Partie 25.

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N A D Î R.

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Je rabat ma capuche et entre dans l'entrepôt. Je vois au loin le vendeur avec sa marchandise étalée sur une table.

Je salue tout le monde puis regarde la marchandise.

Vendeur - Alors ?

Je continue de regarder jusqu'à que je tombe sur ce que je cherche, je le prend en main et l'analyse.

Je charge, vise le mur et tire.

Vendeur - C'est pas un jouet, si tu veux prendre paye !

Moi - Ouais combien ?

Vendeur - 145€ !

Moi - 100€ ?

Vendeur - 120€ dernier prix.

Je sors un chèque.

Vendeur - Espèce.

J'expire et sors un billet de 100 puis de 20 et lui donne.

Vendeur - Bshatek hein.

Moi - Ouais.

Je cache l'arme dans ma poche puis monte dans ma voiture et roule chez Asrâr.

J'attend discrètement dans ma voiture que monsieur sorte de chez lui.

Au bout de quelques minutes je le vois sortir tout content avec 100€ en main. Il les range puis regarde sa main et enlève sa bague et la met dans sa poche arrière.

Il monte dans sa voiture puis démarre.

Je le suis par derrière. Il s'arrête devant un grand pavillon où une jeune femme vêtu d'une robe rouge bien moulante l'attendait visiblement. Elle monte à ses côtés.

Il démarre qu'au bout de 4 minutes, je me demande bien ce qu'il fessait.

On arrive devant un grand restaurant, je le vois descendre et ouvre la portière à sa bouffone.

Je perd pas de temps et sors mon téléphone de ma poche pour prendre des photos comme à mon habitude.

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Après de longues heures d'attente monsieur sort enfin du restaurant, accompagne de la femme qui l'accompagnait ce soir puis il prend la route pour rentrer chez lui.

Je me gare et sort de la voiture en attendant devant la porte de chez lui.

Pour Asrâr je suis vraiment prêt à tout, si il le faut je tuerais mon âme pour elle. C'est vraiment toute ma vie cette femme je ne peux pas faire sans elle sinon je suis perdu. C'est la seule personne qui apaise mon coeur depuis que ma mère est partit.

Je le voit arriver tête baissé entrain d'arranger ses vêtements.

Je soulève ma capuche et lui barre la route au même moment il lève sa tête et pose son regard sur moi.

Nadîr - ELLE.Where stories live. Discover now