? Viens en privé!

- Oh non... Soufflais-je

- Si si!

Il me conduis jusqu'à destination. Il se gare devant un quartier plutôt calme, il y avait un homme debout avec une cigarette en main.

- C'est lui, me dit le chauffeur.

Je descends et marche jusqu'à celui-ci. Il me regarde de la tête au pieds et me sourit. Il pose sa main autour de mon cou et monte avec moi. Bizarrement j'aimais la façon dont il me serrait. On entre dans son appartement, il m'invite à m'asseoir . Il me propose du coca que j'accepte volontiers.

C'est un grand gaillard bien costaud, qui semble avoir 2 ou 3 ans de plus que moi quand même, mais mignon. Imposant, impressionnant. Des yeux verts, un regard enfantin, amusant, amical. On enchaînent les sujets de discussions, je suis incroyablement à l'aise. Pas stressée du tout, sans craintes, sans boule au ventre, pas de mauvaise intuition, rien.

Quelques minutes plus tard, il s'approche brutalement de moi et m'embrasse fougueusement. Il enfourne sa langue dans ma bouche. Je me laisse laisse faire. Il commence à me caresser. Il ne veut pas ma laisser m'échapper. Je le sens passer sa main entre mes cuisses. Je garde les cuisses bien serrées. Il est mignon, il est sympa, plutôt bien bâti.

Je cherche à retirer ses mains qui se font de plus en plus pressantes sur mon intimité.

Il attrape mes mains et s'impose. Il est fort, viril, dominant. Il cherche à me faire plier, à me mettre à ses pieds. Sa manière de me contrôler, de me soumettre à lui, m'excite bien plus que je ne pense l'être et je finis par me laisser aller.

A présent je le désire. Je le désire très fort. Je sens ses mains, ses gestes ne sont pas du tout approximatifs, il sait ce qu'il fait, il le fait bien. Je succombe.

Il est viril, très gâté par la nature. Il dégage quelque chose. Je suis en feu. Il me tient. Je suis à lui. Je le veux. Je veux le sentir en moi. Je veux sentir ses mains me dominer. Me caresser. Me faire crier.

Il me renverse alors sur le canapé, il me retourne et me prend en levrette tel un animal sauvage. Il me tient les mains, sans que je puisse me débattre . Pourquoi se débattre ? C'est mon boulot, je suis soumise! Je me laisse aller, j'ai chaud, mon entre-jambe sue d'excitation... Je ne veux pas que ça s'arrête.J'en veut encore!

A bout de force, je le sens entrer et ressortir en moi, il est violent et doux à la fois. Il agrippe mes hanches comme pour me garder à sa merci. Je gémis plaisir, de douleur et de désir. J'ai de plus en plus chaud, je suis bouillante. J'attrape alors les coussins du canapé comme je le peux et en met un dans ma bouche pour ne pas hurler!

Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m'a soumise, désirée. Après m'avoir pris dans plusieurs position pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et jouit en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.