Mon Premier Amour Sera Le Dernier - Zayane

Partie 5

Mon réveil se fait difficilement aujourd'hui, mes pensées ne cesse d'êtres dirigés vers l'élu de mon coeur. Je vais à la douche et je pense au douces paroles que me disait ma mère, elle me racontais sa rencontre avec papa et jusqu'aujourd'hui les coeurs au niveau de ses yeux ne la quitte pas, elle disait que l'amour était le plus beau sentiment qu'elle n'avais jamais ressentit, que lorsque je gouterais celui-ci je voudrais me nourrir de rien d'autre que ça. Si seulement elle savait que je souhaite arrêter de vivre seulement pour ne plus ressentir ce sentiment qui bouffe mon bonheur petit à petit, j'ai été gâcher par amour, la maladie du coeur est maintenant belle et bien là. Elle plante ses graines dans chaque recoins de mon organe vital. 

Aujourd'hui il pleut, le temps est semblable à mon humeur : gris, maussade. Je me dirige tranquillement vers l'abri bus quand je reçois un appel d'un numéro inconnue, je prie intérieurement pour que sa sois lui. 

- " Allo ? " 

... - " Oui ? Zayane c'est bien toi ? "

- " Je... Ah Adil c'est toi ? Ca va ? " 

Adil - " Je vais super Al Hamdûlilah. Par contre toi ta une petite voix, elle est ou la plippette d'hier ? " 

- " La plipplette est malade. " 

Adil - " Je te crois pas mais bon, t'est où là ? "

- " Je suis à mon arrêt de bus, je l'attends. "

Adil - " Tu veux que je vienne te chercher ? " 

- " Heu ouais si ça te fais plaisir. "

Adil - " Vas-y envoie moi l'adresse par SMS je viens tout de suite. "

- " Pas de soucis, à tout de suite. "

Il m'a fallut attendre quelques minutes qu'il était déjà arrivé, je monte dans la voiture, le salue et nous nous dirigeons vers la fac. Le trajet est rythmé par la radio et les fausses notes et paroles d'Adil. Je le regarde, il me fait légèrement rire. 

Adil - " Arrête de me regarder comme ça on va faire un accident bêtement ! " Dit-il en me mettant une petite claque sur la tête. 

Mon visage c'est décomposer directement à ce moment là, j'ai inévitablement penser à ce que m'avais dis Badr ou plutôt Baddredine il y à quelques jours. Les larmes me montes c'est abuser, un rien me rappelle qu'il c'est installer dans mon coeur et qu'il est pas près de se barrer. 

Adil s'arrête au feu rouge et coupe le moteur, je le regarde à ce moment. 

Adil -" Ca va Zayane ? " 

- " Oui oui t'inquiète, j'ai juste des petites migraines qui viennent et qui s'en aille. "

Adil - " Mens pas s'il te plaît, je te jure sa t'amoche. " 

- " Je suis malade. " 

Adil - " T'est seulement malade ou maladivement amoureuse ? " 

- " Dépose moi ici s'il te plaît je connais le chemin. " 

Adil - " Je te dépose nul part avant que tu n'est parlé. "

- " Mais tu crois vraiment que je vais me confié à un mec que je connais à peine ? "

Adil -" Je suis digne de confiance. "

- " Tu ne me la pas prouvé. "

Adil - " Ouais ta raison, vas-y tu peux descendre. "

Je lui lança un dernier regard et m'en alla par la suite. Je marcha, je respirais profondément et espérait que les forts vents qu'il y avais autour de moi emporte se sentiment loin. Je vous jure c'est horrible d'aimer, surtout quand la personne vous fait comprendre que ce n'est et se seras sans doute jamais réciproque. J'arrive enfin devant la faculté, je jette un coup d'oeil sur ma montre et vois que je suis énormément en retard, sa me gave, j'ai l'impression de vivre au ralenti.