Partie 1

241 11 1
                                    

Valise en main je me dirige d'un pas hésitant vers le bloc C, je scrute chaque recoin de mon nouvel habitat, l'atmosphère parisienne est très loin de la toulousaine : des hommes posé en bas des bâtiments, des filles criant comme pour se faire remarquer, la forte odeur d'alcool et de shit ce fais sentir.

 Plus j'avance et plus un vacarme pas possible se fais entendre, arriver devant l'immeuble, j'ouvre la porte et voit un décor digne des grands films d'actions : Un maghrébin et un noir au fort gabarit se donnaient des coups à en faire tremblé la terre. Je m'avançais avec peur, des sueur froides se promenait le long de mon dos, des tremblements venait sans crié gare. J'avançais d'un pas déterminer à quitté cette scène affreuse mais c'étais comme si mes membres ne recevait plus les signaux que mon cerveau leur envoyait, j'était comme paralyser. Je regardais cette horreur sans ne pouvoir rien faire. Mes pensées étaient bloqués quand l'homme, dos à moi se mis à reculer en ma direction, je voulais me décaler mais encore une fois mes muscles en étaient incapable, il me poussait jusqu'a me coller contre les boites au lettres, le maghrébin voulu à se moment là lui mettre un k.o, son adversaire réussi à l'esquivé mais hélas qui le reçus ? Moi. Je touchais mon oeil et regardais ma main en sang, lorsque je regardais autour de moi plusieurs jeunes étaient autour de moi, je pu seulement entendre " Badr qu'est ce que t'as foutu bordel ? " mais ensuite mes oreille ne pouvais plus réceptionner le son de leurs voix et d'un coup trou noir. 

Je me réveille enfin, tout ça n'étais qu'un rêve. Je me redresse et regarde autour de moi, je suis allongé sur un canapé et la valise et devant la grande porte qui mène à la sortit, je ne reconnais pas l'appartement que mon père ma louer, je commence à avoir peur. Je me lève et sens encore mes chaussures, je regarde autour de moi et voit un homme me fixer sur une chaise non loin de où j'étais. Il se lève et s'avance en ma direction, je le reconnais c'est le maghrébin d'hier soir, merde c'était donc pas un rêve ! Il s'avance en ma direction et à chaque pas qu'il fait je recule, jusqu'a tomber sur le sofa, je pleur de peur mais il s'assoit à mes côtés et me tien l'épaule comme pour rassurer, j'efface mes larmes de crocodile et le regarde, ces yeux noir me font une drôle de sensation, je le souhaite mais je n'arrive pas à détacher mon regard du siens. Nous nous  sommes regarder quelque seconde mais sa paraissait comme une éternité, la porte s'ouvre et un homme rentre un l'intérieur, ce qui a coupé court a notre jeu de regard. L'homme en question rentrait et dis :

Lui - " Et c'est qui elle ? Ze3ma Badreddine tu ramènes des keh et sa prévient pas ? " 

Baddredine - " Mais vas-y qu'est-ce que tu racontes Ahmed ? T'sais quoi, casse toi j'suis occuper là ! " 

Lui - " Ouais occuper hein p'tit coquin... " Dit-il en lachant un clin d'oeil, et par la même occasion quittant la pièce. 

Je me retournais en direction de Baddredine et le regardais surprise, j'étais gêner que son ami, me prenne pour une " keh " comme il l'avais si bien dis. Je passais mes mains sur mon visage et me rendis compte de la douleur atroce que je ressentais au niveau de l'oeil, je gémis et à ce moment là il prit mon visage entre ces mains et me fixait, mon visage tremblais de peur suite au toucher de ces grandes mains, lorsque qu'il le remarquais il me chuchota : 

Badreddine - " N'aie pas peur je te veux pas de mal. Putain, cria-t-il, je suis désolé pour ton oeil, je voulais pas et je... " 

- " C'est rien ne t'inquiète pas,  j'me doute bien que ta pas dû le faire exprès. " 

Badreddine - " Dit, il viens d'où ton accent la sudiste ? " Balança-t-il surement pour détendre l'atmosphère.

- " De Toulouse, et raconte pas n'importe quoi hein, c'est vous les Parisiens qui avaient des accents ! " 

Badreddine - " Tu sais pourquoi tu racontes de la D ? Parce que ceux qui viennent de Paname ils ont... " 

De là un grand débat pris place entre le sud et Paris, je ne le connaissais pas mais une certaine facilité à communiquer pris place, sans trop comprendre mes membres se décontracter et mon instinct me criais de lui faire confiance, son beau visage, ces beau yeux n'étaient que le miroir de son âme. 

Mon Premier Amour Sera Le Dernier - ZayaneWhere stories live. Discover now