Ma chance dans ma malchance ...

Chapitre 10 : Danger...

            Chapitre 10 : Danger... 

PDV de Lila : 

Moi : Miguel? 

Il hocha de la tête avec une certaine raideur , tandis que je l'encourageais à poursuivre sa question. 

Zayn : Tu est encore amoureuse de lui?

Moi : Pourquoi? Ne pus-je m'empêcher de demander . 

J'avais à peine posais cette question, que je vis le regard de Zayn devenir fuyant pour une raison qui m'échappait complètement, et je devais dire que ça ne me plaisait pas vraiment de le rendre fuyant vis-à-vis de moi. 

Zayn : Oh... bah... comme ça... 

J'haussai des épaules, ne voulant pas le brusquer se qui causerait son renfermement sur lui même, puis je sirotait une goutte de ma boisson faisant rouler la liqueur sur ma langue, savourant la richesse du mélange, puis je répondis à Zayn. 

Moi : Pour moi, être amoureuse de Miguel était une évidence. C 'était impossible que j'aime quelqu'un plus que lui je l'aimais. Mais pour répondre à ta question... En fait... non. J'ai toujours étais persuadée que je finirais ma vie avec lui ou avec personne mais le truc c'est que je faisais fausse route. Je pensais ça parce que c'était la première fois que j'aimais sincèrement un garçon, c'est tout. 

Ce que je venais de dire, ça pouvait peut être paraître bizarre, mais devant quelqu'un d'autre, je n'aurais sûrement pas su me rendre compte de ça, j'aurais encore une fois était persuadée corps et âme que Miguel était le seul que je pouvais aimé comme je l'aimé lui. 

Mais bizarrement, face à Zayn, j'ai tout de suite trouvé la réponse aux questions que je me posais depuis que je remettais en cause ma vie, sans même avoir à réfléchir. 

Je retournai mon regard vers Zayn et je le surpris en train de sourire de contentement, mais quand il remarqua que je l'avais vu faire, il rougit alors qu'il enchaînait. 

Zayn : Je comprends ce que tu veux dire. Je t'avouerais que ça m'est déjà arrivée moi aussi, j'étais persuadé qu'elle était la femme avec qui j'allais me marier et avoir des enfants, mais je me suis rendus compte que tout ça n'était qu'un leurre. Qu'au fond de moi, je me disais ça parce que j'avais peur de ne jamais trouver celle pour qui je ressentirais l'envie omniprésente de l'avoir à mes côtés encore dans quatre-vingt ans. 

Je souriais de plénitude alors que lui aussi sourit avec amusement de ses propres mots. 

Zayn : En fait, tu sais quoi? Oublie tout ce que je viens de dire, c'était nul! Ria-t-il. 

Moi : Comment veux-tu que j'oublie ça sérieusement? Aucun mec n'ose avouer qu'au fond lui aussi rêve de vivre le véritable amour comme les filles, mais toi tu l'a fait. Tu est bien le seul que je connaisse. 

Il eut une grimace, alors qu'il continuait en me regardant dans les yeux. 

Zayn : Raison de plus pour que tu oublie. 

Moi : Non. Au moins, toi tu est sensible! Exactement le genre de mec que j'ai toujours rêver de rencontrer. 

Quand je me rendis compte de ce que j'avais dit, je mis ma main devant ma bouche, alos que je m'empourprai jusqu'à la racine de mes cheveux, complètement gênée de lui avoir clairement avoué qu'il me plaisait. 

Moi : Oubli ce que je viens de dire...

Il me souria, plutôt fier de lui, alors qu'il me regardait droit dans les yeux, un sourire amusé et qu'il secouait négativement la tête, me faisant comprendre qu'il n'était pas prêt d'oublier. 

Moi : Oh Mon Dieu, la honte... 

J'avais dit ça tout en mettant mon visage dans mes mains pour caché mon visage aussi rouge qu'une tomate au regard de braise de Zayn. 

Mais cela ne servait absolument à rien de fuir son regard, parce que Zayn se leva de son siège, puis sans prévenir, il me souleva du miens, prit ma place et m'installa sur ses genoux. 

Il me fit un sourire àvous damnez, alors que nous nous regardions tous deux dans les yeux. 

Zayn : N'ai jamais honte d'être sincère, Lila. Jamais.

Et là, sans que j'ai pu devinais ce qu'il allait se passer, il vint déposait un doux baiser sur ma joue, qui se réchauffa aussitôt au contact de ses lèvres contre ma peau. 

Puis il me regarda droit dans les yeux, et nous restions comme ça un moment, où tout le monde autour de nous n'existait plus. 

Plus rien n'avait d'importance à part Zayn. 

Rien d'autre. 

Quand tout d'un coup, le charme fut brisé par des cris et des bruits de verres qui se brisent. 

Zayn et moi, nous tournions rapidement notre regard vers l'endroit où tout ce bruit se passait,et ce que nous pûmes voir me retourna l'estomac. 

Deux hommes étaient en train de se battre. L'un avec une arme blanche, l'autre avait carrèment optait pour une arme à feu. 

La panique enfla en moi, alors que je tentais de m'éloigner et de ne pas regarder tandis que les employés appelaient la police et tentaient sans trop s'approcher, de calmer les deux hommes. 

Quand à Zayn, aussi rapide que l'éclair, il m'attira contre son torse virulent et alla posait les billets sur le comptoir du bar, puis il essaya de me faire sortir, mais avant que nous ayons pu parvenir à sortir, une balle vînt érafler mon bras et comme je n'avais pas mon blaser sur moi, la balle réussit à m'arracher assez la peau pour que mon bras saigne. 

Je profitais du fait que Zayn ne l'avait pas vu et je remis mon blaser juste au dessus en grimaçant de douleur entre deux, mais je le fis quand même. 

Zayn, finit par réussir à me faire sortir de là et aussitôt il nous emmena vers sa voiture. 

Je sentais le liquide gluant, chaud et visqueux qu'était mon sang qui coulait le long de mon bras, mais je n'en tenais pas rigueur, je devais déjà combattre la douleur alors ça en plus. 

Quand nous fûmes dans la voiture de Zayn, il était légèrement essouflé, et moi encore plus, j'avais des sueurs froides sur le front à cause de la fièvre que provoquait la douleur mais je ne disais rien, considérant que ce n'était pas quelques choses de grave. 

Zayn : Oh Mon Dieu... Lila je t'en supplie, dit-moi que tu va bien, dit-il douloureusement. 

Je préfèrais mentir, et c'est ce que je fis. 

Moi : Ou-oui. 

Il eut le regard moins nerveux, ses traits se détendirent, quand tout d'un coup ses yeux s'écarquillèrent d'horreur. 

To be continued...