Cohabitation agité. [Réécriture]

On rentre à la maison.

On arrive à sa voiture, il roule jusqu'à un parc et on reste assis dans la voiture sur le parking, je ne sais pas quoi dire donc je le laisse prendre la parole.

- Kath, pour commencer je peux te jurer que je ne t'ai pas trompé, jamais je pourrais toucher une autre femme que toi et tu le sais, me dit-il.

- Pourtant tu étais allongé à moitié nue et elle dans t'es bras alors qu'elle était en sous-vêtement.

- Je t'en pris laisse moi t'expliqué tout depuis le début, me supplie-il

- Je t'écoute, je pose mon dos sur la portière pour lui faire face.

- Quand on la vu au centre commercial, quand elle est venu dans mes bras je sais pas ce que j'ai eu mais j'étais comme choqué de la voir ici, elle était censée vivre ou j'habité avant donc j'ai pas réagis sur le coup je te promet, il me prend les mains, quand tu es parti j'ai voulu te suivre mais elle ma dit qu'il fallait que je te laisse un peu respiré donc elle ma invité à boire un café, et je lui ai parler de toi, de nous et du bébé, il touche mon ventre, je lui ai dis que j'étais heureux, que j'allais être père.

- Moi aussi je suis heureuse d'être mère, je pose ma main sur la sienne et l'encourage à continuer.

- Elle ma dis qu'elle n'avait pas trouvé d'appartement donc comme sa faisais longtemps que je lui ai pas parlé je lui ai proposé de venir à la maison, je sais j'ai fais le con j'aurai du t'en parler avant, je m'excuse.

- Continue, lui dis-je doucement.

- Quand tu es monté parce que tu étais en colère avec Nathalia on a bu, et je pense que j'ai un peu trop bu du coup j'ai voulu aller dormir mais avant j'ai voulu lui faire montré la bague de fiançailles que je t'avais acheté, il me regarde, la bague qu'elle ma volé était la tienne, elle savait que j'allais faire ma demander après avoir sur le sexe du bébé, me dit-il avec les larmes aux yeux.

- Quand j'ai vu la bague que je voulais à son doigt j'ai était brisé, dis-je en pleurant, tu sais à quel point je veux être ta femme.

- Je sais, il me prend dans ses bras, elle savait à quel point je voulais que tu sois ma femme et elle à profité que j'étais endormi pour venir ce faufilé dans le fauteuil avec moi, mais je te jure je ne les pas touché, j'ai rien fais avec.

- Je te crois, lui dis-je, c'est vraiment je le crois, c'et l'homme que je connais, celui avec qui j'ai passé pas mal de temps. Je l'aime et il m'aime.

- Je t'aime Kath vraiment énormément.

- Je t'aime aussi Lewis, aller ramène moi à la maison s'il te plait.